Angers, France | AFP | jeudi 02/01/2025 - Un homme âgé de 23 ans a été tué jeudi en milieu de journée au cours d'une altercation à la gare d'Angers, a-t-on appris auprès du procureur de la République de la ville, Eric Bouillard.
Peu avant 13H, une dispute a éclaté entre plusieurs personnes sur le parvis haut de la gare Saint-Laud dans le centre d'Angers.
Le jeune homme s'est retrouvé "face à quatre personnes", dont deux agresseurs "armés de marteaux", a indiqué M. Bouillard à un correspondant de l'AFP.
La victime s'est réfugiée dans la gare où elle a été atteinte de "plusieurs coups avec un ou des objets contondants", selon le magistrat, précisant qu'une enquête a été ouverte pour meurtre.
Le jeune homme a succombé à ses blessures malgré l'intervention des secours.
Aucun suspect n'a été interpellé dans l'immédiat.
Une autopsie doit être réalisée vendredi.
Sur X, le maire d'Angers Christophe Béchu a fait part de son "effroi" après le meurtre.
"Nous ne céderons rien à la violence. Notre ville doit être sûre, chacun doit pouvoir y vivre en sécurité. La justice devra être la plus ferme possible avec les meurtriers", a réagi l'ancien ministre de l'Environnement.
L'enquête a été confiée à la division de la criminalité organisée et spécialisée.
Une partie de la gare a été temporairement fermée au public mais sans incidence sur le trafic ferroviaire.
Peu avant 13H, une dispute a éclaté entre plusieurs personnes sur le parvis haut de la gare Saint-Laud dans le centre d'Angers.
Le jeune homme s'est retrouvé "face à quatre personnes", dont deux agresseurs "armés de marteaux", a indiqué M. Bouillard à un correspondant de l'AFP.
La victime s'est réfugiée dans la gare où elle a été atteinte de "plusieurs coups avec un ou des objets contondants", selon le magistrat, précisant qu'une enquête a été ouverte pour meurtre.
Le jeune homme a succombé à ses blessures malgré l'intervention des secours.
Aucun suspect n'a été interpellé dans l'immédiat.
Une autopsie doit être réalisée vendredi.
Sur X, le maire d'Angers Christophe Béchu a fait part de son "effroi" après le meurtre.
"Nous ne céderons rien à la violence. Notre ville doit être sûre, chacun doit pouvoir y vivre en sécurité. La justice devra être la plus ferme possible avec les meurtriers", a réagi l'ancien ministre de l'Environnement.
L'enquête a été confiée à la division de la criminalité organisée et spécialisée.
Une partie de la gare a été temporairement fermée au public mais sans incidence sur le trafic ferroviaire.