Cédric Bellais avait remporté son combat en juillet dernier
PAPEETE, le 15 octobre 2019 - Cédric Bellais affrontera Rocky Montoya le 22 novembre prochain dans le cadre d’un combat de boxe professionnelle de la catégorie mi-lourds.
Cédric Bellais montera sur le ring de Fautaua le 22 novembre prochain pour un combat professionnel, catégorie mi-lourds. Après un arrêt de plusieurs mois dû à une blessure et un retour sur le ring en juillet dernier marqué par une victoire face à l’Argentin Miguel Cobas, il compte désormais affronter le Mexicain Rocky Montoya, 37 ans, un boxeur au palmarès impressionnant.
Cédric Bellais, 31 ans, a grandi à Punaauia et a commencé la boxe vers 9-10 ans. Au début, il voyait la boxe “comme un jeu”, mais à l’âge de 14 ans, c’était devenu une passion. Il a alors intégré le club de Punaruu, à Punaauia.
C'est en regardant boxer les stars internationales de la boxe comme Mike Tyson ou Evander Holyfield qu'il s’est dit “pourquoi pas moi”. Et au fil du temps, les conflits entre les fédérations de boxe polynésiennes l’ont poussé à s'affilier à la Fédération française de boxe et à devenir boxeur professionnel. SB
Cédric Bellais montera sur le ring de Fautaua le 22 novembre prochain pour un combat professionnel, catégorie mi-lourds. Après un arrêt de plusieurs mois dû à une blessure et un retour sur le ring en juillet dernier marqué par une victoire face à l’Argentin Miguel Cobas, il compte désormais affronter le Mexicain Rocky Montoya, 37 ans, un boxeur au palmarès impressionnant.
Cédric Bellais, 31 ans, a grandi à Punaauia et a commencé la boxe vers 9-10 ans. Au début, il voyait la boxe “comme un jeu”, mais à l’âge de 14 ans, c’était devenu une passion. Il a alors intégré le club de Punaruu, à Punaauia.
C'est en regardant boxer les stars internationales de la boxe comme Mike Tyson ou Evander Holyfield qu'il s’est dit “pourquoi pas moi”. Et au fil du temps, les conflits entre les fédérations de boxe polynésiennes l’ont poussé à s'affilier à la Fédération française de boxe et à devenir boxeur professionnel. SB
Cédric Bellais est un des rares boxeurs professionnels tahitiens
Parole à Cédric Bellais :
Ton année 2019 a été marquée par une blessure ?
“La préparation de mon avant-dernier combat s'était globalement bien passée mais au dernier moment, il y a eu un changement d'adversaire. Cela devait initialement être un droitier mais le remplaçant était un gaucher. Au niveau préparation, ce n'est pas pareil. Suite à un choc de tête, pendant un cafouillage, j'ai eu une déviation nasale. J'ai dû m'arrêter pendant six-sept mois, le temps que mon nez se rétablisse bien.”
Il y a eu des moments de doute ?
“Cela fait partie du métier, on va dire. Il y a forcément des moments de doute, des moments où j'ai voulu tout arrêter mais, comme on dit, après la pluie le beau temps. L’envie de remonter sur le ring a été la plus forte.”
Comment abordes-tu ton prochain combat ?
“Les Mexicains sont de très bons boxeurs. Ils ont faim. Ils adorent ça, ils adorent combattre. C'est un combat important pour moi. Je vais partir la semaine prochaine pour les Etats-Unis pour finaliser ma préparation dans un camp d’entraînement, grâce à mon statut d'ambassadeur Air Tahiti Nui. Là-bas, il y a tout pour bien s'entraîner et faire du bon sparring. C’est vrai qu’il a un gros palmarès avec 35 combats et seulement trois défaites. C'est un cogneur. Je vais m'adapter à sa boxe. C'est comme ça, chaque boxeur a sa façon de boxer, il faut se préparer en fonction de son adversaire.”
Tu es confiant ?
“Je me sens bien. J'ai hâte. C'est quelque chose de grand de boxer contre ce genre de gars. Les Mexicains ont une sacrée réputation au niveau mondial. Ce sera une première. Je me sens prêt et je serai encore plus prêt pour ce combat qui se déroulera à Fautaua. J’espère que le public sera là pour me soutenir.”
Ton année 2019 a été marquée par une blessure ?
“La préparation de mon avant-dernier combat s'était globalement bien passée mais au dernier moment, il y a eu un changement d'adversaire. Cela devait initialement être un droitier mais le remplaçant était un gaucher. Au niveau préparation, ce n'est pas pareil. Suite à un choc de tête, pendant un cafouillage, j'ai eu une déviation nasale. J'ai dû m'arrêter pendant six-sept mois, le temps que mon nez se rétablisse bien.”
Il y a eu des moments de doute ?
“Cela fait partie du métier, on va dire. Il y a forcément des moments de doute, des moments où j'ai voulu tout arrêter mais, comme on dit, après la pluie le beau temps. L’envie de remonter sur le ring a été la plus forte.”
Comment abordes-tu ton prochain combat ?
“Les Mexicains sont de très bons boxeurs. Ils ont faim. Ils adorent ça, ils adorent combattre. C'est un combat important pour moi. Je vais partir la semaine prochaine pour les Etats-Unis pour finaliser ma préparation dans un camp d’entraînement, grâce à mon statut d'ambassadeur Air Tahiti Nui. Là-bas, il y a tout pour bien s'entraîner et faire du bon sparring. C’est vrai qu’il a un gros palmarès avec 35 combats et seulement trois défaites. C'est un cogneur. Je vais m'adapter à sa boxe. C'est comme ça, chaque boxeur a sa façon de boxer, il faut se préparer en fonction de son adversaire.”
Tu es confiant ?
“Je me sens bien. J'ai hâte. C'est quelque chose de grand de boxer contre ce genre de gars. Les Mexicains ont une sacrée réputation au niveau mondial. Ce sera une première. Je me sens prêt et je serai encore plus prêt pour ce combat qui se déroulera à Fautaua. J’espère que le public sera là pour me soutenir.”
