Crédit : Océania
Tahiti, le 12 décembre 2025 – L'association de protection des cétacés, Oceania, a annoncé mercredi sur sa page Facebook qu'elle avait retrouvé son hydrophone perdu en mer début octobre dans la vallée blanche. L'appareil fonctionnait encore.
Un peu plus de deux mois après avoir perdu un hydrophone dans la zone de la vallée blanche alors qu'il était immergé à plus de 20 mètres de profondeur et relié à une bouée, l'association de préservation des cétacés, Oceania, notamment impliquée dans la protection des baleines, a annoncé mercredi qu'elle avait réussi à repêcher ce précieux outil d’observation scientifique.
Tel que le rappelle la directrice d'Oceania, Charlotte Esposito, dans nos colonnes, l’association travaille sur “tout un volet acoustique” dans le cadre du programme Ocean Watch. “Ce volet, géré par notre responsable scientifique, Charles Mars, est un volet sur lequel nous déployons un réseau de six hydrophones toute l'année. De janvier à juin, ils sont présents dans les cinq archipels polynésiens pour contribuer au recensement du peuplement des cétacés avec un focus sur les odontocètes. De juillet à décembre, ces hydrophones sont rapatriés à Tahiti et Moorea pour enregistrer en continu ce qui se passe sous l'eau avec un focus, cette fois-ci, sur les baleines à bosse avec un questionnement autour du chant des baleines à bosse et de la composition de ces chants-là.”
Un dispositif toujours en place
Lors de la plongée de mi-saison destinée à changer les batteries et télécharger la data de l'hydrophone, les équipes d'Oceania n'avaient pas retrouvé l'appareil à l'endroit désigné par les coordonnées GPS sous lesquelles il avait été enregistré. Suite à cette première plongée, deux autres équipées ont été organisées par Oceania, soutenue par les équipes de la REMP et de l'IREM.
Au terme de plusieurs plongées infructueuses, l'hydrophone a finalement été retrouve comme l'explique Charlotte Esposito : “Un binôme est parti en plongée sur une sortie planifiée de trois heures pour en prospecter toute la longueur du récif sur une profondeur comprise à la profondeur à laquelle on avait déployé notre dispositif antérieur. Et après une heure et demie de plongée, ils ont retrouvé l'hydrophone et c'était donc un problème de coordonnées GPS, parce que le dispositif était toujours bel et bien en place.”
Pour l'association, il était fondamental de récupérer cet hydrophone car il a “quand même enregistré les trois, quatre premiers mois de la saison” et qu'il s'agit d'un appareil onéreux.
Un peu plus de deux mois après avoir perdu un hydrophone dans la zone de la vallée blanche alors qu'il était immergé à plus de 20 mètres de profondeur et relié à une bouée, l'association de préservation des cétacés, Oceania, notamment impliquée dans la protection des baleines, a annoncé mercredi qu'elle avait réussi à repêcher ce précieux outil d’observation scientifique.
Tel que le rappelle la directrice d'Oceania, Charlotte Esposito, dans nos colonnes, l’association travaille sur “tout un volet acoustique” dans le cadre du programme Ocean Watch. “Ce volet, géré par notre responsable scientifique, Charles Mars, est un volet sur lequel nous déployons un réseau de six hydrophones toute l'année. De janvier à juin, ils sont présents dans les cinq archipels polynésiens pour contribuer au recensement du peuplement des cétacés avec un focus sur les odontocètes. De juillet à décembre, ces hydrophones sont rapatriés à Tahiti et Moorea pour enregistrer en continu ce qui se passe sous l'eau avec un focus, cette fois-ci, sur les baleines à bosse avec un questionnement autour du chant des baleines à bosse et de la composition de ces chants-là.”
Un dispositif toujours en place
Lors de la plongée de mi-saison destinée à changer les batteries et télécharger la data de l'hydrophone, les équipes d'Oceania n'avaient pas retrouvé l'appareil à l'endroit désigné par les coordonnées GPS sous lesquelles il avait été enregistré. Suite à cette première plongée, deux autres équipées ont été organisées par Oceania, soutenue par les équipes de la REMP et de l'IREM.
Au terme de plusieurs plongées infructueuses, l'hydrophone a finalement été retrouve comme l'explique Charlotte Esposito : “Un binôme est parti en plongée sur une sortie planifiée de trois heures pour en prospecter toute la longueur du récif sur une profondeur comprise à la profondeur à laquelle on avait déployé notre dispositif antérieur. Et après une heure et demie de plongée, ils ont retrouvé l'hydrophone et c'était donc un problème de coordonnées GPS, parce que le dispositif était toujours bel et bien en place.”
Pour l'association, il était fondamental de récupérer cet hydrophone car il a “quand même enregistré les trois, quatre premiers mois de la saison” et qu'il s'agit d'un appareil onéreux.





































