Tahiti, le 7 octobre 2024 - C’est le troisième opus de la série que Virginie Prat présente. Il s’agit de l’album La Leçon de surf de Vatiti, illustré par Laurent Cardon et publié aux éditions des Mers Australes. Une fois de plus la petite fille, comme une héroïne du quotidien, emporte de petites victoires pour atteindre son but. À savoir : surfer la vague de Teahupo’o.
“Les héros, ce ne sont pas seulement les Superman et autres personnages de Marvel avec des pouvoirs magiques incroyables”, explique l’autrice Virginie Prat. “Ce sont aussi ces femmes et ces hommes du quotidien, qui multiplient les petits gestes et emportent de petites victoires, jour après jour.” Elle reste persuadée que nos existences sont jalonnées de difficultés et “qu’en chacun de nous un petit héros sommeille”. Il se révèle, de temps en temps. Et Vatiti en est un bel exemple. Elle obtient toujours ce qu’elle veut, jamais comme elle l’avait imaginé, toujours avec le soutien de ses proches, amis ou familles. Elle s’accroche et elle touche au but. “Les petites histoires font les grands héros.”
La collection Vatiti lancée par les éditions des Mers Australes, écrite par Virginie Prat et illustrée par Laurent Cardon a démarré avec Les Longs cheveux de Vatiti (2020). Puis ont été publiés : Le Long chemin de Vatiti (2022) et enfin La Leçon de surf de Vatiti (2024). Ce dernier album est un clin d’œil aux Jeux olympiques, bien sûr, mais pas seulement. En effet, Vatiti se met en tête de réussir à surfer Teahupo’o. Mais elle n’a ni planche, ni expérience. Il lui faudra donc trouver l’une et acquérir l’autre pour réaliser son rêve. “Flanquée de ses deux amis, soutenue par sa grand-mère”, elle y parviendra. Ce qui en fait une héroïne du quotidien. Vatiti est une fillette qui ne sait pas dire non, n’ose pas, ne s’impose pas mais qui, avec un peu d'astuce et d'espièglerie, atteint toujours son but.
En plus, Virginie Prat a voulu retrouver la naïveté et la fraîcheur qu’ont les enfants. “Une fois le rêve formulé à haute voix, tout est possible ; ils ne s’imposent pas de barrière.” Elle a souhaité évoquer le surf pour sa dimension culturelle et personnelle. “C’est cela qui a permis à mes enfants de trouver leurs racines à Tahiti.” Elle n’a pas manqué, en plus, de parler des repas traditionnels, de la joie de vivre et de la solidarité, prégnante sur le territoire.
Le quatrième tome des aventures de Vatiti est prêt, il devrait sortir d’ici à la fin de l’année. Il abordera une nouvelle problématique. Vatiti se retrouve, en fin d’année, propulsée sur le devant de la scène pour assurer un spectacle de ‘ori tahiti alors qu’elle n’a qu’une envie, rester chez elle et ne rien faire. Une nouvelle épreuve s’annonce. “Même celles et ceux qui ne sont pas les premiers de la classe, qui n’ont pas de talent évident, peuvent réussir.”
Les rencontres au Salon du livre
Samedi 19 octobre
15h45 - 16h30 |
Lecture et présentation d'ouvrage
14 heures - 15h30 / 16h30 - 17h30
Virginie Prat La Leçon de surf de Vatiti
“Les héros, ce ne sont pas seulement les Superman et autres personnages de Marvel avec des pouvoirs magiques incroyables”, explique l’autrice Virginie Prat. “Ce sont aussi ces femmes et ces hommes du quotidien, qui multiplient les petits gestes et emportent de petites victoires, jour après jour.” Elle reste persuadée que nos existences sont jalonnées de difficultés et “qu’en chacun de nous un petit héros sommeille”. Il se révèle, de temps en temps. Et Vatiti en est un bel exemple. Elle obtient toujours ce qu’elle veut, jamais comme elle l’avait imaginé, toujours avec le soutien de ses proches, amis ou familles. Elle s’accroche et elle touche au but. “Les petites histoires font les grands héros.”
La collection Vatiti lancée par les éditions des Mers Australes, écrite par Virginie Prat et illustrée par Laurent Cardon a démarré avec Les Longs cheveux de Vatiti (2020). Puis ont été publiés : Le Long chemin de Vatiti (2022) et enfin La Leçon de surf de Vatiti (2024). Ce dernier album est un clin d’œil aux Jeux olympiques, bien sûr, mais pas seulement. En effet, Vatiti se met en tête de réussir à surfer Teahupo’o. Mais elle n’a ni planche, ni expérience. Il lui faudra donc trouver l’une et acquérir l’autre pour réaliser son rêve. “Flanquée de ses deux amis, soutenue par sa grand-mère”, elle y parviendra. Ce qui en fait une héroïne du quotidien. Vatiti est une fillette qui ne sait pas dire non, n’ose pas, ne s’impose pas mais qui, avec un peu d'astuce et d'espièglerie, atteint toujours son but.
En plus, Virginie Prat a voulu retrouver la naïveté et la fraîcheur qu’ont les enfants. “Une fois le rêve formulé à haute voix, tout est possible ; ils ne s’imposent pas de barrière.” Elle a souhaité évoquer le surf pour sa dimension culturelle et personnelle. “C’est cela qui a permis à mes enfants de trouver leurs racines à Tahiti.” Elle n’a pas manqué, en plus, de parler des repas traditionnels, de la joie de vivre et de la solidarité, prégnante sur le territoire.
Le quatrième tome des aventures de Vatiti est prêt, il devrait sortir d’ici à la fin de l’année. Il abordera une nouvelle problématique. Vatiti se retrouve, en fin d’année, propulsée sur le devant de la scène pour assurer un spectacle de ‘ori tahiti alors qu’elle n’a qu’une envie, rester chez elle et ne rien faire. Une nouvelle épreuve s’annonce. “Même celles et ceux qui ne sont pas les premiers de la classe, qui n’ont pas de talent évident, peuvent réussir.”
Les rencontres au Salon du livre
Samedi 19 octobre
15h45 - 16h30 |
Lecture et présentation d'ouvrage
14 heures - 15h30 / 16h30 - 17h30
Virginie Prat La Leçon de surf de Vatiti