Tahiti le 13 mars 2024. Au titre des actions de prévention de la délinquance, le ministère des Sports, de la Jeunesse et de la Prévention contre la délinquance, avec l’appui de la Délégation pour la Prévention de la Délinquance de la Jeunesse (DPDJ), lance une étude qui a pour objet de centraliser et analyser les informations existantes sur la consommation et le trafic d’ice en Polynésie française.
Cette initiative naît du constat selon lequel la consommation de méthamphétamine au fenua est peu documentée et les données disponibles sont à la fois lacunaires et dispersées dans les différentes administrations de l’État (pour le volet répressif) et du Pays (pour ce qui concerne la prise en charge des consommateurs et des victimes), étant entendu que l’évolution du trafic d’ice n’a fait l’objet d’aucune étude sur le plan institutionnel.
Ce diagnostic, une fois réalisé, aura pour intérêt de permettre une meilleure orientation de la stratégie gouvernementale, en concertation avec les services de l’État, en matière de lutte contre le trafic mais aussi de prévention de la consommation de méthamphétamine sur le territoire.
Les impacts d’un tel trafic sur la jeunesse et les familles du fenua sont d’une gravité si importante que ce sujet reçoit le fort soutient et toute l’attention du président de la Polynésie française et de l’ensemble des membres du gouvernement.
En effet, alors que la méthamphétamine est considérée comme la drogue du pauvre aux États-Unis, elle devient un produit de luxe sur notre territoire et malgré son prix très élevé, elle ne cesse de se répandre dans notre société, au point où en 2022, la Polynésie française représentant près de 10% des saisies française d’ice.
Le ministère de la Prévention contre la délinquance œuvre donc à l’élaboration d’un plan d’actions et de communication en matière de prévention de la consommation et le trafic d’ice en Polynésie française.
Cette initiative naît du constat selon lequel la consommation de méthamphétamine au fenua est peu documentée et les données disponibles sont à la fois lacunaires et dispersées dans les différentes administrations de l’État (pour le volet répressif) et du Pays (pour ce qui concerne la prise en charge des consommateurs et des victimes), étant entendu que l’évolution du trafic d’ice n’a fait l’objet d’aucune étude sur le plan institutionnel.
Ce diagnostic, une fois réalisé, aura pour intérêt de permettre une meilleure orientation de la stratégie gouvernementale, en concertation avec les services de l’État, en matière de lutte contre le trafic mais aussi de prévention de la consommation de méthamphétamine sur le territoire.
Les impacts d’un tel trafic sur la jeunesse et les familles du fenua sont d’une gravité si importante que ce sujet reçoit le fort soutient et toute l’attention du président de la Polynésie française et de l’ensemble des membres du gouvernement.
En effet, alors que la méthamphétamine est considérée comme la drogue du pauvre aux États-Unis, elle devient un produit de luxe sur notre territoire et malgré son prix très élevé, elle ne cesse de se répandre dans notre société, au point où en 2022, la Polynésie française représentant près de 10% des saisies française d’ice.
Le ministère de la Prévention contre la délinquance œuvre donc à l’élaboration d’un plan d’actions et de communication en matière de prévention de la consommation et le trafic d’ice en Polynésie française.