Condamné pour ce premier écart de conduite, le tane est néanmoins reparti libre du tribunal.
PAPEETE, le 21 décembre 2015 - Un menuisier de 24 ans a écopé de 15 jours de prison avec sursis ce lundi en comparution immédiate pour avoir administré "une centaine de gifles" ce dimanche à son ex-femme. Ivre et très énervée, elle s'était présentée chez sa belle-famille pour insulter tout le monde.
Les histoires d'amour finissent mal, en général. Un couple qui vivait séparé depuis la naissance de leur enfant il y a trois ans s'est retrouvé à la barre du tribunal, hier après-midi. Le tane entre deux gendarmes, et la vahine sur le banc des victimes. Le jeune homme de 24 ans, au casier judiciaire vierge, n'a pas supporté que celle dont il souhaite divorcer se présente au domicile de sa belle-famille à la Presqu'île, où il vivait séparé d'elle, pour insulter copieusement tout le monde.
Ivre et très énervée, la jeune femme était allée lui demander des comptes sur la garde de l'enfant et de l'argent, envoyait des salves de SMS insultants et grossiers à sa belle-mère. Le frère du prévenu avait d'abord tenté de la mettre dehors avant que ce dernier ne les sépare puis, ne sachant plus comment raisonner la furie, frappe à son tour : "On parle d'une centaine de claques", précise le président du tribunal qui a fermement condamné cette violence tout en rappelant à la victime qu'elle aurait pu éviter de se mettre dans une situation qu'elle a finalement provoquée, puis envenimée. Aucun dommages et intérêts ne lui sera d'ailleurs accordé à ce titre.
Les histoires d'amour finissent mal, en général. Un couple qui vivait séparé depuis la naissance de leur enfant il y a trois ans s'est retrouvé à la barre du tribunal, hier après-midi. Le tane entre deux gendarmes, et la vahine sur le banc des victimes. Le jeune homme de 24 ans, au casier judiciaire vierge, n'a pas supporté que celle dont il souhaite divorcer se présente au domicile de sa belle-famille à la Presqu'île, où il vivait séparé d'elle, pour insulter copieusement tout le monde.
Ivre et très énervée, la jeune femme était allée lui demander des comptes sur la garde de l'enfant et de l'argent, envoyait des salves de SMS insultants et grossiers à sa belle-mère. Le frère du prévenu avait d'abord tenté de la mettre dehors avant que ce dernier ne les sépare puis, ne sachant plus comment raisonner la furie, frappe à son tour : "On parle d'une centaine de claques", précise le président du tribunal qui a fermement condamné cette violence tout en rappelant à la victime qu'elle aurait pu éviter de se mettre dans une situation qu'elle a finalement provoquée, puis envenimée. Aucun dommages et intérêts ne lui sera d'ailleurs accordé à ce titre.
