PAPEETE, le 28 janvier 2015 - En fin d'année 2014, le moral des patrons était à la baisse mais toujours dans le vert, assure l'IEOM dans ses "Premières tendances pour le 4ème trimestre 2014".
L'Institut d'Emission d'Outre-mer, notre banque centrale, publie tous les trimestres le climat des affaires en Polynésie. Il indique la façon dont les chefs d'entreprises estiment la conjoncture. Quand il est au-dessus de 100, c'est qu'ils sont optimistes. En dessous, ils anticipent une aggravation de la situation.
Pour l'instant, l'indice est à 104, en baisse de 4 points sur le trimestre. Il est donc en baisse par rapport à son plus haut du milieu d'année (il était alors à 111), mais reste positif. Ce qui inquiète les patrons : "leur appréciation moins favorable sur le niveau d’activité et de trésorerie en fin d’année" explique l'IEOM.
Mais s'ils sont encore optimistes, c'est que leur activité a continué à augmenter sur le trimestre (moins vite que prévu), et qu'ils "anticipent (pour le premier trimestre 2015) une amélioration de leur trésorerie, en dépit d’une activité attendue en baisse." Du coup, leurs prévisions d'investissements restent à leur plus haut niveau depuis 2010, tout comme leurs prévisions d'effectifs.
L'Institut d'Emission d'Outre-mer, notre banque centrale, publie tous les trimestres le climat des affaires en Polynésie. Il indique la façon dont les chefs d'entreprises estiment la conjoncture. Quand il est au-dessus de 100, c'est qu'ils sont optimistes. En dessous, ils anticipent une aggravation de la situation.
Pour l'instant, l'indice est à 104, en baisse de 4 points sur le trimestre. Il est donc en baisse par rapport à son plus haut du milieu d'année (il était alors à 111), mais reste positif. Ce qui inquiète les patrons : "leur appréciation moins favorable sur le niveau d’activité et de trésorerie en fin d’année" explique l'IEOM.
Mais s'ils sont encore optimistes, c'est que leur activité a continué à augmenter sur le trimestre (moins vite que prévu), et qu'ils "anticipent (pour le premier trimestre 2015) une amélioration de leur trésorerie, en dépit d’une activité attendue en baisse." Du coup, leurs prévisions d'investissements restent à leur plus haut niveau depuis 2010, tout comme leurs prévisions d'effectifs.
