Tahiti Infos

50e anniversaire du Service d'Etat de l'Aviation Civile en PF


Le service d'Etat de l'Aviation Civile en Polynésie française (SEAC) a célébré ses 50 ans d'existence au centre socio-culturel à VAITUPA.

Une matinée festive marquée par les retrouvailles des retraités de l'aviation civile ainsi que par la remise de 72 médailles d'honneur de l'aéronautique aux agents du service. Enfin, un déjeuner a clôturé la matinée, un moment convivial avec les agents et les partenaires du SEAC-PF.
50e anniversaire du Service d'Etat de l'Aviation Civile en PF

Rédigé par communiqué HC le Mercredi 4 Mai 2011 à 14:58 | Lu 586 fois
           



Commentaires

1.Posté par horoscope 2011 le 05/05/2011 01:51 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Je trouve votre blog génial, je vous souhaite plein de succès car vous le méritez, bonne continuation et encore bravo pour ce superbe blog !

2.Posté par Crash de Moorea le 06/05/2011 10:40 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Facebook
Saluons les 50 ans du SEAC pf...
Soufflez... chantez ...
Tous les hommes et femmes du SEAC pf ne sont bien évidemment pas à bannir. Au contraire !
Mais certains portent la responsabilité de la validation des protocoles de contrôles, des modes opératoires d'entretien, des autorisations de vol...
Ceux-là seront jugés !
Ceux-là paieront ici-bas ou là-haut !

Laisser un homme à la tête d'un service d'Etat pendant plus de 25 ans, c'est faire de lui un roi, un potentat... avec ses abus et ses errances...

La Justice oeuvrera mais la Morale a statué !

Rassurez-vous ! Vous ne serez pas les seuls à payer !

Portez votre culpabilité ! Nous nous portons le deuil et notre peine !

Des bébés sans parents,
des parents sans enfants,
des fratries décimées,
des épouses sans maris,
des maris sans épouses
et des amis perdus...

Plus de nuit paisible,
Plus un coucher de soleil sans larme,

Et l'impunité... pour certains

Triste monde...