Plus de 400 jeunes ont participé mercredi matin à la phase finale d’un programme initié par la fédération française de football. Le programme a été mis en œuvre par la fédération tahitienne de football et l’USEP. Le programme vise à initier les jeunes à la pratique du football, à promouvoir les valeurs inhérentes à ce sport et à orienter les jeunes intéressés vers les clubs de football.
C’est Ludovic Graugnard qui a été le coordinateur du projet. Il s’est montré particulièrement enthousiaste en fin de matinée face au bon déroulement des opérations. Nous avons pu recueillir quelques explications. SB / FTF
C’est Ludovic Graugnard qui a été le coordinateur du projet. Il s’est montré particulièrement enthousiaste en fin de matinée face au bon déroulement des opérations. Nous avons pu recueillir quelques explications. SB / FTF
lns:o="urn:schemas-microsoft-com:office:office" xmlns:w="urn:schemas-microsoft-com:office:word" xmlns:m="http://schemas.microsoft.com/office/2004/12/omml" xmlns="http://www.w3.org/TR/REC-html40"> Ludovic Graugnard, coordinateur pour la FTF :
Quel est ce projet ?
« Il s’agit du programme « foot à l’école » mis en place par la fédération française de football après l’Euro 2016. Le but c’est de toucher un maximum d’enfants dans les écoles. C’est un projet clés en main, les séances sont préétablies par le FFF, le but c’est l’initiation au football à travers des jeux simples. Il y a aussi un volet éducatif où ils doivent faire une production écrite à travers la peinture, les arts plastiques ou la vidéo, qui va retranscrire les valeurs qu’ils ont retenues. Nous avons eu cinq-six séances en EPS avec eux, là c’est la dernière séance, le but étant de rassembler toutes les écoles qui ont participé au programme, avec une remise de dotation de matériel à la fin. »
Satisfait du déroulement ?
« Oui, faire rentrer sur ce terrain 420 gamins de 10 ans ce n’était pas évident, on a découpé le terrain en zones. L’USEP, notre partenaire, a fait un gros travail d’organisation grâce à son expérience. Cela s’est super bien déroulé, aucun accrochage. Il y a eu 1H15 de pratique pour les enfants sans que l’on se perde dans les rotations, c’était vraiment top. »
Quel est ce projet ?
« Il s’agit du programme « foot à l’école » mis en place par la fédération française de football après l’Euro 2016. Le but c’est de toucher un maximum d’enfants dans les écoles. C’est un projet clés en main, les séances sont préétablies par le FFF, le but c’est l’initiation au football à travers des jeux simples. Il y a aussi un volet éducatif où ils doivent faire une production écrite à travers la peinture, les arts plastiques ou la vidéo, qui va retranscrire les valeurs qu’ils ont retenues. Nous avons eu cinq-six séances en EPS avec eux, là c’est la dernière séance, le but étant de rassembler toutes les écoles qui ont participé au programme, avec une remise de dotation de matériel à la fin. »
Satisfait du déroulement ?
« Oui, faire rentrer sur ce terrain 420 gamins de 10 ans ce n’était pas évident, on a découpé le terrain en zones. L’USEP, notre partenaire, a fait un gros travail d’organisation grâce à son expérience. Cela s’est super bien déroulé, aucun accrochage. Il y a eu 1H15 de pratique pour les enfants sans que l’on se perde dans les rotations, c’était vraiment top. »
C’est important pour la FTF d’être en relation avec de nouveaux enfants ?
« On parle de la FTF mais moi je me met sous le sigle de la Ligue de Polynésie au sein de la FFF, vu que c’est une commande de la FFF qui diffuse ce programme dans toutes les Ligues de métropole et d’Outremer. On fait notre job, avec Patrice Flaccadori, pour mettre en place ce programme. Après, c’est vrai que cela doit servir à la FTF pour relancer, redynamiser le football chez les jeunes à travers la pratique et surtout les valeurs du football. »
« J’ai vu ce matin énormément de qualités chez des filles qui ne jouent pas en club, j’aimerais voir une bonne vingtaine de filles rallier les clubs l’an prochain. Elles doivent certainement jouer dans les quartiers en futsal. Il y a un gros potentiel et une grosse base de gamins à récupérer pour les clubs. »
Un rappel des valeurs du football ?
« Sur des centaines de milliers de matchs organisés chaque année, 98,5 % ont été sans incident. La FFF a fait un gros travail là dessus à travers le programme « tous PRETS » pour Plaisir, Responsabilité, Engagement, Tolérance et Solidarité. Respecter ses camarades, le matériel, l’éducateur, l’enseignant…Ce sont des valeurs que l’on défend à l’école. L’idée c’est de dire que le football défend ces mêmes valeurs. On ne se substitue pas à la famille mais le football peut avoir un gros rôle éducatif. »
« Je remercie l’USEP, Stéphanie Sanquer, les conseillers pédagogiques de la circonscription de Pirae, Arue et Papeete, les éducateurs qui sont intervenus avec moi sur le cycle, et les instits qui ont joué le jeu et qui je pense ont été contents de la mise en place du programme. » Propos recueillis par SB / FTF
« On parle de la FTF mais moi je me met sous le sigle de la Ligue de Polynésie au sein de la FFF, vu que c’est une commande de la FFF qui diffuse ce programme dans toutes les Ligues de métropole et d’Outremer. On fait notre job, avec Patrice Flaccadori, pour mettre en place ce programme. Après, c’est vrai que cela doit servir à la FTF pour relancer, redynamiser le football chez les jeunes à travers la pratique et surtout les valeurs du football. »
« J’ai vu ce matin énormément de qualités chez des filles qui ne jouent pas en club, j’aimerais voir une bonne vingtaine de filles rallier les clubs l’an prochain. Elles doivent certainement jouer dans les quartiers en futsal. Il y a un gros potentiel et une grosse base de gamins à récupérer pour les clubs. »
Un rappel des valeurs du football ?
« Sur des centaines de milliers de matchs organisés chaque année, 98,5 % ont été sans incident. La FFF a fait un gros travail là dessus à travers le programme « tous PRETS » pour Plaisir, Responsabilité, Engagement, Tolérance et Solidarité. Respecter ses camarades, le matériel, l’éducateur, l’enseignant…Ce sont des valeurs que l’on défend à l’école. L’idée c’est de dire que le football défend ces mêmes valeurs. On ne se substitue pas à la famille mais le football peut avoir un gros rôle éducatif. »
« Je remercie l’USEP, Stéphanie Sanquer, les conseillers pédagogiques de la circonscription de Pirae, Arue et Papeete, les éducateurs qui sont intervenus avec moi sur le cycle, et les instits qui ont joué le jeu et qui je pense ont été contents de la mise en place du programme. » Propos recueillis par SB / FTF