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Eboulements en série : à Punaauia et Paea, plus de peur que de mal


Photo d'illustration
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PUNAAUIA, le 6 juillet 2014. La soirée de ce samedi a été marquée par deux affaires d'éboulement de rochers. Dans les deux cas, ces éboulements parfois massifs, se sont terminés heureusement sans faire de blessés. C'est d'abord à Punaauia, vers 21 heures ce samedi soir, qu'un rocher estimé à plus de 500 kg dévale la montagne. Il termine sa course dans une propriété, à 20 mètres de deux maisons de la servitude Bernardino. Les pompiers sont intervenus sur place mais aucun blessé ni dégradations ne sont constatés.

La même soirée de samedi, mais cette fois à 22h45 à Paea, servitude Baldwin au Pk 22,800 côté montagne, un rocher se détache de la montagne et termine sa course dans la chambre inoccupée à ce moment là d'une maison. La résidente de l'habitation qui était dans la pièce voisine quand le rocher a dévalé la montagne, traversé son jardin et détruit le mur de sa maison jusqu'à la chambre vide, a quitté son domicile et a été relogée par des personnes de sa famille. Le cadre permanence de la mairie de Paea a été avisé de l'incident.

Rédigé par Communiqué de gendarmerie le Dimanche 6 Juillet 2014 à 12:27 | Lu 1904 fois
           



Commentaires

1.Posté par xxl le 07/07/2014 08:06 | Alerter
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Les bombes volcaniques prisonnières du mamu qui fait nos collines, sont des danger invisibles, que tôt ou tard les aléas climatiques libèrent, il est difficile sinon impossible de lutter efficacement contre cet état de fait, heureusement que pour les deux cas à Paea, il n'y a pas eu de victime.

2.Posté par Mozilla le 10/07/2014 00:46 | Alerter
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Quand nos rochers constatent avec effroi ce que flosse 1er fait avec leurs frères en les arrachant de leur lieu de naissance, en les trimbalant à droite et à gauche et en leur attribuant des titres ou fonctions qu'ils n'ont jamais demandé et ben c'est clair : ils se révoltent c'est logique! Va-t-en savoir un jour la révolte des rochers et autres cailloux rebelles sera peut-être plus grave encore! Vive les Ofai libres!