Tahiti, le 5 février 2025 - Pas content le vieux lion qui rugit encore après la lecture de l’article de Tahiti Infos sur l’ardoise qu’il aurait laissé au Amuitahira’a o te nuna’a maohi. Une information que Tahiti Infos s’était procuré en consultant les documents publiés par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques le 28 janvier dernier.
Et cette colère, le nouveau Tahoe tatou l’a exprimée hier par voie de communiqué en estimant que si Bruno Sandras découvrait seulement maintenant les finances difficiles du Amuitahira’a o te nuna’a maohi, c’était parce que “il ne s’intéressait pas à la gestion du parti” : “Tout le monde savait que ce sont Pascale et moi qui prenaient en charge les dépenses de fonctionnement”, explique Gaston Flosse. “C’est probablement la raison pour laquelle il nous a dit à Pascale et à moi : ‘Je ne suis pas intéressé, je ne me présenterai pas à l’élection du Président’.”
Plus loin, le vieux lion accuse Bruno Sandras d’avoir “embauché du monde pour aller à la rencontre de nos membres pour leur dire : ‘Au Congrès vous voterez pour Bruno Sandras en tant que Président du parti à la demande du vieux’.”
Gaston Flosse cite dans son courrier le nom de Heifara Maitere comme le fusible de Sandras pour faire sauter les Flosse du parti.
Et si le Amuitahira’a o te nuna’a maohi n’avais plus de sous, ce n’était pas non plus la faute du couple Flosse mais celle de Teura Iriti qui “percevait les cotisations des représentants à l’assemblée” et qui “gardait l’argent”.
“Il n’y avait aucune recette qui rentrait dans la caisse du parti”, poursuit Gaston Flosse. “Pendant ce temps, c’est ma femme et moi seuls qui payions les dépenses de personnel, d’électricité, d’eau, tout le fonctionnement.”
Flosse poursuit son coup de colère en rappelant que lorsque “Bruno Sandras dit que Gaston Flosse a laissé les locaux dans un piteux état”, c’est “un mensonge” : “Nous avons ramassé tout le mobilier payé par nos deniers personnels”, précise-t-il. “C’est nous qui les avions rénovés complètement pour plusieurs millions.”
Gaston Flosse, qui termine en expliquant que sa femme et lui versaient 350 000 francs par mois au parti, quand Bruno Sandras n’en versait que 5 000, conclut en affirmant que Bruno Sandras est “un gros menteur et de tendance magouilleur”, lui donnant rendez-vous aux prochaines élections “si toutefois tu te présentes”.
Et cette colère, le nouveau Tahoe tatou l’a exprimée hier par voie de communiqué en estimant que si Bruno Sandras découvrait seulement maintenant les finances difficiles du Amuitahira’a o te nuna’a maohi, c’était parce que “il ne s’intéressait pas à la gestion du parti” : “Tout le monde savait que ce sont Pascale et moi qui prenaient en charge les dépenses de fonctionnement”, explique Gaston Flosse. “C’est probablement la raison pour laquelle il nous a dit à Pascale et à moi : ‘Je ne suis pas intéressé, je ne me présenterai pas à l’élection du Président’.”
Plus loin, le vieux lion accuse Bruno Sandras d’avoir “embauché du monde pour aller à la rencontre de nos membres pour leur dire : ‘Au Congrès vous voterez pour Bruno Sandras en tant que Président du parti à la demande du vieux’.”
Gaston Flosse cite dans son courrier le nom de Heifara Maitere comme le fusible de Sandras pour faire sauter les Flosse du parti.
Et si le Amuitahira’a o te nuna’a maohi n’avais plus de sous, ce n’était pas non plus la faute du couple Flosse mais celle de Teura Iriti qui “percevait les cotisations des représentants à l’assemblée” et qui “gardait l’argent”.
“Il n’y avait aucune recette qui rentrait dans la caisse du parti”, poursuit Gaston Flosse. “Pendant ce temps, c’est ma femme et moi seuls qui payions les dépenses de personnel, d’électricité, d’eau, tout le fonctionnement.”
Flosse poursuit son coup de colère en rappelant que lorsque “Bruno Sandras dit que Gaston Flosse a laissé les locaux dans un piteux état”, c’est “un mensonge” : “Nous avons ramassé tout le mobilier payé par nos deniers personnels”, précise-t-il. “C’est nous qui les avions rénovés complètement pour plusieurs millions.”
Gaston Flosse, qui termine en expliquant que sa femme et lui versaient 350 000 francs par mois au parti, quand Bruno Sandras n’en versait que 5 000, conclut en affirmant que Bruno Sandras est “un gros menteur et de tendance magouilleur”, lui donnant rendez-vous aux prochaines élections “si toutefois tu te présentes”.