PAGO-PAGO, vendredi 23 mai 2014 (Flash d’Océanie) – Les autorités des Samoa américaines sont sur le pied de guerre de puis cette semaine, après la mort de quatre enfants en bas âge, victime de ce qui est jusqu’ici décrit comme une épidémie de dysenterie d’origine inconnue.
Outre les quatre petites victimes, qui ont succombé à une déshydratation massive causée par cette diarrhée, 165 cas de personnes présentant des symptômes similaires, mais moins avancés, ont été identifiés depuis le début mai 2014.
Sur ce total, une quinzaine de cas, présentant des symptômes comme des violents maux de ventre et de la fièvre, ont nécessité une hospitalisation, rapporte la presse locale.
Selon les premières analyses effectuées par les services sanitaires et hospitaliers des Samoa américaines, il s’agirait d’une forme particulièrement virulente d’amibes, mais l’origine de ce qui semble être une contamination massive n’a toujours pas été identifiée.
« Mais nous recherchons toujours une origine commune, par exemple un magasin, un restaurant, un événement, un emplacement, une école, qui aurait été le point de départ
Et qui nous permettrait alors d’identifier la source », a expliqué Mark Durand, épidémiologiste sur place, à Radio New Zealand International.
Parmi les vérifications en cours : celles concernant la qualité de l’eau distribuée via le système d’adduction public, ainsi qu’une série d’inspections de certains domiciles dans la capitale et ses environs.
En attendant, des messages clairs ont été disséminés à l’attention du public : observer des règles d’hygiène renforcées, comme se laver les mains systématiquement et ne tirer de l’eau potable que depuis des points approuvés par les services sanitaires.
pad
Outre les quatre petites victimes, qui ont succombé à une déshydratation massive causée par cette diarrhée, 165 cas de personnes présentant des symptômes similaires, mais moins avancés, ont été identifiés depuis le début mai 2014.
Sur ce total, une quinzaine de cas, présentant des symptômes comme des violents maux de ventre et de la fièvre, ont nécessité une hospitalisation, rapporte la presse locale.
Selon les premières analyses effectuées par les services sanitaires et hospitaliers des Samoa américaines, il s’agirait d’une forme particulièrement virulente d’amibes, mais l’origine de ce qui semble être une contamination massive n’a toujours pas été identifiée.
« Mais nous recherchons toujours une origine commune, par exemple un magasin, un restaurant, un événement, un emplacement, une école, qui aurait été le point de départ
Et qui nous permettrait alors d’identifier la source », a expliqué Mark Durand, épidémiologiste sur place, à Radio New Zealand International.
Parmi les vérifications en cours : celles concernant la qualité de l’eau distribuée via le système d’adduction public, ainsi qu’une série d’inspections de certains domiciles dans la capitale et ses environs.
En attendant, des messages clairs ont été disséminés à l’attention du public : observer des règles d’hygiène renforcées, comme se laver les mains systématiquement et ne tirer de l’eau potable que depuis des points approuvés par les services sanitaires.
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