photo d'illustration
Durant quatorze mois, du 1er février 2011 et le 12 avril dernier à Faa'a, un piroguier de 34 ans a dérobé une dizaine de pirogues pour les revendre en ligne, sur des sites de petites annonces, après les avoir repeinte pour les rendre méconnaissables. Pris "la main dans le sac" puis confondu par les incohérences de ses déclarations, il a reconnu la totalité des vols.
Sur instruction du parquet, le voleur présumé sera convoqué devant le tribunal pour répondre de de ses actes.
Le mode opératoire dévoilé par l'enquête de gendarmerie révèle le larcin : se rendant en zone Nord de l'aéroport de Tahiti-Faa'a pour effectuer des entraînements de rame, l'individus se servait parmi les pirogues stockées dans cette zone de loisirs pour les ramener par voie maritime à son domicile. Après s'être bien entraîné sur la pirogue d'autrui, il la faisait sienne en la repeignant pour ensuite la revendre sur des sites internet.
Une dizaine de vols de pirogues sont recensés, on dénombre 9 victimes de ces agissements.
Après investigations de la brigade de gendarmerie des transports aérien, l'auteur des faits est interpelé et entendu sous le régime de la garde à vue afin de s'expliquer sur les vols de pirogues en zone public à accès règlementé sur l'aéroport de Tahiti.
Sur instruction du parquet, le voleur présumé sera convoqué devant le tribunal pour répondre de de ses actes.
Le mode opératoire dévoilé par l'enquête de gendarmerie révèle le larcin : se rendant en zone Nord de l'aéroport de Tahiti-Faa'a pour effectuer des entraînements de rame, l'individus se servait parmi les pirogues stockées dans cette zone de loisirs pour les ramener par voie maritime à son domicile. Après s'être bien entraîné sur la pirogue d'autrui, il la faisait sienne en la repeignant pour ensuite la revendre sur des sites internet.
Une dizaine de vols de pirogues sont recensés, on dénombre 9 victimes de ces agissements.
Après investigations de la brigade de gendarmerie des transports aérien, l'auteur des faits est interpelé et entendu sous le régime de la garde à vue afin de s'expliquer sur les vols de pirogues en zone public à accès règlementé sur l'aéroport de Tahiti.
