Tahiti, le 12 décembre - Thierry Barbion s’est, par la voix de ses conseils, désisté jeudi de sa demande de modification du contrôle judiciaire. L’homme d’affaires, qui souhaitait se rendre à Bora Bora pour des raisons professionnelles, a en effet été remercié par la société qui l’y employait.
La cour d’appel de Papeete devait étudier jeudi la demande de modification de contrôle judiciaire du promoteur Thierry Barbion. Comme nous le révélions le 18 novembre, l’homme d’affaires, condamné à quatre ans de prison ferme le 29 août dans le cadre de l’affaire dite « Boiron », souhaitait se rendre à Bora Bora pour des raisons professionnelles. Si nous indiquions alors que le promoteur possédait une société qui y gérait un hôtel, il s’avère en réalité qu’il disposait d’un contrat de prestation de gestion hôtelière avec la société qui possède l’hôtel Four Seasons.
Mais Thierry Barbion s’est désisté de sa demande devant la cour d’appel jeudi car il a, depuis, été remercié par la société qui l’employait à Bora. Rappelons que l’homme d’affaires, qui a été remis en liberté le 23 septembre, sera jugé en appel le 23 janvier.
La cour d’appel de Papeete devait étudier jeudi la demande de modification de contrôle judiciaire du promoteur Thierry Barbion. Comme nous le révélions le 18 novembre, l’homme d’affaires, condamné à quatre ans de prison ferme le 29 août dans le cadre de l’affaire dite « Boiron », souhaitait se rendre à Bora Bora pour des raisons professionnelles. Si nous indiquions alors que le promoteur possédait une société qui y gérait un hôtel, il s’avère en réalité qu’il disposait d’un contrat de prestation de gestion hôtelière avec la société qui possède l’hôtel Four Seasons.
Mais Thierry Barbion s’est désisté de sa demande devant la cour d’appel jeudi car il a, depuis, été remercié par la société qui l’employait à Bora. Rappelons que l’homme d’affaires, qui a été remis en liberté le 23 septembre, sera jugé en appel le 23 janvier.
