PORT-VILA, mercredi 8 octobre 2014 (Flash d’Océanie) – Les inondations résultant des pluies torrentielles qui se sont abattues sur la capitale Port-Vila et sa région depuis la fin septembre ont causé la mort d’au moins une personne et laissé plus de cent personnes sans abri, selon les premiers bilans annoncés en début de semaine par les autorités locales.
Les précipitations ont été particulièrement intenses en début de semaine, contraignant les services d’urgence, la police et l’antenne locale de la Croix Rouge à se mobiliser afin d’évacuer les résidents les plus directement exposés aux inondations et de commencer à des distribuer aux sinistrés du matériel de première urgence (nourriture, bâches) aux sinistrés.
Plusieurs centres communautaires ont été activés pour accueillir les dizaines de familles ayant dû fuir leur domicile, en premier lieu dans les environs de l’aéroport international de Port-Vila/Bauerfield, a précisé Shadrack Welegtabit, directeur du centre national de gestion des catastrophes naturelles.
Les équipes du centre national de gestion des catastrophes naturelles poursuivaient toujours en milieu de semaine leurs rondes afin de déterminer de manière plus exacte l’ampleur des dégâts et le nombre de personnes en situation d’urgence.
D’autres sans-abri aux Marianne du Nord
Dans le territoire américain des Marianne du Nord, entre-temps, c’est le passage lundi d’un cyclone, baptisé Vongfong, qui a forcé une quinzaine de familles, au total plus de deux cent personnes, à trouver refuge dans des centres d’accueil mis en place par la Croix Rouge.
Là aussi, grâce à des stocks prépositionnés, l’antenne locale de cette ONG a commencé à distribuer des bâches et du matériel censé permettre aux sinistrés de procéder à des réparations sommaires sur des toits arrachés.
De larges superficies de terres ont aussi été inondées sous l’effet combiné des pluies torrentielles charriées par le cyclone et les fortes marées associées à la pleine lune.
Aucun blessé ni victime n’a néanmoins été immédiatement signalé, mais les services d’urgence poursuivent depuis le début de la semaine des travaux d’évaluation sur le terrain, a précisé un responsable du département américain de la sécurité intérieure, basé sur l’île-territoire de Guam, dans la proche région.
Sécheresse en d’autres points du Pacifique
Par contraste, plusieurs autres îles du Pacifique sont confrontées depuis plusieurs semaines à une pénurie d’eau causée par l’absence de pluies, sous la possible influence du phénomène El Niño.
C’est en particulier le cas à Samoa et à Fidji.
À Apia, le gouvernement a d’ailleurs officiellement déclaré un état de sécheresse, tout en demandant à la population d’utiliser les réserves d’eau avec parcimonie, en raison de la faible pluviométrie enregistrée ces dernières semaines et qui est largement inférieure à la moyenne en cette période de l’année.
Une campagne de sensibilisation a été lancée à cet effet, encourageant la population à restreindre la consommation d’eau aux besoins essentiels (consommation humaine).
Cette sécheresse touche les îles d’Upolu et la portion orientale de l’île de Savai'i, a précisé Mulipola Ausetalia Titimaea, chef du service de la météorologie nationale, à Radio New Zealand International.
Selon lui, ce phénomène est largement attribuable au retour dans la grande région d’El Niño.
À Fidji, une tendance similaire de déficit en pluviométrie qui menaçait de dégénérer en sécheresse semblait en début de semaine s’être infléchie avec l’arrivée de pluies, le week-end dernier, qui ont été accueillies avec soulagement dans les zones rurales et agricoles.
Les précipitations ont été particulièrement intenses en début de semaine, contraignant les services d’urgence, la police et l’antenne locale de la Croix Rouge à se mobiliser afin d’évacuer les résidents les plus directement exposés aux inondations et de commencer à des distribuer aux sinistrés du matériel de première urgence (nourriture, bâches) aux sinistrés.
Plusieurs centres communautaires ont été activés pour accueillir les dizaines de familles ayant dû fuir leur domicile, en premier lieu dans les environs de l’aéroport international de Port-Vila/Bauerfield, a précisé Shadrack Welegtabit, directeur du centre national de gestion des catastrophes naturelles.
Les équipes du centre national de gestion des catastrophes naturelles poursuivaient toujours en milieu de semaine leurs rondes afin de déterminer de manière plus exacte l’ampleur des dégâts et le nombre de personnes en situation d’urgence.
D’autres sans-abri aux Marianne du Nord
Dans le territoire américain des Marianne du Nord, entre-temps, c’est le passage lundi d’un cyclone, baptisé Vongfong, qui a forcé une quinzaine de familles, au total plus de deux cent personnes, à trouver refuge dans des centres d’accueil mis en place par la Croix Rouge.
Là aussi, grâce à des stocks prépositionnés, l’antenne locale de cette ONG a commencé à distribuer des bâches et du matériel censé permettre aux sinistrés de procéder à des réparations sommaires sur des toits arrachés.
De larges superficies de terres ont aussi été inondées sous l’effet combiné des pluies torrentielles charriées par le cyclone et les fortes marées associées à la pleine lune.
Aucun blessé ni victime n’a néanmoins été immédiatement signalé, mais les services d’urgence poursuivent depuis le début de la semaine des travaux d’évaluation sur le terrain, a précisé un responsable du département américain de la sécurité intérieure, basé sur l’île-territoire de Guam, dans la proche région.
Sécheresse en d’autres points du Pacifique
Par contraste, plusieurs autres îles du Pacifique sont confrontées depuis plusieurs semaines à une pénurie d’eau causée par l’absence de pluies, sous la possible influence du phénomène El Niño.
C’est en particulier le cas à Samoa et à Fidji.
À Apia, le gouvernement a d’ailleurs officiellement déclaré un état de sécheresse, tout en demandant à la population d’utiliser les réserves d’eau avec parcimonie, en raison de la faible pluviométrie enregistrée ces dernières semaines et qui est largement inférieure à la moyenne en cette période de l’année.
Une campagne de sensibilisation a été lancée à cet effet, encourageant la population à restreindre la consommation d’eau aux besoins essentiels (consommation humaine).
Cette sécheresse touche les îles d’Upolu et la portion orientale de l’île de Savai'i, a précisé Mulipola Ausetalia Titimaea, chef du service de la météorologie nationale, à Radio New Zealand International.
Selon lui, ce phénomène est largement attribuable au retour dans la grande région d’El Niño.
À Fidji, une tendance similaire de déficit en pluviométrie qui menaçait de dégénérer en sécheresse semblait en début de semaine s’être infléchie avec l’arrivée de pluies, le week-end dernier, qui ont été accueillies avec soulagement dans les zones rurales et agricoles.
