PAPEETE, mardi 19 février 2013. Ce quartet de mimes, appelé Dek.Ru (prononcer Decroux) en hommage au mime français Etienne Decroux, a été composé il y a deux ans à la sortie de la prestigieuse école nationale du cirque de Kiev en Ukraine. Ces jeunes artistes âgés de 21 ans à peine y ont appris durant 7 ans toutes les disciplines du cirque, forgeant leurs corps à d’incroyables prestations et leur mental à l’impérieuse exigence des métiers de la balle.
Mais c’est le mime qui a rapidement soudé ce groupe de quatre : trois garçons et une fille. Depuis ils ont pu montrer leur incroyable talent essentiellement en Ukraine, en Russie et en Europe de l’Est. Le succès est immédiatement au rendez-vous : la troupe De.Kru a été lauréate en 2011 du Mondial du cirque de Moscou et du festival de clown et de mime d’Odessa, la même année. En novembre 2011, la compagnie de théâtre du Caméléon, basée à Tahiti, participe au festival international des arts visuels de Saint-Pétersbourg avec sa pièce Family Dream et entend parler de De.Kru. Guillaume Gay l’un des responsables de la compagnie va voir le spectacle et en revient enchanté. La compagnie du Caméléon, étant également productrice de spectacles d’art vivant décide de faire tourner le jeune quatuor de mimes. C’est ainsi que Dek.Ru entame donc sa carrière internationale, une fois n’est pas coutume, par la Polynésie française. Et on ne peut que s’en réjouir.
Le spectacle proposé en Polynésie du 22 février au 9 mars dans le petit théâtre de la Maison de la culture, «Âme en apesanteur» est une plongée dans le monde onirique de ces quatre artistes, utilisant leurs corps, mais aussi et surtout leurs mains et leurs visages pour s’exprimer. «J’ai rapidement été surpris par ce spectacle. Quand on pense au mime, on imagine immédiatement quelque chose d’un peu poussiéreux, d’académique. Mais là, il y a une vraie modernité grâce à leur jeunesse bien sûr, au rythme qu’ils intègrent, mais aussi par les expérimentations qu’ils tentent. C’est du mime, mais il y a également du clown en eux, d’autant qu’un autre de leur spectacle est davantage axé sur les clowns» détaille Guillaume Gay. Difficile de mettre des mots sur un spectacle avant tout visuel, mais Guillaume Gay déclare avoir été conquis «c’est drôle à plein de moments, poétique. Moi j’en suis sorti euphorique et plein d’énergie. C’est un spectacle multi émotions».
D’une durée d’une heure, le spectacle «Âme en apesanteur» de Dek.Ru est donc un enchaînement de saynètes cocasses et intimes avec l’amour et la vie quotidienne en fil rouge. En insertion vidéo, le grand mime Marcel Marceau (décédé en 2007), filmé dans son atelier, livrera au public de courtes explications sur les gestes et les techniques du mime. «Ce n’est pas vraiment un hommage au maître du genre, mais comme s’il y avait un 5e personnage sur scène». Après cette expérience polynésienne, la compagnie du Caméléon proposera à la petite troupe ukrainienne de poursuivre sa tournée dans le Pacifique en Nouvelle Calédonie. Des contacts ont été pris pour que ces jeunes artistes puissent se produire en France, avec pourquoi pas le Festival d’Avignon en 2014 et, enfin, une vraie ouverture vers l’international. Le mime étant un langage universel, avec de tels ambassadeurs il devrait pouvoir conquérir tous les publics.
Mais c’est le mime qui a rapidement soudé ce groupe de quatre : trois garçons et une fille. Depuis ils ont pu montrer leur incroyable talent essentiellement en Ukraine, en Russie et en Europe de l’Est. Le succès est immédiatement au rendez-vous : la troupe De.Kru a été lauréate en 2011 du Mondial du cirque de Moscou et du festival de clown et de mime d’Odessa, la même année. En novembre 2011, la compagnie de théâtre du Caméléon, basée à Tahiti, participe au festival international des arts visuels de Saint-Pétersbourg avec sa pièce Family Dream et entend parler de De.Kru. Guillaume Gay l’un des responsables de la compagnie va voir le spectacle et en revient enchanté. La compagnie du Caméléon, étant également productrice de spectacles d’art vivant décide de faire tourner le jeune quatuor de mimes. C’est ainsi que Dek.Ru entame donc sa carrière internationale, une fois n’est pas coutume, par la Polynésie française. Et on ne peut que s’en réjouir.
Le spectacle proposé en Polynésie du 22 février au 9 mars dans le petit théâtre de la Maison de la culture, «Âme en apesanteur» est une plongée dans le monde onirique de ces quatre artistes, utilisant leurs corps, mais aussi et surtout leurs mains et leurs visages pour s’exprimer. «J’ai rapidement été surpris par ce spectacle. Quand on pense au mime, on imagine immédiatement quelque chose d’un peu poussiéreux, d’académique. Mais là, il y a une vraie modernité grâce à leur jeunesse bien sûr, au rythme qu’ils intègrent, mais aussi par les expérimentations qu’ils tentent. C’est du mime, mais il y a également du clown en eux, d’autant qu’un autre de leur spectacle est davantage axé sur les clowns» détaille Guillaume Gay. Difficile de mettre des mots sur un spectacle avant tout visuel, mais Guillaume Gay déclare avoir été conquis «c’est drôle à plein de moments, poétique. Moi j’en suis sorti euphorique et plein d’énergie. C’est un spectacle multi émotions».
D’une durée d’une heure, le spectacle «Âme en apesanteur» de Dek.Ru est donc un enchaînement de saynètes cocasses et intimes avec l’amour et la vie quotidienne en fil rouge. En insertion vidéo, le grand mime Marcel Marceau (décédé en 2007), filmé dans son atelier, livrera au public de courtes explications sur les gestes et les techniques du mime. «Ce n’est pas vraiment un hommage au maître du genre, mais comme s’il y avait un 5e personnage sur scène». Après cette expérience polynésienne, la compagnie du Caméléon proposera à la petite troupe ukrainienne de poursuivre sa tournée dans le Pacifique en Nouvelle Calédonie. Des contacts ont été pris pour que ces jeunes artistes puissent se produire en France, avec pourquoi pas le Festival d’Avignon en 2014 et, enfin, une vraie ouverture vers l’international. Le mime étant un langage universel, avec de tels ambassadeurs il devrait pouvoir conquérir tous les publics.
INFOS PRATIQUES
Du 22 février au 9 mars à Tahiti
Le 27 février à Moorea
Le 6 mars à Raiatea
À TAHITI,
au petit théâtre de la Maison de la Culture : du 22 février au 9 mars
Vendredis et samedis à 19h30 ; Dimanches : 15h30
Attention, vendredi 8 mars: 20H30
Tarifs : 2 500 F (-10 ans) / 3 000 F (-18 ans et étudiants) / 3 500 F (plein tarif)
Billets en vente chez Carrefour Arue, Carrefour Punaauia et Radio 1 Fare Ute
Billetterie en ligne sur internet (www.radio1.pf)
À MOOREA,
dans les jardins du Sofitel : le mercredi 27 février à 19h00
Tarifs : 2 000 F ( -18 ans et étudiants) / 3 000 F (plein tarif)
Billets en vente au Sofitel – Réservations : 55 12 45
À RAIATEA,
au Raiatea Lodge Hôtel : le mercredi 6mars, à 19h00
Tarifs : Tarifs : 2 000 F ( -18 ans et étudiants) / 3 000 F (plein tarif)
Billets en vente au Raiatea Lodge Hôtel
Réservations : 66 20 00
Plus d’informations sur www.cameleon.pf
Du 22 février au 9 mars à Tahiti
Le 27 février à Moorea
Le 6 mars à Raiatea
À TAHITI,
au petit théâtre de la Maison de la Culture : du 22 février au 9 mars
Vendredis et samedis à 19h30 ; Dimanches : 15h30
Attention, vendredi 8 mars: 20H30
Tarifs : 2 500 F (-10 ans) / 3 000 F (-18 ans et étudiants) / 3 500 F (plein tarif)
Billets en vente chez Carrefour Arue, Carrefour Punaauia et Radio 1 Fare Ute
Billetterie en ligne sur internet (www.radio1.pf)
À MOOREA,
dans les jardins du Sofitel : le mercredi 27 février à 19h00
Tarifs : 2 000 F ( -18 ans et étudiants) / 3 000 F (plein tarif)
Billets en vente au Sofitel – Réservations : 55 12 45
À RAIATEA,
au Raiatea Lodge Hôtel : le mercredi 6mars, à 19h00
Tarifs : Tarifs : 2 000 F ( -18 ans et étudiants) / 3 000 F (plein tarif)
Billets en vente au Raiatea Lodge Hôtel
Réservations : 66 20 00
Plus d’informations sur www.cameleon.pf
