Le bilan statistique 2013 de la sécurité en Polynésie française a été exposé par Lionel Beffre, lundi matin.
PAPEETE, lundi 3 février 2014 - Le bilan statistique 2013 de la sécurité en Polynésie française fait état d'une amélioration globale de la situation mais note une augmentation des atteintes aux biens et des violences volontaires.
Les chiffres ont été exposés par le haut-commissaire de la République lors d’une conférence de presse donnée dans la matinée. Ils montrent notamment une légère augmentation de la délinquance en 2013, principalement en ce qui concerne les atteintes aux biens (+6,1%) et ce particulièrement en zone gendarmerie où les vols sans violence sont en augmentation de +8% et les cambriolages de +9,4% tandis que ces statistiques sont relativement stables en zone Police, sur les communes de Papeete et Pirae.
Autre statistique en forte augmentation sur l'année 2013 : le chiffre des atteintes volontaires à l’intégrité physique des personnes, arrêté à 2 539 faits constatés sur l'année. Il évolue de +8,9% sur l’ensemble de la Polynésie française, avec un accroissement significatif de 20% des faits de violences intrafamiliales sur la zone Papeete-Pirae.
"Ce sont les deux points sur lesquels il faut que nous soyons très attentifs en 2014, pour faire baisser les chiffres", a indiqué Lionel Beffre concernant cette évolution des statistiques des violences volontaires et des cambriolages. Et, en ce qui concerne la lutte contre les cambriolages, "même si nous avons noté une évolution positive en fin d’année, nous devons encore faire des efforts sur ce point. Nous les réaliserons en accentuant la lutte contre le trafic de stupéfiants", a indiqué le haut-commissaire, partant du principe que "ce trafic génère d’autres types de délits".
Au nombre des satisfactions de l’année 2013, Lionel Beffre a relevé une baisse des escroqueries et infractions financières (-10,8%) et l’augmentation des Infractions révélées par l’action des services. Les IRAS sont en augmentation de 19% en 2013. Véritable indicateur de performance, cette statistique est très fortement impactée par les constats d’infractions à la législation sur les stupéfiants (+28,5%), avec une traduction très concrète réalisée lors d’opération de nomadisation de la gendarmerie, et en l’occurrence la recherche et la destruction de plantation de cannabis. Alors que 65 413 pieds de pakalolo ont été détruits en 2012, ce chiffre est en augmentation de plus de 10 000 unités en 2013 avec un compte arrêté à 75 811 pieds en fin d’année. Une donnée commentée par Lionel Beffre comme "l’illustration la plus tangible de cette augmentation de l’activité des services". Globalement en 2013, 80% des IRAS ont été réalisées dans le domaine des stupéfiants.
Et dans ce contexte, le haut-commissaire a tenu à féliciter "le travail discret mais efficace" du groupement d’intervention régional, le GIR, dont la mission est d’identifier et de saisir les avoirs criminels dans le cadre de la lutte contre l’économie souterraine.
En matière d'insécurité routière, les chiffres de la mortalité sont en baisse de -25% en 2013. Constat exposé comme un "motif de satisfaction" par Lionel Beffre. On enregistre 27 morts sur les routes polynésiennes en 2013 contre 36 en 2012. En revanche, cette statistique est compensée par une légère augmentation du nombre d’accidents (+4,06%) et du nombre de blessés (+3,15%).
Les statistiques 2013 montrent toujours la même prévalence du risque chez les deux-roues : ils sont impliqués dans près de trois quarts des accidents de la route et concernent presque la moitié des décès (12) sur les 27 comptabilisés en 2013. Sur l'année, 73% des accidents constatés ont mis en cause un deux-roues.
Voir aussi : Fiche accidentologie des deux-roues
Autre observation : l’augmentation de la fréquence des accidents (50%) le week-end, avec une concentration des occurrences sur les communes d’Arue, Mahina et Papara.
Les infractions relevées en 2013 sont en augmentation de 5% par rapport à 2012, avec des hausses notables en ce qui concerne le défaut de permis (+27%), ceinture de sécurité non attachée (+12,5%), franchissement de ligne continue (+52%) ou encore l’utilisation du téléphone portable au volant (+34%).
Les chiffres ont été exposés par le haut-commissaire de la République lors d’une conférence de presse donnée dans la matinée. Ils montrent notamment une légère augmentation de la délinquance en 2013, principalement en ce qui concerne les atteintes aux biens (+6,1%) et ce particulièrement en zone gendarmerie où les vols sans violence sont en augmentation de +8% et les cambriolages de +9,4% tandis que ces statistiques sont relativement stables en zone Police, sur les communes de Papeete et Pirae.
Autre statistique en forte augmentation sur l'année 2013 : le chiffre des atteintes volontaires à l’intégrité physique des personnes, arrêté à 2 539 faits constatés sur l'année. Il évolue de +8,9% sur l’ensemble de la Polynésie française, avec un accroissement significatif de 20% des faits de violences intrafamiliales sur la zone Papeete-Pirae.
"Ce sont les deux points sur lesquels il faut que nous soyons très attentifs en 2014, pour faire baisser les chiffres", a indiqué Lionel Beffre concernant cette évolution des statistiques des violences volontaires et des cambriolages. Et, en ce qui concerne la lutte contre les cambriolages, "même si nous avons noté une évolution positive en fin d’année, nous devons encore faire des efforts sur ce point. Nous les réaliserons en accentuant la lutte contre le trafic de stupéfiants", a indiqué le haut-commissaire, partant du principe que "ce trafic génère d’autres types de délits".
Au nombre des satisfactions de l’année 2013, Lionel Beffre a relevé une baisse des escroqueries et infractions financières (-10,8%) et l’augmentation des Infractions révélées par l’action des services. Les IRAS sont en augmentation de 19% en 2013. Véritable indicateur de performance, cette statistique est très fortement impactée par les constats d’infractions à la législation sur les stupéfiants (+28,5%), avec une traduction très concrète réalisée lors d’opération de nomadisation de la gendarmerie, et en l’occurrence la recherche et la destruction de plantation de cannabis. Alors que 65 413 pieds de pakalolo ont été détruits en 2012, ce chiffre est en augmentation de plus de 10 000 unités en 2013 avec un compte arrêté à 75 811 pieds en fin d’année. Une donnée commentée par Lionel Beffre comme "l’illustration la plus tangible de cette augmentation de l’activité des services". Globalement en 2013, 80% des IRAS ont été réalisées dans le domaine des stupéfiants.
Et dans ce contexte, le haut-commissaire a tenu à féliciter "le travail discret mais efficace" du groupement d’intervention régional, le GIR, dont la mission est d’identifier et de saisir les avoirs criminels dans le cadre de la lutte contre l’économie souterraine.
En matière d'insécurité routière, les chiffres de la mortalité sont en baisse de -25% en 2013. Constat exposé comme un "motif de satisfaction" par Lionel Beffre. On enregistre 27 morts sur les routes polynésiennes en 2013 contre 36 en 2012. En revanche, cette statistique est compensée par une légère augmentation du nombre d’accidents (+4,06%) et du nombre de blessés (+3,15%).
Les statistiques 2013 montrent toujours la même prévalence du risque chez les deux-roues : ils sont impliqués dans près de trois quarts des accidents de la route et concernent presque la moitié des décès (12) sur les 27 comptabilisés en 2013. Sur l'année, 73% des accidents constatés ont mis en cause un deux-roues.
Voir aussi : Fiche accidentologie des deux-roues
Autre observation : l’augmentation de la fréquence des accidents (50%) le week-end, avec une concentration des occurrences sur les communes d’Arue, Mahina et Papara.
Les infractions relevées en 2013 sont en augmentation de 5% par rapport à 2012, avec des hausses notables en ce qui concerne le défaut de permis (+27%), ceinture de sécurité non attachée (+12,5%), franchissement de ligne continue (+52%) ou encore l’utilisation du téléphone portable au volant (+34%).
‘Ua pa’uma te fāito ‘eiāra’a ‘e te mau hāmani ‘ī’inora’a i ‘ōpua hia, i te matahiti i ma’iri
Monirē 3 nō fepuare 2014 – i roto i te mau hi’opo’ara’a a te Hau, ‘ua maita’i ri’i te huru o te mau nūmerara’a ‘ati huru rau i te fenua nei. ‘Āre’a i te pae’au o mau ‘eiāra’a ‘e te mau ‘ohipa hāmani ‘ī’inora’a, nō te matahiti i ma’iri iho nei, ‘ua nanea ri’i.
‘Ua vauvau hia te mau nūmerara’a ‘e te tōmitera teitei i mua i te mau pāpa’i ve’a, i te monirē po’ipo’i nei. ‘Ua ‘ite hia mai tetahi pa’umara’a o te mau ‘ohipa ‘ī’ino huru rau i te matahiti i māhemo a’e nei, i te pae ihoa ra o te mau ‘eiāra’a (6,1 hau i ni’a i te hānere) i roto i te mau ‘oire e ha’apa’o hia nei e te ‘āua mūto’i farāni. I reira, ‘ua pa’uma ato’a te fāito ‘eiāra’a-tāparahi-‘orehia i te ta’ata (8 hau i ni’a i te hānere) tae noa atu i te mau tomora’a i roto i te mau fare (9,4 hau i ni’a i te hānere), ‘āre’a i Pira’e ‘e Pape’ete, mea huru au noa.
Te ’ohipa tāparahira’a ta’ata, o tō na fāito ato’a tei hiti, 2 539 tei tāpa’o hia i ni’a i te roara’a o te matahiti. Te fāito : 8,9 hau i ni’a i te hānere i roto iā Porinetia farāni tā’ato’a, ‘inaha mea rahi a’e ra te fāito ‘ohipa ‘ī’ino e tupu nei i rotopū te mau ‘ōpū fēti’i, 20 hau i ni’a i te hānere, i Pape’ete-Pira’e noa.
‘Ia au i te ta’ira’a reo o te tōmitera teitei : « Mea tītau ‘ia hi’o maīte hia i teie na tāpa’o to’o piti, i roto i teie matahiti. » I ‘ō nei, te ‘āparau ra ‘oia nō te rahira’a o te mau ‘ohipa ha’amani-‘ī’inora’a ‘e te mau tomora’a i roto i te mau fare. Nō teie noa tumu parau, ‘ua ha’apāpū mai ‘ō na : « Noa atu ā ‘ua huru maita’i ri’i i te mau nūmera i te pae hōpe’a nei o te matahiti i ma’iri, e ti’a ihoa ra ‘ia ha’apūai hia i te mau ‘arora’a nō te reira ‘ohipa. E manuia te reira ma te fa’a’eta’eta fa’ahou atu ā i te mau ravera’a ‘arora’a i te ‘ohipa ho’ora’a i te ‘ava’ava ta’ero. » Nō na, mai i roto i taua ‘ohipa ho’ora’a ‘ava’ava ta’ero, e noa’a ato’a mai tetahi atu ā mau ‘ohipa tano ‘ore.
‘Aua’e ra, tē vai nei tetahi atu tuha’a ‘ohipa ‘ihea ‘ua ‘ite hia te hō’ē topara’a pāpū, mai te ‘ohipa tāvirira’a moni (10,8 i raro a’e i ni’a i te hānere), ‘āre’a ‘ua hiti ato’a te fāito o te mau ‘ohipa o tei fa’a’āra hia e te mau piha rave ‘ohipa huru rau, pi’i hia IRAS, 19 hau i ni’a i te hānere nō te matahiti i ma’iri. Na teie mau hi’ora’a huru rau e fa’a’ite nei mai te peu te manuia mai ra i te mau fa’anahora’a araira’a e rave hia nei e te mau mūto’i. I roto i taua mau hi’ora’a, tē vai nei nō te parau o te fa’a’eta’etara’a ture nō te ho’ora’a ‘ava’ava ta’ero (28 hau i ni’a i te hānere), ‘aua’e maōti ato’a i te mau ‘imira’a ‘e te tāninara’a fa’a’āpu paka. ‘Ua hau a’e i te 10 000 tumu paka tei tūnina roa hia atu ‘i te matahiti i ma’iri, i tō te matahiti nāmua atu (2012), te aura’a : 75 811 tumu nō te matahiti i ma’iri. I te hi’ora’a a Lionel Beffre tāne, « nā teie e fa’a’ite i te naneara’a o te mau ‘ohipa ‘arora’a a te mau piha rave ‘ohipa ato’a o te fenua nei. » 80 i ni’a i te hānere o te mau nūmera i fa’ahiti hia mai e te IRAS, nō te ‘ohipa tanura’a ‘e ho’ora’a ‘ava’ava ta’ero.
I muri noa i teie mau hi’ora’a, ‘ua ha’amāuruuru te tōmitera teitei i te pū GIR ( e pūpū e ‘āmui ei i te mau mūto’i tuha’a rau : mūto’i farāni, mūto’i ‘oire, mūto’i ‘ōti’a ‘e mūto’i a te Hau ) nō te fa’ahiahiara’a o tā rātou ‘ohipa, noa atu ā ‘aita tō rātou parau e fa’ahiti pinepine hia nei. Tā rātou ‘ohipa, i te harura’a i te mau faufa’a rau (mai i te moni ānei, te mau mauiha’a ānei, te mau tao’a rau ato’a) tei roto i te rima o te feiā e ho’o nei i te ‘ava’ava ta’ero.
Haere mai ai i te parau nō te araira’a ‘ati purūmu, ‘ua topa te fāito ta’ata tei fa’aru’e mai i ni’a i te 25 i ni’a i te hānere i 2013 ra. ‘Ua ‘oa’oa hia te reira e te tōmitera teitei. Teie nei ra, ‘ua rahi mai te nūmera ūra’a pere’o’o (4,06 hau i ni’a i te hānere) ‘e te feiā o tei pēpē (3,15 hau i ni’a i te hānere).
‘Aita ra te fifi o te mau faura’o piti huira i iti noa a’e : o rātou te tumu o te rahira’a (tuha’a ¾) o te mau ‘ati purūmu, i pohe roa mai ai 12 ta’ata, fātata roa te ‘āfara’a o na ta’ata e 27 tei fa’aru’e roa mai i te matahiti 2013 ra. ‘Ia pū’oi ana’e hia i te tā’ato’ara’a o tei mau ‘ati purūmu, tē fa’ahapa hia nei teie mau faura’o i roto i 73 i ni’a i te hānere o te mau ‘ati tei tāpa’o hia. Mea huru rahi.
Tētahi ato’a hi’ora’a ta’a ‘ē : te naneara’a o te mau ‘ati purūmu i te mau hōpe’ara’a hepetoma (50 i ni’a i te hānere), i ‘Arue, Mahina ‘e Papara.
Te i ni’a te pae i ni’a hānere, te fāito o te mau ‘ati purūmu o tei tāpa’o hia i te matahiti i ma’iri nei, ‘ia fa’aau hia i tō te matahiti 2012 ra. ‘Ua ‘ite hia hō’ē pa’umara’a o te mau ta’ata ‘aita tā rātou parau-fa’ahorora’a pere’o’o (27 hau i ni’a i te hānere), na reira ato’a nō te feiā i ‘ore i tā’amu i tō rātou hātua pārurura’a (12,5 hau i ni’a i te hānere), 52 hau i ni’a i te hānere nō te mau pere’o’o tei fa’atura ‘ore i te rēni tāmau pēni hia, ‘e 34 hau i ni’a i te hānere o te mau ta’ata e tānuinui nei i roto i te ‘ārea taime fa’ahorora’a pere’o’o.
‘Ua vauvau hia te mau nūmerara’a ‘e te tōmitera teitei i mua i te mau pāpa’i ve’a, i te monirē po’ipo’i nei. ‘Ua ‘ite hia mai tetahi pa’umara’a o te mau ‘ohipa ‘ī’ino huru rau i te matahiti i māhemo a’e nei, i te pae ihoa ra o te mau ‘eiāra’a (6,1 hau i ni’a i te hānere) i roto i te mau ‘oire e ha’apa’o hia nei e te ‘āua mūto’i farāni. I reira, ‘ua pa’uma ato’a te fāito ‘eiāra’a-tāparahi-‘orehia i te ta’ata (8 hau i ni’a i te hānere) tae noa atu i te mau tomora’a i roto i te mau fare (9,4 hau i ni’a i te hānere), ‘āre’a i Pira’e ‘e Pape’ete, mea huru au noa.
Te ’ohipa tāparahira’a ta’ata, o tō na fāito ato’a tei hiti, 2 539 tei tāpa’o hia i ni’a i te roara’a o te matahiti. Te fāito : 8,9 hau i ni’a i te hānere i roto iā Porinetia farāni tā’ato’a, ‘inaha mea rahi a’e ra te fāito ‘ohipa ‘ī’ino e tupu nei i rotopū te mau ‘ōpū fēti’i, 20 hau i ni’a i te hānere, i Pape’ete-Pira’e noa.
‘Ia au i te ta’ira’a reo o te tōmitera teitei : « Mea tītau ‘ia hi’o maīte hia i teie na tāpa’o to’o piti, i roto i teie matahiti. » I ‘ō nei, te ‘āparau ra ‘oia nō te rahira’a o te mau ‘ohipa ha’amani-‘ī’inora’a ‘e te mau tomora’a i roto i te mau fare. Nō teie noa tumu parau, ‘ua ha’apāpū mai ‘ō na : « Noa atu ā ‘ua huru maita’i ri’i i te mau nūmera i te pae hōpe’a nei o te matahiti i ma’iri, e ti’a ihoa ra ‘ia ha’apūai hia i te mau ‘arora’a nō te reira ‘ohipa. E manuia te reira ma te fa’a’eta’eta fa’ahou atu ā i te mau ravera’a ‘arora’a i te ‘ohipa ho’ora’a i te ‘ava’ava ta’ero. » Nō na, mai i roto i taua ‘ohipa ho’ora’a ‘ava’ava ta’ero, e noa’a ato’a mai tetahi atu ā mau ‘ohipa tano ‘ore.
‘Aua’e ra, tē vai nei tetahi atu tuha’a ‘ohipa ‘ihea ‘ua ‘ite hia te hō’ē topara’a pāpū, mai te ‘ohipa tāvirira’a moni (10,8 i raro a’e i ni’a i te hānere), ‘āre’a ‘ua hiti ato’a te fāito o te mau ‘ohipa o tei fa’a’āra hia e te mau piha rave ‘ohipa huru rau, pi’i hia IRAS, 19 hau i ni’a i te hānere nō te matahiti i ma’iri. Na teie mau hi’ora’a huru rau e fa’a’ite nei mai te peu te manuia mai ra i te mau fa’anahora’a araira’a e rave hia nei e te mau mūto’i. I roto i taua mau hi’ora’a, tē vai nei nō te parau o te fa’a’eta’etara’a ture nō te ho’ora’a ‘ava’ava ta’ero (28 hau i ni’a i te hānere), ‘aua’e maōti ato’a i te mau ‘imira’a ‘e te tāninara’a fa’a’āpu paka. ‘Ua hau a’e i te 10 000 tumu paka tei tūnina roa hia atu ‘i te matahiti i ma’iri, i tō te matahiti nāmua atu (2012), te aura’a : 75 811 tumu nō te matahiti i ma’iri. I te hi’ora’a a Lionel Beffre tāne, « nā teie e fa’a’ite i te naneara’a o te mau ‘ohipa ‘arora’a a te mau piha rave ‘ohipa ato’a o te fenua nei. » 80 i ni’a i te hānere o te mau nūmera i fa’ahiti hia mai e te IRAS, nō te ‘ohipa tanura’a ‘e ho’ora’a ‘ava’ava ta’ero.
I muri noa i teie mau hi’ora’a, ‘ua ha’amāuruuru te tōmitera teitei i te pū GIR ( e pūpū e ‘āmui ei i te mau mūto’i tuha’a rau : mūto’i farāni, mūto’i ‘oire, mūto’i ‘ōti’a ‘e mūto’i a te Hau ) nō te fa’ahiahiara’a o tā rātou ‘ohipa, noa atu ā ‘aita tō rātou parau e fa’ahiti pinepine hia nei. Tā rātou ‘ohipa, i te harura’a i te mau faufa’a rau (mai i te moni ānei, te mau mauiha’a ānei, te mau tao’a rau ato’a) tei roto i te rima o te feiā e ho’o nei i te ‘ava’ava ta’ero.
Haere mai ai i te parau nō te araira’a ‘ati purūmu, ‘ua topa te fāito ta’ata tei fa’aru’e mai i ni’a i te 25 i ni’a i te hānere i 2013 ra. ‘Ua ‘oa’oa hia te reira e te tōmitera teitei. Teie nei ra, ‘ua rahi mai te nūmera ūra’a pere’o’o (4,06 hau i ni’a i te hānere) ‘e te feiā o tei pēpē (3,15 hau i ni’a i te hānere).
‘Aita ra te fifi o te mau faura’o piti huira i iti noa a’e : o rātou te tumu o te rahira’a (tuha’a ¾) o te mau ‘ati purūmu, i pohe roa mai ai 12 ta’ata, fātata roa te ‘āfara’a o na ta’ata e 27 tei fa’aru’e roa mai i te matahiti 2013 ra. ‘Ia pū’oi ana’e hia i te tā’ato’ara’a o tei mau ‘ati purūmu, tē fa’ahapa hia nei teie mau faura’o i roto i 73 i ni’a i te hānere o te mau ‘ati tei tāpa’o hia. Mea huru rahi.
Tētahi ato’a hi’ora’a ta’a ‘ē : te naneara’a o te mau ‘ati purūmu i te mau hōpe’ara’a hepetoma (50 i ni’a i te hānere), i ‘Arue, Mahina ‘e Papara.
Te i ni’a te pae i ni’a hānere, te fāito o te mau ‘ati purūmu o tei tāpa’o hia i te matahiti i ma’iri nei, ‘ia fa’aau hia i tō te matahiti 2012 ra. ‘Ua ‘ite hia hō’ē pa’umara’a o te mau ta’ata ‘aita tā rātou parau-fa’ahorora’a pere’o’o (27 hau i ni’a i te hānere), na reira ato’a nō te feiā i ‘ore i tā’amu i tō rātou hātua pārurura’a (12,5 hau i ni’a i te hānere), 52 hau i ni’a i te hānere nō te mau pere’o’o tei fa’atura ‘ore i te rēni tāmau pēni hia, ‘e 34 hau i ni’a i te hānere o te mau ta’ata e tānuinui nei i roto i te ‘ārea taime fa’ahorora’a pere’o’o.
