PAPEETE, le 9 mai 2019 – En marge du mouvement de grève des fonctionnaires d’Etat du 9 mai, un mouvement de grève avec ses revendications propres s’est tenue jeudi à l’université de la Polynésie française à l’appel de la CSTP/FO.
Jeudi matin, alors que la journée était marquée par l’appel national à la grève des fonctionnaires d’Etat, une autre grève a débuté à l’université de la Polynésie française. A l’appel de la CSTP-FO, un mouvement des Anfa, contractuels et fonctionnaires d’Etat a été lancé avec quatre points de revendication : une revalorisation salariale de 5%, la tenue d’une réunion mensuelle des délégués du personnel avec la direction de l’UPF, la « protection de l’emploi local » et la révision de deux articles d’une délibération de 2015.
Une réunion de négociation a déjà eu lieu en début de semaine entre la direction et le syndicat. Avec la grève nationale en cours sur la journée de jeudi, l’université n’était pas en mesure de donner une estimation de la mobilisation pour ce mouvement. Si le préavis déposé par la CSTP-FO faisait initialement état d’une grève « illimitée ». Le syndicat a confirmé jeudi qu’il ne s’agirait finalement que d’une grève d’une journée, avec reprise du travail dès vendredi matin.
Jeudi matin, alors que la journée était marquée par l’appel national à la grève des fonctionnaires d’Etat, une autre grève a débuté à l’université de la Polynésie française. A l’appel de la CSTP-FO, un mouvement des Anfa, contractuels et fonctionnaires d’Etat a été lancé avec quatre points de revendication : une revalorisation salariale de 5%, la tenue d’une réunion mensuelle des délégués du personnel avec la direction de l’UPF, la « protection de l’emploi local » et la révision de deux articles d’une délibération de 2015.
Une réunion de négociation a déjà eu lieu en début de semaine entre la direction et le syndicat. Avec la grève nationale en cours sur la journée de jeudi, l’université n’était pas en mesure de donner une estimation de la mobilisation pour ce mouvement. Si le préavis déposé par la CSTP-FO faisait initialement état d’une grève « illimitée ». Le syndicat a confirmé jeudi qu’il ne s’agirait finalement que d’une grève d’une journée, avec reprise du travail dès vendredi matin.
