PAPEETE, 29 avril 2015 - Une famille de Maupiti a tout perdu dans l’incendie de son domicile, mardi après-midi. Les élus de l’île lancent un appel à la solidarité pour lui venir en aide.
Mardi vers 14 heures la famille Taurua a tout perdu, à Maupiti, dans l’incendie encore inexpliqué de son domicile. Elle se trouve aujourd’hui sans linge, sans équipement, sans toit... Et pour compléter cette liste noire, sans emploi. Le domicile qu’elle a perdu était également son outil de travail : une maison d’hôtes, la pension Fenua Here.
Mais si ce tableau est matériellement catastrophique, la communauté de Maupiti fait aujourd’hui le nécessaire pour que s’exprime la solidarité humaine pour soutenir dans cette épreuve difficile cette famille de deux enfants.
La municipalité de cette île de 1250 habitants de l’archipel des Raromatai a affiché dans les lieux publics un appel aux dons dès mardi.
"Cette famille a tout perdu : on en appelle d’abord à la population de l’île pour leur venir en aide", précise Woullingson Raufauore, le maire de Maupiti. "Mais c’est une aide d’urgence". Aussi, l’élu a-t-il pris l’initiative de lancer un appel à la solidarité polynésienne par le biais des médias. Les dons doivent être adressés à la mairie qui se chargera de les remettre à la famille Taurua. Un numéro de téléphone est dédié à cette opération "Solidarité" pour tout renseignement, le (tél.) 40 60 15 50. "On a besoin de tout : de nourriture, de linge, d'affaires diverses. Il faut bien comprendre que ces gens n'ont plus rien, aujourd'hui".
La mairie de Maupiti a également saisi l’antenne des Affaires sociales de Raiatea, pour mettre en place un dossier de relogement avec l’Office polynésien de l’habitat (OPH). "J’ai appelé les élus concernés à Papeete, que ce soit à l’Assemblée ou au gouvernement", ajoute le maire de Maupiti. "Ils m’ont répondu que l’on peut compter sur une procédure rapide".
La famille Taurua est pour l’heure hébergée en urgence par la paroisse de l’Eglise évangélique. "C’est le premier élan de solidarité pour cette famille de confession adventiste", souligne Woullingson Raufauore en attendant le relais qu'il espère de la population polynésienne.
Mardi vers 14 heures la famille Taurua a tout perdu, à Maupiti, dans l’incendie encore inexpliqué de son domicile. Elle se trouve aujourd’hui sans linge, sans équipement, sans toit... Et pour compléter cette liste noire, sans emploi. Le domicile qu’elle a perdu était également son outil de travail : une maison d’hôtes, la pension Fenua Here.
Mais si ce tableau est matériellement catastrophique, la communauté de Maupiti fait aujourd’hui le nécessaire pour que s’exprime la solidarité humaine pour soutenir dans cette épreuve difficile cette famille de deux enfants.
La municipalité de cette île de 1250 habitants de l’archipel des Raromatai a affiché dans les lieux publics un appel aux dons dès mardi.
"Cette famille a tout perdu : on en appelle d’abord à la population de l’île pour leur venir en aide", précise Woullingson Raufauore, le maire de Maupiti. "Mais c’est une aide d’urgence". Aussi, l’élu a-t-il pris l’initiative de lancer un appel à la solidarité polynésienne par le biais des médias. Les dons doivent être adressés à la mairie qui se chargera de les remettre à la famille Taurua. Un numéro de téléphone est dédié à cette opération "Solidarité" pour tout renseignement, le (tél.) 40 60 15 50. "On a besoin de tout : de nourriture, de linge, d'affaires diverses. Il faut bien comprendre que ces gens n'ont plus rien, aujourd'hui".
La mairie de Maupiti a également saisi l’antenne des Affaires sociales de Raiatea, pour mettre en place un dossier de relogement avec l’Office polynésien de l’habitat (OPH). "J’ai appelé les élus concernés à Papeete, que ce soit à l’Assemblée ou au gouvernement", ajoute le maire de Maupiti. "Ils m’ont répondu que l’on peut compter sur une procédure rapide".
La famille Taurua est pour l’heure hébergée en urgence par la paroisse de l’Eglise évangélique. "C’est le premier élan de solidarité pour cette famille de confession adventiste", souligne Woullingson Raufauore en attendant le relais qu'il espère de la population polynésienne.
