Paris, France | AFP | mardi 21/03/2023 - Le ministère de l'Education nationale va mener une enquête interne après la fuite mardi d'un sujet du bac, celui de l'épreuve de spécialité éco-droit en filière technologique STMG, qui l'a contraint à utiliser le sujet de secours, a-t-il indiqué à l'AFP.
"Il y a eu une fuite du sujet d'éco-droit" du bac STMG (Sciences et technologies du management et de la gestion), a indiqué le ministère, précisant avoir été informé mardi à 13H58 de cette fuite, pour une épreuve débutant à 14H00.
La fuite aurait eu lieu sur les réseaux sociaux en fin de matinée, a-t-on précisé.
Cela concerne 82.000 candidats, qui passaient cette épreuve mardi dans le cadre des épreuves de spécialité du bac. Celles-ci ont débuté lundi pour 536.081 candidats (390.710 en voie générale, 145.371 en voie technologique). Les candidats passent chacun deux épreuves entre lundi et mercredi, qui comptent à elles deux pour un tiers des résultats du bac.
Suite à cette fuite, le sujet de remplacement, préparé à chaque examen en cas de problème, "a été mis en place", et les candidats, qui avaient débuté l'épreuve avec le sujet initial, "ont repris à 15H00" avec ce nouveau sujet.
"La durée de l'épreuve sera décalée d'une heure", a-t-on précisé au ministère, soulignant qu'"une enquête interne va être menée" pour tenter de connaître la source de cette fuite.
Le ministère de l'Education nationale avait été contraint l'an dernier d'utiliser ses sujets de secours pour le épreuves d'histoire-géographie et de sciences du brevet des collèges, suite à une fuite. Il y avait aussi eu recours pour le bac de français de la voie générale, en raison d'une erreur dans un centre d'examen.
En 2019, une enquête avait été ouverte par le parquet de Paris après des fuites concernant les épreuves de mathématiques des séries générales relayées par la messagerie privée Whatsapp ou par SMS.
"Il y a eu une fuite du sujet d'éco-droit" du bac STMG (Sciences et technologies du management et de la gestion), a indiqué le ministère, précisant avoir été informé mardi à 13H58 de cette fuite, pour une épreuve débutant à 14H00.
La fuite aurait eu lieu sur les réseaux sociaux en fin de matinée, a-t-on précisé.
Cela concerne 82.000 candidats, qui passaient cette épreuve mardi dans le cadre des épreuves de spécialité du bac. Celles-ci ont débuté lundi pour 536.081 candidats (390.710 en voie générale, 145.371 en voie technologique). Les candidats passent chacun deux épreuves entre lundi et mercredi, qui comptent à elles deux pour un tiers des résultats du bac.
Suite à cette fuite, le sujet de remplacement, préparé à chaque examen en cas de problème, "a été mis en place", et les candidats, qui avaient débuté l'épreuve avec le sujet initial, "ont repris à 15H00" avec ce nouveau sujet.
"La durée de l'épreuve sera décalée d'une heure", a-t-on précisé au ministère, soulignant qu'"une enquête interne va être menée" pour tenter de connaître la source de cette fuite.
Le ministère de l'Education nationale avait été contraint l'an dernier d'utiliser ses sujets de secours pour le épreuves d'histoire-géographie et de sciences du brevet des collèges, suite à une fuite. Il y avait aussi eu recours pour le bac de français de la voie générale, en raison d'une erreur dans un centre d'examen.
En 2019, une enquête avait été ouverte par le parquet de Paris après des fuites concernant les épreuves de mathématiques des séries générales relayées par la messagerie privée Whatsapp ou par SMS.