AUCKLAND, mercredi 7 mars 2012 (Flash d’Océanie) – La société des ports d’Auckland a créé la surprise mercredi en annonçant le licenciement de 292 de ses travailleurs, pour la plupart dockers, qui menaient jusqu’ici un mouvement de grève revendiquant des augmentations de salaires et de meilleures conditions de travail.
La société a justifié cette décision par son souhait d’externaliser ces travaux à trois sociétés sous-traitantes, rapporte la télévision nationale TV3.
Objectif, selon la société : tendre vers « un modèle de compétitivité » en matière d’acconage.
Les 292 salariés désormais licenciés auront toutefois la possibilité de postuler à nouveau, mais sous des conditions différentes, auprès des sociétés retenues, a précisé le directeur général de Port of Auckland, Tony Gibson.
Ce dernier a aussi rappelé le caractère stratégique de ce port, point de passage obligé de la grande majorité des volumes d’exportations (60 pour cent) et d’importations (70 pour cent) de marchandises.
Il a aussi qualifié de « contraintes » les pratiques syndicales qui avaient prévalu jusqu’ici sur les docks et avaient de ce fait, selon lui, significativement réduit les performances et la compétitivité du port d’Auckland.
pad
La société a justifié cette décision par son souhait d’externaliser ces travaux à trois sociétés sous-traitantes, rapporte la télévision nationale TV3.
Objectif, selon la société : tendre vers « un modèle de compétitivité » en matière d’acconage.
Les 292 salariés désormais licenciés auront toutefois la possibilité de postuler à nouveau, mais sous des conditions différentes, auprès des sociétés retenues, a précisé le directeur général de Port of Auckland, Tony Gibson.
Ce dernier a aussi rappelé le caractère stratégique de ce port, point de passage obligé de la grande majorité des volumes d’exportations (60 pour cent) et d’importations (70 pour cent) de marchandises.
Il a aussi qualifié de « contraintes » les pratiques syndicales qui avaient prévalu jusqu’ici sur les docks et avaient de ce fait, selon lui, significativement réduit les performances et la compétitivité du port d’Auckland.
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