Tahiti, le 26 mai 2025 – Double intervention de l'hélicoptère Dauphin pour venir en aide à deux bateaux. D'abord, dimanche matin sur un voilier battant pavillon turc à proximité de Mopelia, et dont le skipper qui refusait d'être évacué, a finalement accepté d'être hélitreuillé à 2h30 ce lundi. Deux heures plus tard, sur le chemin du retour, le Dauphin a également pu évacuer les deux occupants d'un catamaran en train de sombrer au large de Moorea.
Tout est bien qui finit bien. C'est à 8h30 ce dimanche matin, que le centre opérationnel de surveillance et de sauvetage aéro-maritime de Polynésie française (JRCC Tahiti) est alerté qu'un voilier battant pavillon turc est en difficulté à proximité de Mopelia. Le voilier, sérieusement endommagé par plusieurs avaries, nécessitait une assistance, mais les conditions météo avec une houle de plus de trois mètres et des vents dépassant les 35 km/h ont empêché toute opération de remorquage.
Le communiqué du haut-commissariat précise que le skipper qui parlait uniquement le turc a néanmoins pu rester en contact tout au long de la journée avec le JRCC grâce à l'aide d'un représentant turc en Polynésie qui a pu faire office d'interprète. Plusieurs navires sollicités par le JRCC ont bien proposé leur aide au skipper mais il a d'abord refusé d'être évacué. Ce n'est qu'à 20h38, face à la dégradation rapide de la situation et à la menace imminente d'une rupture du mât que le skipper a finalement accepté l'évacuation. Malgré la distance importante, l'équipage du Dauphin a pu l'hélitreuiller à 2h30 (ce lundi).
Mais le Dauphin n'en avait pas terminé pour autant. Deux heures plus tard, à 4h30 du matin, le JRCC reçoit une nouvelle alerte. Il s'agit cette fois d'un catamaran qui est en train de sombrer à quelques nautiques à l'ouest de Moorea. L'hélicoptère qui était sur le chemin du retour de sa précédente mission a ainsi capté le message de détresse émis par la radio du catamaran et pu intervenir aussitôt pour secourir leurs deux occupants. Ils ont été hélitreuillés à 6h du matin, sains et saufs.
Dans son communiqué, le haut-commissaire salue l'efficacité et la rapidité d'intervention de tous les acteurs mobilisés, et souligne l'importance de disposer d'un équipement de sécurité maritime adapté à la navigation hauturière, comme un téléphone satellite ou une balise de détresse. Mais aussi une connaissance basique de l'anglais, l'absence de l'ensemble de ces éléments ayant compliqué l'intervention sur le premier voilier et l'évacuation du sckipper turc.
Tout est bien qui finit bien. C'est à 8h30 ce dimanche matin, que le centre opérationnel de surveillance et de sauvetage aéro-maritime de Polynésie française (JRCC Tahiti) est alerté qu'un voilier battant pavillon turc est en difficulté à proximité de Mopelia. Le voilier, sérieusement endommagé par plusieurs avaries, nécessitait une assistance, mais les conditions météo avec une houle de plus de trois mètres et des vents dépassant les 35 km/h ont empêché toute opération de remorquage.
Le communiqué du haut-commissariat précise que le skipper qui parlait uniquement le turc a néanmoins pu rester en contact tout au long de la journée avec le JRCC grâce à l'aide d'un représentant turc en Polynésie qui a pu faire office d'interprète. Plusieurs navires sollicités par le JRCC ont bien proposé leur aide au skipper mais il a d'abord refusé d'être évacué. Ce n'est qu'à 20h38, face à la dégradation rapide de la situation et à la menace imminente d'une rupture du mât que le skipper a finalement accepté l'évacuation. Malgré la distance importante, l'équipage du Dauphin a pu l'hélitreuiller à 2h30 (ce lundi).
Mais le Dauphin n'en avait pas terminé pour autant. Deux heures plus tard, à 4h30 du matin, le JRCC reçoit une nouvelle alerte. Il s'agit cette fois d'un catamaran qui est en train de sombrer à quelques nautiques à l'ouest de Moorea. L'hélicoptère qui était sur le chemin du retour de sa précédente mission a ainsi capté le message de détresse émis par la radio du catamaran et pu intervenir aussitôt pour secourir leurs deux occupants. Ils ont été hélitreuillés à 6h du matin, sains et saufs.
Dans son communiqué, le haut-commissaire salue l'efficacité et la rapidité d'intervention de tous les acteurs mobilisés, et souligne l'importance de disposer d'un équipement de sécurité maritime adapté à la navigation hauturière, comme un téléphone satellite ou une balise de détresse. Mais aussi une connaissance basique de l'anglais, l'absence de l'ensemble de ces éléments ayant compliqué l'intervention sur le premier voilier et l'évacuation du sckipper turc.