Communiqué de la Présidence
Un préavis de grève devenu effectif ce jour a débuté au centre hospitalier de la Polynésie française. Les négociations sont conduites par la directrice de l’hôpital, dont c’est la responsabilité.
Madame Béatrice Chansin, ministre de la santé, suit naturellement de très près l’évolution de ce conflit. Ce matin, elle a informé le gouvernement de la situation exacte des revendications lors du pré-conseil des ministres qui se tient chaque lundi, en particulier les revendications qui concernent la résorption des emplois précaires.
Un cadre juridique précis existe pour ce type de situation. Cependant, les problèmes posés par les revendications des grévistes sont complexes et ne pourront pas être résolus du jour au lendemain. La santé reste une priorité pour notre gouvernement. Si dans ce domaine comme dans d’autre l’héritage est lourd, et si certaines revendications peuvent sembler légitimes, les solutions ne sauraient pour autant s’affranchir des contraintes légales inhérentes aux différents statuts des personnels concernés, notamment en ce qui concerne les recrutements. Ces derniers doivent aussi être regardés en terme d’opportunité à un moment où le gouvernement s’engage dans un plan de départs volontaires au sein de l’administration de la Polynésie française.
Le gouvernement, loin de se désintéresser des problèmes posés par les grévistes, examine la meilleure manière d’y répondre et s’exprimera le moment venu.
Madame Béatrice Chansin, ministre de la santé, suit naturellement de très près l’évolution de ce conflit. Ce matin, elle a informé le gouvernement de la situation exacte des revendications lors du pré-conseil des ministres qui se tient chaque lundi, en particulier les revendications qui concernent la résorption des emplois précaires.
Un cadre juridique précis existe pour ce type de situation. Cependant, les problèmes posés par les revendications des grévistes sont complexes et ne pourront pas être résolus du jour au lendemain. La santé reste une priorité pour notre gouvernement. Si dans ce domaine comme dans d’autre l’héritage est lourd, et si certaines revendications peuvent sembler légitimes, les solutions ne sauraient pour autant s’affranchir des contraintes légales inhérentes aux différents statuts des personnels concernés, notamment en ce qui concerne les recrutements. Ces derniers doivent aussi être regardés en terme d’opportunité à un moment où le gouvernement s’engage dans un plan de départs volontaires au sein de l’administration de la Polynésie française.
Le gouvernement, loin de se désintéresser des problèmes posés par les grévistes, examine la meilleure manière d’y répondre et s’exprimera le moment venu.
