PARIS, mardi 18 juin 2013 (Flash d’Océanie) – Le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault pourrait profiter d’une visite officielle en Asie, successivement en Corée du Sud et en Malaisie, à partir du 26 juillet 2013, pour pousser un peu plus loin et se rendre en Nouvelle-Calédonie, selon des informations publiées ce week-end par le site Internet du Figaro.
La visite du chef du gouvernement français s’inscrit dans une logique de renforcement des relations économiques avec deux pays souvent désignés comme les « petits tigres » de l’Asie en raison de leur fort développement.
Lors de cette éventuelle escale en Nouvelle-Calédonie, il pourrait être question de préparer le prochain comité des signataires de l’Accord de Nouméa qui se tient chaque année en mode consultatif et bilan d’étape sur l’avancement de la mise en œuvre de cet Accord.
L’Accord de Nouméa a été signé en mai 1998 entre gouvernement français, d’une part et d’autre part partis favorables à l’indépendance et d’autres favorables au maintien de cette collectivité dans l’ensemble français.
Cet accord, perçu comme une feuille de route vers une émancipation de la Nouvelle-Calédonie, prévoit notamment un transfert progressif des compétences de l’État aux autorités locales ainsi que la tenue d’un référendum d’autodétermination dans une fenêtre temporelle située entre 2014 et 2018.
pad
La visite du chef du gouvernement français s’inscrit dans une logique de renforcement des relations économiques avec deux pays souvent désignés comme les « petits tigres » de l’Asie en raison de leur fort développement.
Lors de cette éventuelle escale en Nouvelle-Calédonie, il pourrait être question de préparer le prochain comité des signataires de l’Accord de Nouméa qui se tient chaque année en mode consultatif et bilan d’étape sur l’avancement de la mise en œuvre de cet Accord.
L’Accord de Nouméa a été signé en mai 1998 entre gouvernement français, d’une part et d’autre part partis favorables à l’indépendance et d’autres favorables au maintien de cette collectivité dans l’ensemble français.
Cet accord, perçu comme une feuille de route vers une émancipation de la Nouvelle-Calédonie, prévoit notamment un transfert progressif des compétences de l’État aux autorités locales ainsi que la tenue d’un référendum d’autodétermination dans une fenêtre temporelle située entre 2014 et 2018.
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