Georges Cronsteadt a démarré l’année 2013 par une série de bons résultats au niveau local comme international. Georges a 32 ans et il est originaire du Vanuatu. Il est marié, père de deux garçons et travaille comme facteur. Il est actuellement le numéro un du Stand Up Paddle (SUP) à Tahiti.
Ses maîtres mots sont la persévérance, la patience. Il s’est forgé une volonté par ses propres moyens et le revendique. Il n’a pas d’entraîneur, il a démarré ce sport avec un groupe d’amis qui composent aujourd’hui le collectif Mataiea Lifestyle, une association destinée à promouvoir les sports en lien avec l’océan à Tahiti.
Il a s’exprime au micro de Tahiti Infos :
« La compet’ que l’on voulait organiser en décembre avec le Rautirare Surf Club n’a pas pu se faire par manque de sponsors. Mais depuis, j’ai accepté une proposition de sponsoring du numéro un mondial en planches de downwind ‘Sic Maui’ pour la prise en charge de frais de voyage et de participation aux courses. D’autres ont suivi localement,‘Mitsubishi’, ‘Filtrate Tahiti’ ou encore ‘Noni Energy’. »
« En Nouvelle Zélande, il y avait trois courses en février, la downwind de 15 km où j’ai terminé 2ème à 3 secondes du premier, l’australien Jack Jensen. On était au coude à coude à l’arrivée, il a pu prendre une vague, j’ai eu un moment d’inattention, d’où l’importance d’être lucide à chaque instant pour être à l’affût de la moindre vague. »
« Toujours en NZ, la slalom race d’1 km j’ai fait 2ème aussi et à la Tag Team (par équipe) on a fini premiers. Je suis revenu ensuite à Tahiti pour terminer premier de la Ari’i Hoe avec une avance confortable grâce à ma planche spécialement taillée pour le downwind et premier également de la Taaroa Race trois jours plus tard. Une course open, que j’avais décidé de faire avec une 12’6 pour essayer mon nouveau prototype, devant Nestor Nai qui lui était en 17’, il me semble. »
« C’est encore officieux, mais on prévoit pour le 30 et 31 mars une super course de downwind entre Teahupo’o et Mataeia réservée aux SUP et aux va’a V1. Une course de trois heures environ . Pour le femmes, on voudrait faire une petite downwind d’une heure de passe à passe. Le 2ème jour on prévoit des ‘battles’, une course pour les débutants, tout cela à Mataeia, l’eau y étant plus calme qu’à Papara. »
« Notre but est de promouvoir le stand up paddle à Tahiti, il se développe de plus en plus partout dans le monde. »
SB
Ses maîtres mots sont la persévérance, la patience. Il s’est forgé une volonté par ses propres moyens et le revendique. Il n’a pas d’entraîneur, il a démarré ce sport avec un groupe d’amis qui composent aujourd’hui le collectif Mataiea Lifestyle, une association destinée à promouvoir les sports en lien avec l’océan à Tahiti.
Il a s’exprime au micro de Tahiti Infos :
« La compet’ que l’on voulait organiser en décembre avec le Rautirare Surf Club n’a pas pu se faire par manque de sponsors. Mais depuis, j’ai accepté une proposition de sponsoring du numéro un mondial en planches de downwind ‘Sic Maui’ pour la prise en charge de frais de voyage et de participation aux courses. D’autres ont suivi localement,‘Mitsubishi’, ‘Filtrate Tahiti’ ou encore ‘Noni Energy’. »
« En Nouvelle Zélande, il y avait trois courses en février, la downwind de 15 km où j’ai terminé 2ème à 3 secondes du premier, l’australien Jack Jensen. On était au coude à coude à l’arrivée, il a pu prendre une vague, j’ai eu un moment d’inattention, d’où l’importance d’être lucide à chaque instant pour être à l’affût de la moindre vague. »
« Toujours en NZ, la slalom race d’1 km j’ai fait 2ème aussi et à la Tag Team (par équipe) on a fini premiers. Je suis revenu ensuite à Tahiti pour terminer premier de la Ari’i Hoe avec une avance confortable grâce à ma planche spécialement taillée pour le downwind et premier également de la Taaroa Race trois jours plus tard. Une course open, que j’avais décidé de faire avec une 12’6 pour essayer mon nouveau prototype, devant Nestor Nai qui lui était en 17’, il me semble. »
« C’est encore officieux, mais on prévoit pour le 30 et 31 mars une super course de downwind entre Teahupo’o et Mataeia réservée aux SUP et aux va’a V1. Une course de trois heures environ . Pour le femmes, on voudrait faire une petite downwind d’une heure de passe à passe. Le 2ème jour on prévoit des ‘battles’, une course pour les débutants, tout cela à Mataeia, l’eau y étant plus calme qu’à Papara. »
« Notre but est de promouvoir le stand up paddle à Tahiti, il se développe de plus en plus partout dans le monde. »
SB
