Tahiti Pacifique Magazine
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N° 440 - 2 octobre 2020 - Version numérique
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Au sommaire :

Portrait - THIBAUD MILLET, L'AVOCAT QUI MET LES PIEDS DANS LE PLAT
Ces dernières semaines, il a occupé toute sa place dans les médias. Thibaud Millet est sur tous les fronts dès lors qu’il est question d'atteintes à la liberté. Dernièrement, il a déposé des référés-libertés concernant le port obligatoire du masque, il a aussi fait un recours sur les restrictions de l’alcool… Qui est cet avocat qui n’a pas peur de mettre les pieds dans le plat ?

Économie - REPRISE DU TOURISME : LE MOTEUR CALE…
La crise mondiale actuelle affecte le secteur du tourisme de manière inédite. En effet, presque tous les déterminants de la demande, mais aussi de l’offre touristique, sont sévèrement impactés. Selon les prévisions de l’Organisation mondiale du tourisme, les arrivées de touristes internationaux vont baisser de l’ordre de -58% à -78% pour l’année 2020. Cette crise n’est pas la première, mais les conséquences précédentes ont été plutôt faibles.

60 ans d'aménagements – LES MULTIPLES VISAGES DE L'ESPLANADE JACQUES-CHIRAC
Très prochainement, le rond-point Jacques-Chirac, situé au bas de l’avenue Pouvana'a a Oopa, nous présentera son nouveau visage. Au fil des ans, la sortie ouest de Papeete aura changé de physionomie à de multiples reprises. Pas facile de s’imaginer ce qu’était cet endroit il y a plus d'un demi-siècle tant les changements intervenus ont été nombreux.


Ensemble, faisons bouger les lignes !

Bonne lecture, te aroha ia rahi.
350,00 FCFP
N° 439 - 18 septembre 2020 - Version numérique
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Au sommaire :

OSCAR TEMARU : MAOHI NUI NEEDS YOU !
En se présentant aux sénatoriales, le leader du parti indépendantiste crée la surprise… et coupe l’herbe sous le pied du Vieux Lion, qui lui proposait une alliance politique pour créer un "État souverain associé à la France". Mais la nouvelle marotte de Gaston Flosse n’a pas convaincu son "meilleur ennemi", Oscar Temaru, dont le rêve est d’enclencher en Polynésie le processus de décolonisation et la naissance d’un "État fédéré de Maohi Nui", pleinement souverain. Stratégie sur l’échiquier politique, idéologie d’autodétermination, référendum en Nouvelle-Calédonie, affaire Radio Tefana, nucléaire, gestion de la crise par le Pays… sans oublier son programme de campagne, l’ancien président du fenua et actuel maire de Faa’a, qui aspire à gagner les prochaines échéances électorales le 27 septembre, détaille ses ambitions à Tahiti Pacifique. Entretien sans langue de bois avec celui qui se dit "victime de la raison d’État", à l’image de son guide Pouvana’a a Oopa, sur les pas duquel il marche.

Ensemble, faisons bouger les lignes !

Bonne lecture, te aroha ia rahi.
250,00 FCFP
N° 438 - 4 septembre 2020 - Version numérique
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Au sommaire :

PRISM, des entrepreneurs innovants – ILS FONT BOUGER LE FENUA !
PRISM est le premier incubateur de projets polynésiens, lancé et pris en charge par la Chambre de commerce, d’industrie, des services et des métiers (CCISM), en partenariat avec Makesense. Depuis 2017, cette structure aide et accompagne les entrepreneurs à se développer au moment du lancement de leur idée de jeune entreprise innovante. Aujourd’hui, l’incubateur en est à sa quatrième promotion, et il ne compte pas s’arrêter là ! PRISM a récemment lancé un cinquième appel à projets pour recruter sa prochaine promotion, les dossiers sont encore à l’étude.

Sénatoriales – LE PARTI ORANGE VOIT ROUGE...
Gaston Flosse, le leader du parti orange, a vu rouge... sang ! Alors que le Vieux Lion tentait une ultime pirouette, voilà que son meilleur ennemi Oscar Temaru lui vole la vedette en se présentant aux sénatoriales. Pourtant, en sortant de sa crinière poussiéreuse la proposition de faire de la Polynésie un "État souverain associé à la France", il pensait tenir là une botte secrète imparable. Mais celui qui rêve d’une "Maohi Nui" indépendante s’est juré qu’on ne l’y prendrait plus et a laissé sur le carreau son rival politique qui n’inspire plus confiance jusqu’au sein même de son clan.

Économie – LES STRATÉGIES COVID-19 DE NOS VOISINS D’OCÉANIE : DES CHOIX DIFFICILES...
La Banque de Développement Asiatique prévoit une baisse du PIB de 4,3% pour les 14 États du Pacifique en 2020 (et environ 10% pour les petites îles), soit une croissance de 8 points inférieure à ce qui était prévu avant la crise. La contraction serait encore plus catastrophique pour les petites économies fortement orientées vers le tourisme.

Littérature – TOUR D’HORIZON DES LECTURES MARQUISIENNES
Les îles Marquises vous branchent-elles ? Parmi l’imposante bibliothèque consacrée à cet archipel éloigné de Tahiti, quels sont les livres à lire actuellement disponibles en librairie ? En attendant le prochain Festival des Arts des Marquises, étalez votre pāreu à l’ombre bienfaitrice d’un banian et partez en voyage...

Ensemble, faisons bouger les lignes !

Bonne lecture, te aroha ia rahi.
250,00 FCFP
N°437 - 21 août 2020 - Version numérique
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Covid-19 : les autorités blâmées par la population – Y A-T-IL UN PILOTE DANS L'AVION ?
Tout semble hors de contrôle… Face à la flambée du nombre de cas confirmés de coronavirus au fenua, et ce à la veille de la rentrée scolaire, la grogne s'accentue de toute part. D'un côté, le Pays et l'État pointent du doigt le comportement de certains nouveaux arrivants et de résidents qui n'ont pas respecté les gestes barrières, et, de l'autre, la population s'insurge contre leur manque de réactivité et cette situation sanitaire qui aurait pu être évitée. "Ce n'est pas la faute des touristes", martèlent les autorités, sans remettre en cause les failles de leur dispositif, dont l'objectif était de relancer le tourisme... Pourtant, c'est bien en rouvrant nos frontières sans imposer de "quarantaine" et en faisant de simples "recommandations" que le Covid-19 a été réintroduit en Polynésie. Les organisations sociales et syndicales sont immédiatement montées au créneau pour réclamer notamment le retour à la "quatorzaine" et le report de la rentrée, en vain. Alors, sauver le tourisme, oui… mais peut-être pas à n'importe quel prix !

Économie – LE PAYS PEUT-IL SE PASSER DU TOURISME EXTÉRIEUR ?
Toutes les petites économies insulaires développées sont très ouvertes sur l’extérieur, car leur petit marché intérieur ne permet pas d’obtenir les économies d’échelle nécessaires pour développer une activité industrielle compétitive pour le marché intérieur. Les seules activités compétitives sont en général tournées presque entièrement vers l’exportation (tourisme et perle en Polynésie française, nickel en Nouvelle-Calédonie). Le prototype d’une économie insulaire ouverte est l’État de Hawaii, dont l’économie est entièrement tournée vers l’exportation de services touristiques, la consommation de produits manufacturés pour le marché intérieur étant importée quasiment à 100 %.

Ensemble, faisons bouger les lignes !

Bonne lecture, te aroha ia rahi.
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N° 436 - 7 août 2020 - Version numérique
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AUTORITÉ POLYNÉSIENNE DE LA CONCURRENCE - JACQUES MÉROT, LE PRÉSIDENT DE L’APC, (ENFIN) DESTITUÉ
Fin de la partie pour Jacques Mérot qui vient d’être démissionné d’office par le président de la Polynésie française. Désavoué par son propre collège qui lui reprochait son manque d’impartialité et accablé par la presse spécialisée pour son comportement "folklorique" dans diverses affaires, le coup de grâce est venu de la cour d’appel de Paris le 29 juillet. Le président de l’Autorité polynésienne de la concurrence (APC) a été contraint de quitter ses fonctions le 3 août dernier. Si, depuis, Christian Montet assure l’intérim en attendant la nomination d’un nouveau président, il tient à dire haut et fort qu’il "ne brigue pas le poste et n’est pas candidat".

ÉNERGIES RENOUVELABLES : LE PAYS SE HÂTE LENTEMENT… LES AUTRES TERRITOIRES DU PACIFIQUE AVANCENT PLUS VITE !
Si la crise du Covid-19, à juste titre, occupe tous les esprits, elle interroge surtout l’avenir et nous contraint à le repenser. La preuve en est la multiplication des appels à une relance verte, à une relance écologique et sociale ou à un Green Deal européen… Cette catastrophe peut être aussi une occasion pour nos îles de réduire leurs dépendances sur les plans sanitaire, alimentaire, économique, mais également énergétique.

MARINA DE TEVAITOA - CHRONIQUE D’UN NAUFRAGE ANNONCÉ…
Le projet de marina à Tevaitoa – sur l’île de Raiatea – ne verra jamais le jour. Entre la contestation locale, les études mal faites, ou encore les conditions douteuses de passation du marché de construction de la marina, le projet a empilé les litiges au tribunal administratif avec les riverains, le bureau d’études, ou encore sur les modalités de financement entre l’État et le Pays. Un dossier où les lois de la logique et de bonne gestion des deniers publics ont été largement malmenées.


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Bonne lecture, te aroha ia rahi.
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N° 435 - 26 juin 2020 - Version numérique
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Enquête – MOOREA EN GUERRE CONTRE LES GRANDS PROJETS
Ces dernières années, plusieurs grands projets (hôtels, résidence, marina…) ont été rejetés par une bonne partie de la population de Moorea. Alors que les promoteurs garantissent, à chaque fois, de contribuer au développement économique de l’île et d’offrir des emplois, les contestataires sont préoccupés, eux, par les impacts négatifs sur l'environnement. Lassés par les promesses non tenues, les opposants ne veulent plus payer les pots cassés. Le projet de lotissement Paetou à Teavaro, rejeté en bloc par un collectif de riverains, en est la parfaite illustration…

Interview exclusive – "LES PLAISANCIERS SONT TOUS LES BIENVENUS"
Alors que l’Association des voiliers en Polynésie (AVP) s’interroge sur l’avenir de la plaisance au fenua, suite aux tensions exacerbées avec certains riverains pendant le confinement, Jean-Christophe Bouissou, a accepté de répondre en exclusivité aux questions de Tahiti Pacifique. Le ministre chargé des Transports interinsulaires maritimes et aériens se veut rassurant : "Non, il n’y a pas de problèmes avec les plaisanciers en Polynésie française" et la polémique "n’a pas lieu d’être".

Hommage – LES PLUS BELLES ANNÉES DE TEMAEVA
Cette année, aux concours de chants et danses du Heiva i Tahiti, il aurait été nécessaire de compter une fois encore sur la présence du groupe Temaeva de Coco Hotahota qui devait se présenter place To’atā, après cinquante-huit ans d’existence, pour tenter de décrocher encore le prestigieux prix Madeleine Moua dans la catégorie Hura Tau. Tahiti Pacifique rend hommage à ce chef de troupe exceptionnel, entièrement voué à l’amour de la danse et l’amour de son pays.


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Bonne lecture, te aroha ia rahi.
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N° 434 - 12 juin 2020 - Version numérique
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Reportage – UNE CRISE SOCIALE INÉVITABLE
La crise sanitaire liée au coronavirus a mis le Pays K.-O. debout pendant plus de deux mois. On a beaucoup parlé de la grave crise économique qui frappe le fenua, mais qu’en est-il de la crise sociale engendrée par cet arrêt forcé des différents secteurs d’activités ? Tahiti Pacifique est parti à la rencontre des familles et des travailleurs qui souffrent aujourd’hui en silence… Ici, une mère de famille doit finir le mois avec 1 000 Fcfp ; là, une autre ne peut offrir trois repas par jour à ses enfants. Des milliers de foyers tournent ainsi au “café pain beurre” ou “café-Sao”. Désormais, le Pays doit apporter de toute urgence tous les moyens humains, matériels et financiers nécessaires pour se relever et rebondir.

Municipales – QUI SERA JUGÉ ?
Un second tour des élections municipales sera organisé, là où c’est nécessaire, le 28 juin. L’étrangeté de la situation n’aura échappé à personne. Chacun ira voter (ou n’ira pas voter) avec, à l’esprit, ces mois que nous venons de vivre et les mois qui viennent avec une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Du coup, que signifiera le vote des électeurs ?

Nouvelle rubrique "Vu de Paris" – NUCLÉAIRE : LE PARLEMENT CHANGE LES RÈGLES !
Après plusieurs rebondissements et des séances nocturnes pimentées de joutes verbales, le Parlement français, à Paris, a fini par adopter la rétroactivité de l’amendement Tetuanui. Le millisievert est désormais un critère incontournable dans l’estimation du préjudice qu’ont subi les victimes des essais nucléaires.


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Bonne lecture, te aroha ia rahi.
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N° 433 - 29 mai 2020 - Version numérique
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Édition spéciale – ESSAIS NUCLÉAIRES EN POLYNÉSIE : LE MÉPRIS DE L'ÉTAT EXPLOSE AU GRAND JOUR

C’est en catimini que l’Assemblée nationale a adopté, le 14 mai dernier, le projet de loi portant diverses dispositions urgentes pour faire face aux conséquences de l’épidémie de Covid-19, avec l’article 2 concernant les essais nucléaires en Polynésie, ainsi que les modalités d’indemnisation. L’amendement de retrait déposé par le député Moetai Brotherson n’a pas été retenu et la loi rendra applicable à toutes les demandes d’indemnisation "Loi Morin" en cours la condition d’exposition minimale annuelle de 1 millisievert. Indigné, le parlementaire polynésien et vice-président du Tavini Huiraatira interroge l’État français : "Qu’est-ce que le peuple polynésien vous a fait pour que vous nous détestiez autant ?" De même, les associations 193 et Moruroa e Tatou crient au scandale et fustigent l’État après ce "coup de Trafalgar" manigancé depuis les hautes sphères parisiennes. Désormais, elles rejettent à l’unisson le projet de Centre de mémoire, pourtant censé apaiser les tensions. Dans cette édition spéciale, un ingénieur retraité de la Direction des essais du Commissariat à l’énergie atomique (CEA), Ghislain Houzel, qui a effectué de très nombreuses missions à Moruroa, de 1966 1997, et assisté à plus de 120 tirs, raconte en outre l’horreur des essais, sans langue de bois. La page du nucléaire, qui a profondément entaché les relations du fenua dans son histoire avec la France métropolitaine, n’est toujours pas tournée. Le sera-t-elle un jour ?

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N° 432 - 15 mai 2020 - Version numérique
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Filière d'avenir – PERMACULTURE : L'AUTOSUFFISANCE À PORTÉE DE MAIN
En Polynésie, la ferme permacole de Tipapa représente un formidable exemple de mise en valeur de produits locaux, sains et nutritifs, sur une surface très réduite. La gérante, Naomi Cunéo, souhaite ainsi indiquer la voie à suivre : "Je veux montrer aux Polynésiens qu’avec un petit terrain, on peut être autonome". Alors, et si on s’y mettait tous ? Vive la permaculture en ces temps obscurs ! Plus qu’un concept de développement durable, c’est un mode de vie global qui peut assurer l’autosuffisance alimentaire à chacun de nous et permettre à la collectivité de jouir d’une meilleure santé publique.

Économie – RESTAURER LA CONFIANCE ET RELANCER LE TOURISME, LES ENJEUX DU PACIFIQUE
La mise au pas de l’économie afin de juguler l’épidémie de Covid-19 s’est imposée un peu partout dans le monde, au travers de mesures plus ou moins strictes de confinement des populations. Nous n’y avons pas échappé en Polynésie, avec pour résultat une épidémie pratiquement étouffée dans l’œuf. Mais à présent, l’heure n’est plus à opposer la santé à l’économie, et on voit de plus en plus clairement qu’une polarisation excessive sur la peur du coronavirus risquerait d’engendrer des problèmes sociaux et sanitaires bien plus graves encore.


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N° 431 - 30 avril 2020 - Version numérique
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Reportage – S'ADAPTER POUR SURVIVRE
La crise sanitaire et les dispositions prises par le gouvernement pour protéger la population ont de facto provoqué une crise économique. Beaucoup d’entreprises et de patentés en Polynésie sont dans une situation délicate, mais la pandémie n’a pas que des effets négatifs. Une nouvelle économie a vu le jour grâce à des actions collectives et innovantes. Rencontre avec celles et ceux qui la font…

Crise sanitaire – LA COMPLEXITÉ DES ÉVASANS
Depuis la fermeture des frontières et l’instauration du confinement, suite à l’épidémie du coronavirus, la mise en œuvre des évacuations sanitaires a été bouleversée. Aujourd’hui, seules les évasans dites urgentes sont acceptées en Métropole. Et en cas d’urgence absolue, des accords entre les autorités françaises et néo-zélandaises sont négociés pour éviter une catastrophe.

Braquages à main armée – LES VIOLENCES MONTENT D'UN CRAN…
Violences conjugales et intrafamiliales, vols, agressions diverses, mais aussi braquages avec armes à feu… Le fenua enregistre une recrudescence des mauvais comportements en tous genres depuis quelques semaines. L'interdiction de la vente d'alcool a fait "déborder le vase" alors que la population était déjà astreinte à un confinement général et des mesures sanitaires strictes. Les associations de lutte contre les violences ou de prévention en alcoologie n'ont pas tardé à tirer la sonnette d'alarme pour dénoncer cette "fausse bonne idée". Le Pays a finalement pédalé en arrière en revenant partiellement sur sa décision, mais le mal est déjà fait.


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