Tahurai Henry et Gilbert Teave se confient dans ce documentaire de 35 minutes (Crédit : Tim McKenna/Oxbow).
Tahiti, le 28 novembre 2024 – Le film-documentaire, qui illustre la relation des surfeurs Tahurai Henry et Gilbert Teave, et du photographe-vidéaste Tim McKenna à la vague et au village de Teahupo’o, a été primé au Wild Oceans FilmFest.
Le film-documentaire Children of Teahupo’o témoigne de la relation intime des surfeurs Tahurai Henry et Gilbert Teave, ainsi que du photographe-vidéaste Tim McKenna avec “la plus belle vague du monde” et le petit village “du bout de la route”. Leurs témoignages, associés à des prises de vue et de son époustouflantes, nous plongent pendant 35 minutes dans la beauté des lieux, aussi puissante que fragile. Cette question de l’équilibre délicat entre environnement préservé et attractivité exacerbée à l’approche des épreuves olympiques de surf ponctue d’ailleurs le film. Ce dernier met également en lumière la nouvelle génération de surfeurs, tous ces “enfants de Teahupo’o” qui commencent à surfer à l’embouchure avant de s’élancer à leur tour sur la vague de la passe de Hava’e.
Le film-documentaire Children of Teahupo’o témoigne de la relation intime des surfeurs Tahurai Henry et Gilbert Teave, ainsi que du photographe-vidéaste Tim McKenna avec “la plus belle vague du monde” et le petit village “du bout de la route”. Leurs témoignages, associés à des prises de vue et de son époustouflantes, nous plongent pendant 35 minutes dans la beauté des lieux, aussi puissante que fragile. Cette question de l’équilibre délicat entre environnement préservé et attractivité exacerbée à l’approche des épreuves olympiques de surf ponctue d’ailleurs le film. Ce dernier met également en lumière la nouvelle génération de surfeurs, tous ces “enfants de Teahupo’o” qui commencent à surfer à l’embouchure avant de s’élancer à leur tour sur la vague de la passe de Hava’e.
Surf et préservation
Présenté en juin dernier lors d’une tournée de projections européennes, le court-métrage n’est pas passé inaperçu, avec des nominations dans différents festivals internationaux. Plusieurs fois récompensé, notamment au Portugal et en Australie, il vient d’ajouter à son palmarès le prix du meilleur film dans la catégorie “surf et préservation” du Wild Oceans FilmFest. Organisée en Espagne par la fondation Bioparc “pour sensibiliser à la nécessité de protéger et de conserver nos océans”, cette édition mettait en compétition 491 productions issues de 77 pays, du 4 au 9 novembre. Une distinction supplémentaire, qui contribue à porter la voix des Children of Teahupo’o au-delà de nos frontières.