PAPEETE, le 4 octobre 2016. La convention relative à l'éducation entre la Polynésie française et l'Etat a été adoptée jeudi dernier par les représentants à l'assemblée.
Dans cette convention, le Pays et l'Etat déterminent leurs modalités de collaboration au fonctionnement du système éducatif de la Polynésie française et à son développement. "La politique éducative doit prendre en compte le fait que les enfants grandissent en Polynésie française dans des environnements familiaux et sociaux où ils entendent les langues polynésiennes, sans forcément toujours les parler eux-mêmes, et le français. La politique éducative doit prendre appui sur ce plurilinguisme ambiant", peut-on lire dans le préambule."En le valorisant, et en l'articulant à un enseignement méthodique des langues, en gestion coordonnée avec celui du français et de l'anglais, il représente un potentiel remarquable pour le développement affectif, cognitif et culturel des élèves."
La convention note : "Réciproquement, il peut être source d'exclusion, si certains enfants, citoyens de demain, ne sont pas en mesure d'accéder à ces éléments fondamentaux de l'identité polynésienne. Il appartient à chacun des acteurs du système éducatif de valoriser autant que faire se peut ces pratiques langagières qui fondent les spécificités polynésiennes et enrichissent l'élève."
Dans cette convention, le Pays et l'Etat déterminent leurs modalités de collaboration au fonctionnement du système éducatif de la Polynésie française et à son développement. "La politique éducative doit prendre en compte le fait que les enfants grandissent en Polynésie française dans des environnements familiaux et sociaux où ils entendent les langues polynésiennes, sans forcément toujours les parler eux-mêmes, et le français. La politique éducative doit prendre appui sur ce plurilinguisme ambiant", peut-on lire dans le préambule."En le valorisant, et en l'articulant à un enseignement méthodique des langues, en gestion coordonnée avec celui du français et de l'anglais, il représente un potentiel remarquable pour le développement affectif, cognitif et culturel des élèves."
La convention note : "Réciproquement, il peut être source d'exclusion, si certains enfants, citoyens de demain, ne sont pas en mesure d'accéder à ces éléments fondamentaux de l'identité polynésienne. Il appartient à chacun des acteurs du système éducatif de valoriser autant que faire se peut ces pratiques langagières qui fondent les spécificités polynésiennes et enrichissent l'élève."
