Tahiti le 12 mai 2025. Selon un communiqué du haut-commissariat envoyé ce lundi soir aux rédactions, le 10 mars dernier, il a été porté à la connaissance du directeur territorial de la police nationale des faits de violences qui auraient été commis sur une personne escortée au CHPF par un policier.
La Procureure de la République a immédiatement ouvert une enquête judiciaire.
Sans délai, le Haut-Commissaire de la République en Polynésie française a suspendu avec effet immédiat le policier impliqué, dans l’attente des résultats de l’enquête interne ouverte par la Direction Territoriale de la Police Nationale.
Le 9 mai 2025, le policier mis en cause a été condamné, par le Tribunal correctionnel de Papeete, à une peine de 8 mois de prison avec sursis, avec interdiction d'exercer d'un an avec exécution provisoire.
Parallèlement à cette procédure judiciaire, l’administration pourra prendre une décision de sanction pouvant aller jusqu’à la révocation du policier impliqué.
Dans ce communiqué toujours, le Haut-Commissaire de la République condamne fermement toute forme de violence. La réaction de l’État à de tels comportements doit être ferme. Il en va de la confiance en nos forces de sécurité qui travaillent sans relâche au service de nos concitoyens.
Des faits qui ne sont pas sans rappeler ceux commis fin septembre 2024 alors qu’un policier, devant deux de ses collègues qui n’ont pas bougé, frappait une personne en état d’ébriété en fauteuil roulant dans le quartier Estall de Taunoa.
La Procureure de la République a immédiatement ouvert une enquête judiciaire.
Sans délai, le Haut-Commissaire de la République en Polynésie française a suspendu avec effet immédiat le policier impliqué, dans l’attente des résultats de l’enquête interne ouverte par la Direction Territoriale de la Police Nationale.
Le 9 mai 2025, le policier mis en cause a été condamné, par le Tribunal correctionnel de Papeete, à une peine de 8 mois de prison avec sursis, avec interdiction d'exercer d'un an avec exécution provisoire.
Parallèlement à cette procédure judiciaire, l’administration pourra prendre une décision de sanction pouvant aller jusqu’à la révocation du policier impliqué.
Dans ce communiqué toujours, le Haut-Commissaire de la République condamne fermement toute forme de violence. La réaction de l’État à de tels comportements doit être ferme. Il en va de la confiance en nos forces de sécurité qui travaillent sans relâche au service de nos concitoyens.
Des faits qui ne sont pas sans rappeler ceux commis fin septembre 2024 alors qu’un policier, devant deux de ses collègues qui n’ont pas bougé, frappait une personne en état d’ébriété en fauteuil roulant dans le quartier Estall de Taunoa.