
Tahiti, le 12 janvier 2021 - Le plaisancier américain sommé depuis le mois dernier de quitter le territoire français après l'expiration en juillet de son autorisation provisoire de séjour au fenua n'a pas bénéficié d'une audience favorable, mardi au tribunal administratif.
La saisie du tribunal administratif pourrait s’avérer vaine, pour ce plaisancier américain. L’homme est, depuis le 2 décembre, sous le coup d’un arrêté du haut-commissaire le sommant de quitter le territoire national, après avoir largement dépassé une autorisation provisoire de séjour échue depuis juillet dernier. Une injonction qu’il conteste, en raison du risque susceptible de lui faire courir ce départ en haute mer, durant la saison cyclonique. Il demande à pourvoir rester en Polynésie française jusqu’au 31 mars prochain. Examinée en référé le 24 décembre, la requête de ce réfugié du Pacifique a été rejetée. Un examen au fond de cette demande, mardi, douche ses derniers espoirs. Pour le rapporteur public le risque météorologique qu’invoque ce plaignant "n’est pas assorti des justificatifs suffisants pour soutenir sa requête". Le magistrat propose au tribunal de la rejeter. Décision le 26 janvier.
La saisie du tribunal administratif pourrait s’avérer vaine, pour ce plaisancier américain. L’homme est, depuis le 2 décembre, sous le coup d’un arrêté du haut-commissaire le sommant de quitter le territoire national, après avoir largement dépassé une autorisation provisoire de séjour échue depuis juillet dernier. Une injonction qu’il conteste, en raison du risque susceptible de lui faire courir ce départ en haute mer, durant la saison cyclonique. Il demande à pourvoir rester en Polynésie française jusqu’au 31 mars prochain. Examinée en référé le 24 décembre, la requête de ce réfugié du Pacifique a été rejetée. Un examen au fond de cette demande, mardi, douche ses derniers espoirs. Pour le rapporteur public le risque météorologique qu’invoque ce plaignant "n’est pas assorti des justificatifs suffisants pour soutenir sa requête". Le magistrat propose au tribunal de la rejeter. Décision le 26 janvier.