MAHINA, jeudi 8 novembre 2012. Quatre enfants, âgés de 4 à 10 ans qui étaient à la plage de la Pointe Vénus à l’heure du déjeuner, ce jeudi, ont été victimes de méduses. Les enfants souffrent de brûlures superficielles au niveau des membres supérieurs. Les pompiers ont conduit les enfants au Centre hospitalier.
Après cet incident, la police municipale de Mahina a mis en place des panneaux "ATTENTION MÉDUSES" sur le site de la plage de la Pointe vénus afin de prévenir les baigneurs.
Après cet incident, la police municipale de Mahina a mis en place des panneaux "ATTENTION MÉDUSES" sur le site de la plage de la Pointe vénus afin de prévenir les baigneurs.
Méduses : les soins d’urgence
En Polynésie française, les deux variétés de méduses sont la Chiropsalmus quadrigatus et la Chironex fleckeri. Ces méduses sont redoutables. Elles sont surtout abondantes, dans le Pacifique, le long de la grande barrière de corail australienne, où elles ont causé 67 décès depuis 1885.
En cas de piqûre de méduse, il est recommandé de se mettre en relation au plus tôt avec un professionnel de santé. En attendant, il est conseillé de rincer soigneusement la plaie à l’eau de mer. Attention : il faut éviter de rincer à l’eau douce au risque d’activer le venin. Après rinçage, il faut retirer les filaments restés collés à la peau à l’aide d’un gant ou d’une pince, puis d’appliquer un antiseptique.
Les méduses piquent pour se nourrir ou pour se défendre. Les tentacules sont couverts de petites vésicules, les cnidocystes, munis chacun d’un cil sensitif qui projettent la toxine dès qu’il est stimulé. Il faut donc éviter d’activer les cnidocystes qui ne sont pas encore ouverts.
Il est important de traiter les démangeaisons pour éviter de se gratter à l’endroit de la piqûre et de provoquer une infection de la plaie. Les méduses piquent par l’intermédiaire de cellules urticantes placées sur leurs tentacules. Leurs piqûres se traduisent par une sensation de brûlure locale au niveau de la zone de contact avec l’animal. Cette douleur augmente puis s’accompagne d’un érythème qui va s’aggraver avec les heures pour devenir une éruption violacée.
En Polynésie française, les deux variétés de méduses sont la Chiropsalmus quadrigatus et la Chironex fleckeri. Ces méduses sont redoutables. Elles sont surtout abondantes, dans le Pacifique, le long de la grande barrière de corail australienne, où elles ont causé 67 décès depuis 1885.
En cas de piqûre de méduse, il est recommandé de se mettre en relation au plus tôt avec un professionnel de santé. En attendant, il est conseillé de rincer soigneusement la plaie à l’eau de mer. Attention : il faut éviter de rincer à l’eau douce au risque d’activer le venin. Après rinçage, il faut retirer les filaments restés collés à la peau à l’aide d’un gant ou d’une pince, puis d’appliquer un antiseptique.
Les méduses piquent pour se nourrir ou pour se défendre. Les tentacules sont couverts de petites vésicules, les cnidocystes, munis chacun d’un cil sensitif qui projettent la toxine dès qu’il est stimulé. Il faut donc éviter d’activer les cnidocystes qui ne sont pas encore ouverts.
Il est important de traiter les démangeaisons pour éviter de se gratter à l’endroit de la piqûre et de provoquer une infection de la plaie. Les méduses piquent par l’intermédiaire de cellules urticantes placées sur leurs tentacules. Leurs piqûres se traduisent par une sensation de brûlure locale au niveau de la zone de contact avec l’animal. Cette douleur augmente puis s’accompagne d’un érythème qui va s’aggraver avec les heures pour devenir une éruption violacée.
