Quatre fonctionnaires de la douane de l’aéroport de Tahiti-Faa’a ont été mis en examen ce mercredi 28 mars. Le Parquet a demandé leur placement sous contrôle judiciaire. Ils pourraient faire l'objet d'un mandat de dépôt.
Six fonctionnaires de la douane de l’aéroport de Tahiti-Faa’a avaient été mis en garde à vue, dans les locaux de la section de recherche de la gendarmerie, lundi 26 mars et présentés au juge d’instruction Donatien Le Vaillant, lundi et mardi, pour des faits supposés de complicité d’introduction illicite de marchandises.
Cette mesure avait fait suite à la perquisition effectuée, vendredi, au service des douanes de l’aéroport, sur commission rogatoire du juge Le Vaillant, par les agents du Service national de douane judiciaire et les gendarmes de la section de recherche.
Une information judiciaire pour des faits de corruption est en effet ouverte depuis fin 2011, concernant le service des douanes de l’aéroport de Tahiti-Faa’a. Certains fonctionnaires sont en effet soupçonnés d’être impliqués, par complaisance voire par intérêt, dans des fait de complicité de trafic de marchandises. Ces marchandises non déclarées auraient notamment été introduites de manière illicite et en quantité par des employés PNC de la compagnie Air Tahiti Nui.
Six fonctionnaires de la douane de l’aéroport de Tahiti-Faa’a avaient été mis en garde à vue, dans les locaux de la section de recherche de la gendarmerie, lundi 26 mars et présentés au juge d’instruction Donatien Le Vaillant, lundi et mardi, pour des faits supposés de complicité d’introduction illicite de marchandises.
Cette mesure avait fait suite à la perquisition effectuée, vendredi, au service des douanes de l’aéroport, sur commission rogatoire du juge Le Vaillant, par les agents du Service national de douane judiciaire et les gendarmes de la section de recherche.
Une information judiciaire pour des faits de corruption est en effet ouverte depuis fin 2011, concernant le service des douanes de l’aéroport de Tahiti-Faa’a. Certains fonctionnaires sont en effet soupçonnés d’être impliqués, par complaisance voire par intérêt, dans des fait de complicité de trafic de marchandises. Ces marchandises non déclarées auraient notamment été introduites de manière illicite et en quantité par des employés PNC de la compagnie Air Tahiti Nui.
