PARIS, 21 mai 2014 (AFP) - Facebook a lancé mercredi la version française de son portail de prévention du harcèlement en France, alors que les réseaux sociaux ont été interpellés à plusieurs reprises sur la montée du cyberharcèlement chez les adolescents.
"Dès qu'une personne signalera un harcèlement via les liens de signalement Facebook, elle sera dirigée vers le portail, sur lequel elle pourra trouver tous les conseils utiles sur la conduite à adopter", a expliqué le groupe dans un communiqué.
Agrémenté de nombreux dessins, le site www.facebook.com/safety/bullying.facebook.com/safety/bullying (lancé en novembre aux Etats-Unis) donne des recommandations aux adultes et aux adolescents, ainsi qu'à "ceux qui pourraient être accusés de harcèlement".
Créé en collaboration avec les ingénieurs de Facebook, le "Center for Emotional Intelligence" de l'Université de Yale et l'association e-Enfance, le portail apporte "une aide à tous ceux qui souhaitent prévenir et lutter contre le harcèlement: victimes ou témoins de ce type de situations, qu'elles surviennent en ligne ou non".
Selon des chiffres cités par Catherine Blaya, cofondatrice de l'Observatoire international de la violence scolaire, dans son essai "Les ados dans le cyberespace, Prises de risque et cyberviolence", 6% des élèves en France disent être victimes de cyberharcèlement.
En 2009, la Commission européenne a demandé aux réseaux sociaux d'améliorer les mesures de protection des enfants.
En octobre 2013, un jeune homme de 18 ans, victime de chantage sur Facebook, s'était donné la mort à Brest.
mig/na/er
"Dès qu'une personne signalera un harcèlement via les liens de signalement Facebook, elle sera dirigée vers le portail, sur lequel elle pourra trouver tous les conseils utiles sur la conduite à adopter", a expliqué le groupe dans un communiqué.
Agrémenté de nombreux dessins, le site www.facebook.com/safety/bullying.facebook.com/safety/bullying (lancé en novembre aux Etats-Unis) donne des recommandations aux adultes et aux adolescents, ainsi qu'à "ceux qui pourraient être accusés de harcèlement".
Créé en collaboration avec les ingénieurs de Facebook, le "Center for Emotional Intelligence" de l'Université de Yale et l'association e-Enfance, le portail apporte "une aide à tous ceux qui souhaitent prévenir et lutter contre le harcèlement: victimes ou témoins de ce type de situations, qu'elles surviennent en ligne ou non".
Selon des chiffres cités par Catherine Blaya, cofondatrice de l'Observatoire international de la violence scolaire, dans son essai "Les ados dans le cyberespace, Prises de risque et cyberviolence", 6% des élèves en France disent être victimes de cyberharcèlement.
En 2009, la Commission européenne a demandé aux réseaux sociaux d'améliorer les mesures de protection des enfants.
En octobre 2013, un jeune homme de 18 ans, victime de chantage sur Facebook, s'était donné la mort à Brest.
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