PAGO-PAGO, jeudi 28 février 2013 (Flash d’Océanie) – Une équipe de vétérinaires a débarqué d’Hawaii aux Samoa américaines afin de répondre à un appel de résidents locaux, qui demandaient une solution au problème de la prolifération des chiens errants.
L’initiative est venue d’un couple de Samoans, Nicholas et Mona King, fondateurs de l’association « Alofa Mo Mealola » (Amis des Animaux), qui déploraient les nuisances des chiens errants, mais aussi les mauvais traitements dont sont victimes ces animaux, rapporte la presse locale.
Le couple est ensuite passé à l’étape suivante : le financement du voyage de deux vétérinaires, dont la mission sera de stériliser le maximum de chiens durant leur séjour à Pago-Pago.
Pour cela, ils ont rassemblé les miles accumulés au cours de précédents voyages et les ont offerts aux vétérinaires américains.
Les spécialistes sont arrivés sur le territoire et devraient y rester jusqu’au 4 mars 2013.
Ils opèrent depuis des structures mises à dispositions par le service territorial de l’agriculture.
Ces opérations de stérilisation des chies errants viennent afin d’éviter d’autres solutions, plus radicales : des campagnes d’empoisonnement jugées par trop cruelles.
Dans de nombreux pays de la région, les sociétés de protection des animaux, avant de laisser partir un animal pour adoption, posent comme condition qu’il soit stérilisé.
pad
L’initiative est venue d’un couple de Samoans, Nicholas et Mona King, fondateurs de l’association « Alofa Mo Mealola » (Amis des Animaux), qui déploraient les nuisances des chiens errants, mais aussi les mauvais traitements dont sont victimes ces animaux, rapporte la presse locale.
Le couple est ensuite passé à l’étape suivante : le financement du voyage de deux vétérinaires, dont la mission sera de stériliser le maximum de chiens durant leur séjour à Pago-Pago.
Pour cela, ils ont rassemblé les miles accumulés au cours de précédents voyages et les ont offerts aux vétérinaires américains.
Les spécialistes sont arrivés sur le territoire et devraient y rester jusqu’au 4 mars 2013.
Ils opèrent depuis des structures mises à dispositions par le service territorial de l’agriculture.
Ces opérations de stérilisation des chies errants viennent afin d’éviter d’autres solutions, plus radicales : des campagnes d’empoisonnement jugées par trop cruelles.
Dans de nombreux pays de la région, les sociétés de protection des animaux, avant de laisser partir un animal pour adoption, posent comme condition qu’il soit stérilisé.
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