Ce jeudi, à quelques heures de la fin du préavis de grève, l’intersyndicale des enseignants du second degré a été reçue par le ministre de l’Education Tauhiti Nena. Ce dernier est revenu sur la réunion qu’il avait tenue la veille et leur a annoncé les concessions que le Vice-recteur serait prêt à accorder dans le cadre de la suppression des 177 postes.
Cette proposition a été qualifiée d’inacceptable par les syndicats qui ont marché vers le vice-rectorat afin de le rencontrer. Ce dernier a accepté de ne recevoir que 5 membres de l’intersyndicale sur la dizaine présente, et ce au motif de ne pas avoir de salle assez grande. Les représentants syndicaux voulaient lui faire part de leur proposition : aucune suppression de poste et la création de 7 postes de CPE. Ils ont souligné qu’ils ne reviendraient en aucune façon sur cette revendication.
Ainsi à l’heure où nous rédigeons cet article, l’intersyndicale attend le Vice-recteur dans une salle du CESC. Si à 17h, la rencontre n’a pas eu lieu, la grève sera inévitable. Dans cette éventualité, les enseignants ont d’ores et déjà été appelé à manifester demain matin à 8h devant le Haut-commissariat de la République.
A 17 h30 le vice-recteur ne s'est pas rendu au CESC . L'intersyndicale signale qu'elle demeure disponible et ouverte à la négociation jusqu'à ce soir minuit après quoi elle appelle a une mobilisation générale et invite les parents d'élève à se joindre au mouvement vendredi matin à 8 h devant le Haut-commissariat
Cette proposition a été qualifiée d’inacceptable par les syndicats qui ont marché vers le vice-rectorat afin de le rencontrer. Ce dernier a accepté de ne recevoir que 5 membres de l’intersyndicale sur la dizaine présente, et ce au motif de ne pas avoir de salle assez grande. Les représentants syndicaux voulaient lui faire part de leur proposition : aucune suppression de poste et la création de 7 postes de CPE. Ils ont souligné qu’ils ne reviendraient en aucune façon sur cette revendication.
Ainsi à l’heure où nous rédigeons cet article, l’intersyndicale attend le Vice-recteur dans une salle du CESC. Si à 17h, la rencontre n’a pas eu lieu, la grève sera inévitable. Dans cette éventualité, les enseignants ont d’ores et déjà été appelé à manifester demain matin à 8h devant le Haut-commissariat de la République.
A 17 h30 le vice-recteur ne s'est pas rendu au CESC . L'intersyndicale signale qu'elle demeure disponible et ouverte à la négociation jusqu'à ce soir minuit après quoi elle appelle a une mobilisation générale et invite les parents d'élève à se joindre au mouvement vendredi matin à 8 h devant le Haut-commissariat
