NUKU’ALOFA, mardi 3 février 2015 (Flash d’Océanie) – Le royaume de Tonga a officiellement déclaré en début de semaine une épidémie de fièvre hémorragique dengue, maladie véhiculée par les moustiques.
Selon le Dr 'Ofa Tukia, chef de la direction sanitaire des maladies non-transmissibles du royaume, plus d’une trentaine de cas ont été confirmés au cours du mois de janvier, mais plusieurs centaines de personnes pourraient d’ores et déjà être infectées par cette maladie.
Au plan de la réponse des autorités à cette situation, le gouvernement a déployé des équipes dans les zones considérées comme les foyers de l’épidémie (l’île principale de Tongatapu et, plus au Nord, celle de Vava'u).
Objectif : aider les populations à éliminer tout gîte larvaire potentiel : vieux pneus, récipients, soucoupes, pouvant se révéler contenir des eaux stagnantes, site de reproduction privilégié des moustiques vecteurs.
La dengue se caractérise notamment par des douleurs articulaires et musculaires, des maux de tête, des nausées et, dans sa phase avancée et non traitée, des hémorragies internes pouvant entraîner la mort.
En cette saison humide, plusieurs pays et territoires insulaires d’Océanie (dont la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie), sont aussi touchés.
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Selon le Dr 'Ofa Tukia, chef de la direction sanitaire des maladies non-transmissibles du royaume, plus d’une trentaine de cas ont été confirmés au cours du mois de janvier, mais plusieurs centaines de personnes pourraient d’ores et déjà être infectées par cette maladie.
Au plan de la réponse des autorités à cette situation, le gouvernement a déployé des équipes dans les zones considérées comme les foyers de l’épidémie (l’île principale de Tongatapu et, plus au Nord, celle de Vava'u).
Objectif : aider les populations à éliminer tout gîte larvaire potentiel : vieux pneus, récipients, soucoupes, pouvant se révéler contenir des eaux stagnantes, site de reproduction privilégié des moustiques vecteurs.
La dengue se caractérise notamment par des douleurs articulaires et musculaires, des maux de tête, des nausées et, dans sa phase avancée et non traitée, des hémorragies internes pouvant entraîner la mort.
En cette saison humide, plusieurs pays et territoires insulaires d’Océanie (dont la Polynésie française et la Nouvelle-Calédonie), sont aussi touchés.
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