L’institut de la Statistique en Polynésie française vient de publier Te Avei’a, sa note de conjoncture du premier trimestre 2012.
L’emploi salarié déclaré enregistre sa quatrième année consécutive de baisse en 2011, revenant au niveau de 2003, tandis que les indicateurs du marché du travail au premier trimestre 2012 ne laissent pas augurer de reprise rapide de l’emploi.
Le nombre de salariés déclarés à la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS) est passé sous les 63 000 personnes fin décembre 2011 (- 3,2 % sur un an), soit la quatrième année consécutive de repli des effectifs qui reviennent au niveau de 2003.
Ce niveau est d’autant plus inquiétant si l’on considère les nouveaux actifs qui entrent sur le marché du travail chaque année.
En 2011, les secteurs privé et public se partagent chacun la moitié des destructions de postes.
Les activités de la construction et du commerce ont supprimé plus de 400 postes chacun. Les autres activités de services ont détruit 270 postes essentiellement dans les associations, qui sont confrontées aux difficultés et choix financiers du Pays.
Enfin les activités spécialisées perdent 200 postes, principalement dans les métiers d’architectes, juristes, comptables. Les effectifs déclarés par les sociétés de travail intérimaire diminuent de 16 % sur un an (- 50 postes). L’industrie a supprimé 60 postes ; les activités industrielles liées à la construction sont les plus concernées.
Les 62 960 salariés déclarés à fin décembre 2011, occupent 54 370 postes en équivalent temps plein (- 4 % sur un an) ; cette baisse plus rapide du nombre de postes illustre le recours aux contrats à temps partiel. Cette tendance est toutefois moins marquée en 2011, avec un horaire moyen (soit la durée du travail par tête) qui demeure relativement stable (- 0,4 %).
Quant aux heures travaillées, elles diminuent pour la quatrième année consécutive (- 3 % en 2011).
L’emploi salarié déclaré enregistre sa quatrième année consécutive de baisse en 2011, revenant au niveau de 2003, tandis que les indicateurs du marché du travail au premier trimestre 2012 ne laissent pas augurer de reprise rapide de l’emploi.
Le nombre de salariés déclarés à la Caisse de Prévoyance Sociale (CPS) est passé sous les 63 000 personnes fin décembre 2011 (- 3,2 % sur un an), soit la quatrième année consécutive de repli des effectifs qui reviennent au niveau de 2003.
Ce niveau est d’autant plus inquiétant si l’on considère les nouveaux actifs qui entrent sur le marché du travail chaque année.
En 2011, les secteurs privé et public se partagent chacun la moitié des destructions de postes.
Les activités de la construction et du commerce ont supprimé plus de 400 postes chacun. Les autres activités de services ont détruit 270 postes essentiellement dans les associations, qui sont confrontées aux difficultés et choix financiers du Pays.
Enfin les activités spécialisées perdent 200 postes, principalement dans les métiers d’architectes, juristes, comptables. Les effectifs déclarés par les sociétés de travail intérimaire diminuent de 16 % sur un an (- 50 postes). L’industrie a supprimé 60 postes ; les activités industrielles liées à la construction sont les plus concernées.
Les 62 960 salariés déclarés à fin décembre 2011, occupent 54 370 postes en équivalent temps plein (- 4 % sur un an) ; cette baisse plus rapide du nombre de postes illustre le recours aux contrats à temps partiel. Cette tendance est toutefois moins marquée en 2011, avec un horaire moyen (soit la durée du travail par tête) qui demeure relativement stable (- 0,4 %).
Quant aux heures travaillées, elles diminuent pour la quatrième année consécutive (- 3 % en 2011).
