PAPEETE, jeudi 16 mai 2013. Le sénateur Richard Tuheiava qui vient de faire son entrée ce matin au sein de l'hémicycle territorial s'est brièvement exprimé lors d'une suspension de séance sur ce qui va se dérouler à New York demain au siège des Nations Unies"Ici au sein de l'assemblée de Polynésie, nous avons joué le jeu. Nous avons présenté une candidate pour la présidence de l'assemblée. Mais il faut savoir qu'une partie de notre esprit est actuellement à New York, puisque nous sommes actuellement en réunion de préparation pour le vote de la résolution L56 dont l'examen se passera demain matin, avant que n'ait lieu le vote du président du Pays ici". Le nouveau président de l'assemblée de Polynésie française, Edouard Fritch ayant annoncé vouloir travailler dans l'apaisement au sein de l'hémicycle, Richard Tuheiava a déclaré que l'UPLD était prête à jouer pleinement son rôle dans les différentes commissions, revenant cependant sans cesse sur ce rendez-vous aux Nations Unies demain vendredi qui se déroulera à 4 heures du matin pour les habitants de la Polynésie.
A ce propos, le sénateur qui avait accompagné le président sortant Oscar Temaru dans certains déplacements à New York rappelle que le vote prévu ce vendredi n'est que le début d'un long processus. "Un chantier va s'ouvrir dans le cadre de la réinscription. L'exécutif polynésien pourra éventuellement être entendu, mais surtout l'UPLD prendra toute sa place aux Nations Unies dans le cadre du prochain calendrier sur place à New York, et ce, en plus du travail au sein de l'assemblée de Polynésie française. Cela permettra à nos sympathisants d'exprimer aux Nations Unies tout ce qui ne pourra pas entendu en Polynésie française".
A ce propos, le sénateur qui avait accompagné le président sortant Oscar Temaru dans certains déplacements à New York rappelle que le vote prévu ce vendredi n'est que le début d'un long processus. "Un chantier va s'ouvrir dans le cadre de la réinscription. L'exécutif polynésien pourra éventuellement être entendu, mais surtout l'UPLD prendra toute sa place aux Nations Unies dans le cadre du prochain calendrier sur place à New York, et ce, en plus du travail au sein de l'assemblée de Polynésie française. Cela permettra à nos sympathisants d'exprimer aux Nations Unies tout ce qui ne pourra pas entendu en Polynésie française".
