Parole à Keali’i Wong :
Ton parcours ?
« Au départ, j’étais parti pour faire mes études. Ensuite, j’ai intégré le club de Erstein en Division d’honneur U19, un club dont l’équipe première est en Nationale 2. Du coup, j’ai passé mon année à faire mes études tout en jouant au football à Strasbourg. J’ai ensuite enchainé et je suis actuellement au Pays de Galles dans un nouveau club. »
Le bilan de la dernière saison ?
« Au tout début, cela a été difficile, vu l’éloignement avec Tahiti et la famille. Après, j’ai été bien accueilli par les joueurs du club à Strasbourg. Cela s’est bien passé, je me suis fait rapidement des amis. Footballistiquement, cela s’est bien passé aussi. J’ai bien vu qu’il y avait un grand écart par rapport au niveau tahitien. J’ai beaucoup appris, c’était bien. »
Qu’as-tu appris ?
« Là-bas, on était suivis par un diététicien. On avait une préparation physique, techniquement c’est plus élevé qu’à Tahiti donc j’ai beaucoup appris techniquement et physiquement. Au Pays de Galles, c’est une nouvelle aventure qui commence. »
Content d’avoir vécu l’aventure avec la sélection ?
« Oui, très content. C’était un honneur de représenter la Polynésie, surtout pour les qualifications. Ceux nés avant 1999 avaient une revanche à prendre parce qu’en U17 on avait perdu en finale lors du tournoi qualificatif de 2017. Je savais qu’on pouvait aller chercher cette qualification pour la Coupe du monde et c’est ce qu’on a fait. »
Cela s’insère bien dans ton projet footballistique ?
« Oui, parce que jouer une Coupe du monde ce n’est pas donné à tout le monde. Même si là-bas on va jouer contre des joueurs pros. Le but c’est d’aller jouer là-bas comme une expérience à prendre. »
Le fait de voir ta sœur jouer au football ?
« De la voir jouer au football, cela fait plaisir. Elle est vraiment haut-placé donc chapeau à elle. Je la soutiens, je la pousse à aller plus haut. Merci à tout le monde, à la famille et aux coachs. Merci au public pour le soutien. » Propos recueillis par SB / FTF
Ton parcours ?
« Au départ, j’étais parti pour faire mes études. Ensuite, j’ai intégré le club de Erstein en Division d’honneur U19, un club dont l’équipe première est en Nationale 2. Du coup, j’ai passé mon année à faire mes études tout en jouant au football à Strasbourg. J’ai ensuite enchainé et je suis actuellement au Pays de Galles dans un nouveau club. »
Le bilan de la dernière saison ?
« Au tout début, cela a été difficile, vu l’éloignement avec Tahiti et la famille. Après, j’ai été bien accueilli par les joueurs du club à Strasbourg. Cela s’est bien passé, je me suis fait rapidement des amis. Footballistiquement, cela s’est bien passé aussi. J’ai bien vu qu’il y avait un grand écart par rapport au niveau tahitien. J’ai beaucoup appris, c’était bien. »
Qu’as-tu appris ?
« Là-bas, on était suivis par un diététicien. On avait une préparation physique, techniquement c’est plus élevé qu’à Tahiti donc j’ai beaucoup appris techniquement et physiquement. Au Pays de Galles, c’est une nouvelle aventure qui commence. »
Content d’avoir vécu l’aventure avec la sélection ?
« Oui, très content. C’était un honneur de représenter la Polynésie, surtout pour les qualifications. Ceux nés avant 1999 avaient une revanche à prendre parce qu’en U17 on avait perdu en finale lors du tournoi qualificatif de 2017. Je savais qu’on pouvait aller chercher cette qualification pour la Coupe du monde et c’est ce qu’on a fait. »
Cela s’insère bien dans ton projet footballistique ?
« Oui, parce que jouer une Coupe du monde ce n’est pas donné à tout le monde. Même si là-bas on va jouer contre des joueurs pros. Le but c’est d’aller jouer là-bas comme une expérience à prendre. »
Le fait de voir ta sœur jouer au football ?
« De la voir jouer au football, cela fait plaisir. Elle est vraiment haut-placé donc chapeau à elle. Je la soutiens, je la pousse à aller plus haut. Merci à tout le monde, à la famille et aux coachs. Merci au public pour le soutien. » Propos recueillis par SB / FTF