Le procureur José Thorel en charge de l'enquête.
Les recherches se poursuivent à Nuku Hiva pour tenter de retrouver Stefan Ramin, le touriste allemand porté disparu depuis dimanche, ainsi que son ravisseur présumé, Henri Haiti, accusé d'avoir agressé sexuellement la compagne du globe trotter. Dans l'après midi de mercredi les enquêteurs ont identifié une piste ainsi qu'un brasier récent dans la vallée de Hakaui. Dans ce brasier, ils ont trouvé des dents, des ossements, ainsi que plusieurs indices qui ont été envoyés au centre de médecine légale de l'hôpital du Taone à Papeete pour être examiné.
Contacté par téléphone par Tahiti Infos vers 21 h 30 jeudi soir, le procureur José Thorel en charge de l'enquête a confirmé qu'une partie des fragments biologiques trouvés dans le brasier étaient bien des résidus d'origine humaine. C'est au terme d'études minutieuses qui ont duré de longues heures et se sont terminées vers 21 heures que les deux experts, un médecin légiste et un dentiste, ont affirmé ce que l'enquête pouvait laisser craindre.
Les médecins étant finalement parvenus a déterminer l'origine effectivement humaine des résidus, ces fragments vont a présent être acheminés à Paris pour des analyses complémentaires qui seront effectuées à l' Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale ( IRCGN); Ces analyses, dentaires et génétiques ( ADN) permettront d'identifier la victime. Cette étape pourrait durer plusieurs semaines;
Ces dernières révélations ne font qu'alourdir l'inquiétude, et les espoirs de retrouver Stefan Ramin vivant s'amenuisent d'heure en heure. Sur place les équipes se succèdent. Le procureur José Thorel se rendra vendredi à Nuku Hiva, sur les lieux de l'enquète. Il rencontrera la compagne de Stefan Ramin, Heike Dorsch.
Le consul d'Allemagne en Polynésie française est tenu informé des évolutions des investigations.
Contacté par téléphone par Tahiti Infos vers 21 h 30 jeudi soir, le procureur José Thorel en charge de l'enquête a confirmé qu'une partie des fragments biologiques trouvés dans le brasier étaient bien des résidus d'origine humaine. C'est au terme d'études minutieuses qui ont duré de longues heures et se sont terminées vers 21 heures que les deux experts, un médecin légiste et un dentiste, ont affirmé ce que l'enquête pouvait laisser craindre.
Les médecins étant finalement parvenus a déterminer l'origine effectivement humaine des résidus, ces fragments vont a présent être acheminés à Paris pour des analyses complémentaires qui seront effectuées à l' Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale ( IRCGN); Ces analyses, dentaires et génétiques ( ADN) permettront d'identifier la victime. Cette étape pourrait durer plusieurs semaines;
Ces dernières révélations ne font qu'alourdir l'inquiétude, et les espoirs de retrouver Stefan Ramin vivant s'amenuisent d'heure en heure. Sur place les équipes se succèdent. Le procureur José Thorel se rendra vendredi à Nuku Hiva, sur les lieux de l'enquète. Il rencontrera la compagne de Stefan Ramin, Heike Dorsch.
Le consul d'Allemagne en Polynésie française est tenu informé des évolutions des investigations.
