PAPEETE, le 28 novembre 2018. L'impact de l'arrivée de French Bee début mai au fenua commence à être perceptible dans les chiffres. La compagnie low cost a permis d'augmenter le nombre de touristes venant au fenua mais a aussi modifié le profil type du voyageur. Désormais, les Français sont plus nombreux que les Américains et le séjour moyen au fenua est plus long.
La Polynésie française a accueilli ce troisième trimestre davantage de touristes français que d'Américains alors que les Etats-Unis étaient jusque là le premier marché émetteur de voyageurs à destination du fenua. La destination a accueilli un total de 18 469 Français au troisième trimestre 2018 contre 14 851 sur la même période en 2017, soit un véritable bond +24.4 %, annonce le tableau de bord du tourisme de l'Institut de la statistique de la Polynésie française.
La durée moyenne de séjour d'un touristes français est de 26 jours, la plus longue de l’ensemble des marchés émetteurs touristiques de la Polynésie française.
La métropole devient ainsi le premier marché émetteur en termes de nombre de touristes au mois de septembre, devant les Etats-Unis, habituellement en tête, et le Japon.
Au global, la Polynésie française a accueilli 160 629 touristes de janvier à septembre 2018, soit une hausse de +6,9% par rapport à la même période en 2017 avec 10 420 touristes supplémentaires. Quant au nombre de nuitées touristiques, il croît plus vite que les effectifs touristiques avec une augmentation de +13,3%, soit 2 370 236 nuitées, comparé à la même période de 2017.
La Polynésie française a accueilli ce troisième trimestre davantage de touristes français que d'Américains alors que les Etats-Unis étaient jusque là le premier marché émetteur de voyageurs à destination du fenua. La destination a accueilli un total de 18 469 Français au troisième trimestre 2018 contre 14 851 sur la même période en 2017, soit un véritable bond +24.4 %, annonce le tableau de bord du tourisme de l'Institut de la statistique de la Polynésie française.
La durée moyenne de séjour d'un touristes français est de 26 jours, la plus longue de l’ensemble des marchés émetteurs touristiques de la Polynésie française.
La métropole devient ainsi le premier marché émetteur en termes de nombre de touristes au mois de septembre, devant les Etats-Unis, habituellement en tête, et le Japon.
Au global, la Polynésie française a accueilli 160 629 touristes de janvier à septembre 2018, soit une hausse de +6,9% par rapport à la même période en 2017 avec 10 420 touristes supplémentaires. Quant au nombre de nuitées touristiques, il croît plus vite que les effectifs touristiques avec une augmentation de +13,3%, soit 2 370 236 nuitées, comparé à la même période de 2017.
Les touristes de French Bee restent plus longtemps
L'ISPF note que "Le nombre de nuitées en hébergement terrestre marchand progresse de 16 % en un an (+ 86 700 nuitées), en lien avec la hausse de fréquentation et la progression de la durée moyenne de séjour qui augmente d’un jour pour s’établir à 15,5 jours". "Cette hausse de la durée moyenne de séjour est principalement le fait de la clientèle du nouvel opérateur aérien dont la durée moyenne de séjour est plus longue de 3,5 jours pour la part non française et de deux jours pour la part originaire de France", explique l'Institut de la statistique.
"La hausse des nuitées terrestres marchandes des métropolitains contribue pour 10 points à l’évolution globale du nombre de nuitées terrestres marchandes. Cette hausse se retrouve pour partie dans l’hôtellerie internationale avec une progression des ventes de 11 % à destination du marché français mais aussi dans les autres hébergements marchands (petite hôtellerie familiale et location de vacances). Au global, le nombre de chambres louées dans l’hôtellerie internationale progresse de 1,9 % et les effectifs accueillis en location de vacances ou petite hôtellerie familiale progressent respectivement de 60 % et 30 %", indique l'ISPF. "La fréquentation en hébergement non marchand, soit 12 % des effectifs du trimestre, progresse de 36 % sur un an ; les arrivées supplémentaires de touristes métropolitains contribuent pour 17,6 points à cette progression et celles des touristes originaires du Pacifique pour 11 points. La croissance des effectifs alimente la hausse du nombre de nuitées non marchandes qui progresse de 33,8 %, soit 53 500 nuitées de plus. Sur la même période, le nombre de nuitées payantes flottantes progresse légèrement (+ 6 800 nuitées) en lien avec la légère croissance des effectifs et la légère hausse de la durée moyenne de séjour. Le nombre total de nuitées touristiques progresse de 17,4 %, à 993 800 nuitées (au troisième trimestre)."
"La hausse des nuitées terrestres marchandes des métropolitains contribue pour 10 points à l’évolution globale du nombre de nuitées terrestres marchandes. Cette hausse se retrouve pour partie dans l’hôtellerie internationale avec une progression des ventes de 11 % à destination du marché français mais aussi dans les autres hébergements marchands (petite hôtellerie familiale et location de vacances). Au global, le nombre de chambres louées dans l’hôtellerie internationale progresse de 1,9 % et les effectifs accueillis en location de vacances ou petite hôtellerie familiale progressent respectivement de 60 % et 30 %", indique l'ISPF. "La fréquentation en hébergement non marchand, soit 12 % des effectifs du trimestre, progresse de 36 % sur un an ; les arrivées supplémentaires de touristes métropolitains contribuent pour 17,6 points à cette progression et celles des touristes originaires du Pacifique pour 11 points. La croissance des effectifs alimente la hausse du nombre de nuitées non marchandes qui progresse de 33,8 %, soit 53 500 nuitées de plus. Sur la même période, le nombre de nuitées payantes flottantes progresse légèrement (+ 6 800 nuitées) en lien avec la légère croissance des effectifs et la légère hausse de la durée moyenne de séjour. Le nombre total de nuitées touristiques progresse de 17,4 %, à 993 800 nuitées (au troisième trimestre)."
