SYDNEY, jeudi 23 janvier 2014 (Flash d’Océanie) – L’ancienne pratique de la demande de signature manuscrite pour valider un achat par carte de crédit dans un magasin devrait disparaître le 1er août -2014, ont annoncé mercredi les acteurs de cette filière.
Désormais, tout comme pour l’usage d’autres cartes de paiement, et pour des opérations aussi courantes que le retrait de distributeurs automatiques de billets ou les achats en direct par le procédé Eftpos, les détenteurs de cartes de crédit devront taper les quatre numéro de leur code confidentiel, appelé à remplacer la signature, jugée trop peu sécurisée
Cet ancien système, selon le syndicat australien des opérateurs de cartes de crédit, faisait l’objet de trop nombreuses fraudes en permettant à des détenteurs de cartes volées d’imiter la signature figurant au dos du petit carré de plastique.
La facture correspondant à ces transactions frauduleuses par falsification de signatures a été évaluée, chaque année, à pas moins de 81 millions de dollars (australiens), pour un volume total de transactions estimé, pour le dernier exercice financier 2012-2013, à 5 milliards d’opérations pour une valeur de 434 milliards de dollars (australiens), selon la banque fédérale de réserve.
« Ce qui veut dire que ceux qui n’ont pas encore de code PIN devront l’obtenir et surtout s’en souvenir », a ajouté Nicole Pedersen-McKinnon, porte-parole de ce syndicat (qui comprend, entre autres, Visa, MasterCard, American Express et Diners Club International).
Cette nouvelle mesure a été accueillie favorablement par l’association fédérale des commerçants australiens, qui a applaudi la suppression de ce maillon faible dans les transactions d’achat.
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Désormais, tout comme pour l’usage d’autres cartes de paiement, et pour des opérations aussi courantes que le retrait de distributeurs automatiques de billets ou les achats en direct par le procédé Eftpos, les détenteurs de cartes de crédit devront taper les quatre numéro de leur code confidentiel, appelé à remplacer la signature, jugée trop peu sécurisée
Cet ancien système, selon le syndicat australien des opérateurs de cartes de crédit, faisait l’objet de trop nombreuses fraudes en permettant à des détenteurs de cartes volées d’imiter la signature figurant au dos du petit carré de plastique.
La facture correspondant à ces transactions frauduleuses par falsification de signatures a été évaluée, chaque année, à pas moins de 81 millions de dollars (australiens), pour un volume total de transactions estimé, pour le dernier exercice financier 2012-2013, à 5 milliards d’opérations pour une valeur de 434 milliards de dollars (australiens), selon la banque fédérale de réserve.
« Ce qui veut dire que ceux qui n’ont pas encore de code PIN devront l’obtenir et surtout s’en souvenir », a ajouté Nicole Pedersen-McKinnon, porte-parole de ce syndicat (qui comprend, entre autres, Visa, MasterCard, American Express et Diners Club International).
Cette nouvelle mesure a été accueillie favorablement par l’association fédérale des commerçants australiens, qui a applaudi la suppression de ce maillon faible dans les transactions d’achat.
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