La petite hôtellerie qui demandait plus d'écoute (voir article publié en début de semaine) semble avoir été entendue. Ce matin, en marge du workshop qui réunissait les professionnels du tourisme et les petites structures touristiques locales dans les salons de l'hôtel Tahiti Nui, Teva Janicaud, Directeur du Gie Tahiti Tourisme et Melinda Bodin, présidente du HFTI (syndicat des hôtels de famille de Tahiti et des îles ) ont réuni la presse afin de dissiper publiquement tout malentendu.
Melinda Bodin ne manque pas d'énergie lorsqu'il s'agit de défendre la petite hôtellerie qu'elle représente par son statut de présidente du HFTI, et c'est à ce tempérament passionné que l'on devait le "coup de grisou" qui a secoué la scène touristique locale lundi matin. Lors d'une conférence de presse organisée dans les locaux de la CGPME, elle avait exposé ses doléances et dénoncé un manque d'écoute de la part de Gie Tahiti Tourisme.
Le Gie Tahiti Tourisme, en la personne de son directeur Teva Janicaud, a apporté à ce débat toute l'attention attendue et a souhaité ouvrir le débat avec son interlocutrice sur un terrain de concertation en évoquant plus précisément les points constructifs et positifs qui unissent les deux organisations plutôt que piétiner dans des domaines de revendications auxquelles les contraintes budgétaires ne permettront de toute façon pas à répondre favorablement.
Des décisions collégiales ont été conclues sur des points de convergence, notamment la reprise des travaux sur la mise en place de la classification qualitative de la petit hôtellerie familiale, la refonte du site Internet de la petite hôtellerie, ou encore la centrale de réservation.
La réintégration de l'association au sein du conseil d'administration, ou un siège leur est réservé, même si cette démarche nécessite encore une petite formalité, va être formalisée. Le prochain conseil d'administration devrait se tenir le 24 février.
Melinda Bodin est revenue sur son souhait de voir le GIE favoriser l'association des hôtels de famille pour attirer les pensions dans cette entité. Elle attend que les dispositifs qui vont être mis en place soient réservés prioritairement aux structures adhérentes.
Ces nombreuses entrevues auront permis de renouer le dialogue et de travailler ensemble et de façon constructive dans le but d'assurer un avenir pérenne à la petite hôtellerie familiale en Polynésie française.
Melinda Bodin ne manque pas d'énergie lorsqu'il s'agit de défendre la petite hôtellerie qu'elle représente par son statut de présidente du HFTI, et c'est à ce tempérament passionné que l'on devait le "coup de grisou" qui a secoué la scène touristique locale lundi matin. Lors d'une conférence de presse organisée dans les locaux de la CGPME, elle avait exposé ses doléances et dénoncé un manque d'écoute de la part de Gie Tahiti Tourisme.
Le Gie Tahiti Tourisme, en la personne de son directeur Teva Janicaud, a apporté à ce débat toute l'attention attendue et a souhaité ouvrir le débat avec son interlocutrice sur un terrain de concertation en évoquant plus précisément les points constructifs et positifs qui unissent les deux organisations plutôt que piétiner dans des domaines de revendications auxquelles les contraintes budgétaires ne permettront de toute façon pas à répondre favorablement.
Des décisions collégiales ont été conclues sur des points de convergence, notamment la reprise des travaux sur la mise en place de la classification qualitative de la petit hôtellerie familiale, la refonte du site Internet de la petite hôtellerie, ou encore la centrale de réservation.
La réintégration de l'association au sein du conseil d'administration, ou un siège leur est réservé, même si cette démarche nécessite encore une petite formalité, va être formalisée. Le prochain conseil d'administration devrait se tenir le 24 février.
Melinda Bodin est revenue sur son souhait de voir le GIE favoriser l'association des hôtels de famille pour attirer les pensions dans cette entité. Elle attend que les dispositifs qui vont être mis en place soient réservés prioritairement aux structures adhérentes.
Ces nombreuses entrevues auront permis de renouer le dialogue et de travailler ensemble et de façon constructive dans le but d'assurer un avenir pérenne à la petite hôtellerie familiale en Polynésie française.
