Toulouse, France | AFP | lundi 26/07/2021 - Le plus important incendie de l'été, qui a brûlé sur quelque 850 hectares dans la montagne d'Alaric (Aude) est fixé, indiquent les pompiers de l'Aude qui ont cependant maintenu un important dispositif de surveillance.
"Nous avons 320 pompiers en surveillance sur les lisières que nous maintiendrons tant que les conditions l'exigent", a précisé à l'AFP le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis) de l'Aude.
Depuis le départ de cet incendie samedi en fin de matinée, les pompiers de l'Aude, qui avaient reçu des renforts de plusieurs départements du sud de la France, ont dû lutter contre la propagation rapide du feu alors que les conditions étaient "très défavorables" avec un vent autour de 40 km/h et une végétation très sèche.
Pour la journée de dimanche, ils ont dû affronter pas moins d'une douzaine de départs de feu sur le département.
Au plus fort de l'incendie, 900 personnels se sont activés au sol, tandis que sept Canadair, deux bombardiers d'eau et un hélicoptère Super Puma multipliaient les rotations.
Selon le codis, "Plus de 1.500 hectares de végétation ont pu être préservés sur l'ensemble du massif" et "une trentaine de maisons" ont été protégées des flammes par l'intervention des pompiers.
Seule une maison a été partiellement brûlée dans le secteur de Moux.
Ce feu a eu également des conséquences sur la péninsule ibérique, puisque, outre des coupures de courant autour de Perpignan et Biarritz, des arrêts ont aussi touché l'Espagne et le Portugal, après la mise hors service temporaire d'une ligne à très haute tension.
Le feu s'est déclaré samedi vers 11h00 sur le terre-plein central de l'A61 entre les communes de Moux et de Foncouverte, "probablement à cause d'un mégot de cigarette", indiquent les pompiers qui déplorent depuis le début de l'été plusieurs départs de feu autour de cette pénétrante.
"Nous appelons à la vigilance de la population vu (les) conditions qui sont extrêmement difficiles", exhortait dimanche la directrice de cabinet du préfet de l'Aude, Joëlle Gras.
"Nous avons 320 pompiers en surveillance sur les lisières que nous maintiendrons tant que les conditions l'exigent", a précisé à l'AFP le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis) de l'Aude.
Depuis le départ de cet incendie samedi en fin de matinée, les pompiers de l'Aude, qui avaient reçu des renforts de plusieurs départements du sud de la France, ont dû lutter contre la propagation rapide du feu alors que les conditions étaient "très défavorables" avec un vent autour de 40 km/h et une végétation très sèche.
Pour la journée de dimanche, ils ont dû affronter pas moins d'une douzaine de départs de feu sur le département.
Au plus fort de l'incendie, 900 personnels se sont activés au sol, tandis que sept Canadair, deux bombardiers d'eau et un hélicoptère Super Puma multipliaient les rotations.
Selon le codis, "Plus de 1.500 hectares de végétation ont pu être préservés sur l'ensemble du massif" et "une trentaine de maisons" ont été protégées des flammes par l'intervention des pompiers.
Seule une maison a été partiellement brûlée dans le secteur de Moux.
Ce feu a eu également des conséquences sur la péninsule ibérique, puisque, outre des coupures de courant autour de Perpignan et Biarritz, des arrêts ont aussi touché l'Espagne et le Portugal, après la mise hors service temporaire d'une ligne à très haute tension.
Le feu s'est déclaré samedi vers 11h00 sur le terre-plein central de l'A61 entre les communes de Moux et de Foncouverte, "probablement à cause d'un mégot de cigarette", indiquent les pompiers qui déplorent depuis le début de l'été plusieurs départs de feu autour de cette pénétrante.
"Nous appelons à la vigilance de la population vu (les) conditions qui sont extrêmement difficiles", exhortait dimanche la directrice de cabinet du préfet de l'Aude, Joëlle Gras.