Le site d'installation des nouvelles caméras de vidéo-surveillance est marqué avec les repères bleus. En rouge, une partie des postes d'observation déjà en service à Papeete.
PAPEETE, 27 septembre 2015 – La ville de Papeete a validé l’installation prochaine de huit nouvelles caméras de vidéo-surveillance. Avant fin juin 2016 la capitale administrative polynésienne disposera de 26 points d’observation en fonction.
La mise en service de huit nouvelles caméras de vidéo-surveillance est programmée avant fin juin 2016 à Papeete. Le plan de financement a été validé lors d’un conseil municipal qui s’est tenu mardi dernier. Il s’agit d’un investissement de 10 millions Fcfp financé à parts égales par la ville avec le concours de l’Etat, sur le fonds interministériel de prévention de la délinquance. Ces nouveaux équipements porteront dans moins d’un an à 26 le nombre de caméras en fonction à Papeete. La ville envisage d’ici la fin de la mandature municipale de compléter son dispositif de vidéo-surveillance pour parvenir à 60 points d’observation.
Les caméras installées réalisent des enregistrements en qualité haute-définition (HD) avec une capacité d’agrandissement de 20 fois. Chaque poste d’observation est contrôlé à distance et permet une surveillance sur 360°. Le système est contrôlé depuis un point de commandement situé dans un bureau spécial, au sein des locaux de la police municipale de Papeete. Un accord avec la Direction de la sécurité publique (DSP) prévoit le partage des signaux vidéo avec les forces de police. Les enregistrements sont conservés pendant un mois.
Depuis juillet dernier, neuf policiers municipaux spécialement formés se relayent devant les moniteurs de vidéo-surveillance 24 heures sur 24.
"Cela nous permet d’organiser l’intervention des forces de l’ordre et d’être plus rapidement sur site", constate Rémy Brillant, le directeur général des services à la mairie de Papeete. "Les délinquants sont plus rapidement identifiés, plus vite appréhendés et condamnés. Ce système nous permet d’instaurer un suivi efficace dans l’action des forces de l’ordre et d’éviter que ne s’installe chez les délinquants un climat d’impunité".
Les huit nouveaux points de vidéo-surveillance seront installés dans le quartier de la mairie de Papeete, sur le carrefour de Titioro, au niveau du cours de l’Union sacrée, ainsi qu’à Vaininiore et devant l’école primaire de Mamao.
La ville de Papeete lance ainsi sa troisième phase d’équipement depuis 2010. Les premières caméras avaient été installées dans le quartier du marché de Papeete, considéré comme une "zone sensible". Une deuxième phase avait été menée courant 2013, en prévision de la coupe du monde de Beach Soccer. Une dizaine de caméras avaient alors été installées pour contrôler l’activité au carrefour de Tipaerui, au stade Willy Bambridge, à Toata, dans les jardins de Paofai, au parc Bougainville, avec un œil sur la totalité de l’axe de circulation du front de mer mais également aux abords des établissements scolaires de Tipaerui, du collège La Mennais et dans le quartier Viennot, ainsi qu’à la cathédrale et au carrefour de l’avenue Pouvanaa’a Oopa.
Avec la programmation de cette nouvelle phase de déploiement de son système de vidéo-surveillance, la ville de Papeete se donne les moyens de renforcer encore un peu plus le contrôle de ce qui se déroule en son sein.
La mise en service de huit nouvelles caméras de vidéo-surveillance est programmée avant fin juin 2016 à Papeete. Le plan de financement a été validé lors d’un conseil municipal qui s’est tenu mardi dernier. Il s’agit d’un investissement de 10 millions Fcfp financé à parts égales par la ville avec le concours de l’Etat, sur le fonds interministériel de prévention de la délinquance. Ces nouveaux équipements porteront dans moins d’un an à 26 le nombre de caméras en fonction à Papeete. La ville envisage d’ici la fin de la mandature municipale de compléter son dispositif de vidéo-surveillance pour parvenir à 60 points d’observation.
Les caméras installées réalisent des enregistrements en qualité haute-définition (HD) avec une capacité d’agrandissement de 20 fois. Chaque poste d’observation est contrôlé à distance et permet une surveillance sur 360°. Le système est contrôlé depuis un point de commandement situé dans un bureau spécial, au sein des locaux de la police municipale de Papeete. Un accord avec la Direction de la sécurité publique (DSP) prévoit le partage des signaux vidéo avec les forces de police. Les enregistrements sont conservés pendant un mois.
Depuis juillet dernier, neuf policiers municipaux spécialement formés se relayent devant les moniteurs de vidéo-surveillance 24 heures sur 24.
"Cela nous permet d’organiser l’intervention des forces de l’ordre et d’être plus rapidement sur site", constate Rémy Brillant, le directeur général des services à la mairie de Papeete. "Les délinquants sont plus rapidement identifiés, plus vite appréhendés et condamnés. Ce système nous permet d’instaurer un suivi efficace dans l’action des forces de l’ordre et d’éviter que ne s’installe chez les délinquants un climat d’impunité".
Les huit nouveaux points de vidéo-surveillance seront installés dans le quartier de la mairie de Papeete, sur le carrefour de Titioro, au niveau du cours de l’Union sacrée, ainsi qu’à Vaininiore et devant l’école primaire de Mamao.
La ville de Papeete lance ainsi sa troisième phase d’équipement depuis 2010. Les premières caméras avaient été installées dans le quartier du marché de Papeete, considéré comme une "zone sensible". Une deuxième phase avait été menée courant 2013, en prévision de la coupe du monde de Beach Soccer. Une dizaine de caméras avaient alors été installées pour contrôler l’activité au carrefour de Tipaerui, au stade Willy Bambridge, à Toata, dans les jardins de Paofai, au parc Bougainville, avec un œil sur la totalité de l’axe de circulation du front de mer mais également aux abords des établissements scolaires de Tipaerui, du collège La Mennais et dans le quartier Viennot, ainsi qu’à la cathédrale et au carrefour de l’avenue Pouvanaa’a Oopa.
Avec la programmation de cette nouvelle phase de déploiement de son système de vidéo-surveillance, la ville de Papeete se donne les moyens de renforcer encore un peu plus le contrôle de ce qui se déroule en son sein.
Depuis juillet dernier, neuf policiers municipaux spécialement formés se relayent devant les moniteurs de vidéo-surveillance 24 heures sur 24.
