CST : le Pays est-il en train de créer une « inégalité » entre dirigeants et salariés ?

@Vahine Ura
Ne te désespère pas ! Autant il y a des profiteurs (et ce n'est ni d'aujourd'hui, ni qu'au Fenua, il y en a toujours eu dans toute l'histoire de l'humanité, et sur tous les continents...), des femmes et des hommes avides de pouvoir, autant il y a aussi toutes celles et tous ceux qui contrebalancent. Qui donnent, qui partagent, qui n'imaginent pas vivre sans les autres, dans des tours d'ivoire, et qui se sentent "importants" parmi leurs amis plutôt qu'au sommet d'un tas de cadavres ou d'exploités... Donc, t'inquiètes pas ! C'est l'histoire de l'humanité ça, on tiraille dans un sens ou dans un autre, vers une utopie radieuse et généreuse d'un côté, ou vers une sauvagerie invivable de l'autre, et l'équilibre se trouve sans doute quelque part entre les deux, au point d'équilibre... !

@ Tous les autres, et notamment Florence de TahitiInfos, ce serait vraiment bien de confirmer si ces plafonds sont mensuels ou annuels. Le débat déjà serait beaucoup plus serein.
Donc oui, on ne peut pas demander aux seuls dirigeants d'entreprises (ceux des petites entreprises étant bien plus nombreux que ceux des grosses ou très grosses sociétés...) de renflouer les caisses du Pays.
Si l'on veut avoir une fiscalité juste :
• Il faut que tous les revenus soient pris en compte (les salaires comme les revenus complémentaires) mais une seule fois (comme le souligne Wakrap).
• Si l'on décide de mettre en place des tranches fiscales, il faut que ce soit les mêmes pour tous (salariés privés, fonctionnaires, dirigeants, élus, etc.), avec les mêmes seuils pour tout le monde.
• Tant que l'on a pas décidé de plafonner les salaires (c'est une option) pourquoi demander un pourcentage plus élevé à ceux qui gagnent plus (cela implique que l'on soupçonne qu'ils ne méritent pas leurs revenus de la même manière que les plus modestes ?), il faut être cohérent : soit on considère que chacun à le droit de gagner ce qu'il veut (c'est le cas aujourd'hui dans la société occidentale), et donc tout le monde doit cotiser en proportion de ses revenus ; soit on considère que les plus hauts salaires sont disproportionnés par rapport aux restes de la population, et on plafonne. On peut, de manière raisonnabl...

@Vahine Ura
Ne te désespère pas ! Autant il y a des profiteurs (et ce n'est ni d'aujourd'hui, ni qu'au Fenua, il y en a toujours eu dans toute l'histoire de l'humanité, et sur tous les continents...), des femmes et des hommes avides de pouvoir, autant il y a aussi toutes celles et tous ceux qui contrebalancent. Qui donnent, qui partagent, qui n'imaginent pas vivre sans les autres, dans des tours d'ivoire, et qui se sentent "importants" parmi leurs amis plutôt qu'au sommet d'un tas de cadavres ou d'exploités... Donc, t'inquiètes pas ! C'est l'histoire de l'humanité ça, on tiraille dans un sens ou dans un autre, vers une utopie radieuse et généreuse d'un côté, ou vers une sauvagerie invivable de l'autre, et l'équilibre se trouve sans doute quelque part entre les deux, au point d'équilibre... !

@ Tous les autres, et notamment Florence de TahitiInfos, ce serait vraiment bien de confirmer si ces plafonds sont mensuels ou annuels. Le débat déjà serait beaucoup plus serein.
Donc oui, on ne peut pas demander aux seuls dirigeants d'entreprises (ceux des petites entreprises étant bien plus nombreux que ceux des grosses ou très grosses sociétés...) de renflouer les caisses du Pays.
Si l'on veut avoir une fiscalité juste :
• Il faut que tous les revenus soient pris en compte (les salaires comme les revenus complémentaires) mais une seule fois (comme le souligne Wakrap).
• Si l'on décide de mettre en place des tranches fiscales, il faut que ce soit les mêmes pour tous (salariés privés, fonctionnaires, dirigeants, élus, etc.), avec les mêmes seuils pour tout le monde.
• Tant que l'on a pas décidé de plafonner les salaires (c'est une option) pourquoi demander un pourcentage plus élevé à ceux qui gagnent plus (cela implique que l'on soupçonne qu'ils ne méritent pas leurs revenus de la même manière que les plus modestes ?), il faut être cohérent : soit on considère que chacun à le droit de gagner ce qu'il veut (c'est le cas aujourd'hui dans la société occidentale), et donc tout le monde doit cotiser en proportion de ses revenus ; soit on considère que les plus hauts salaires sont disproportionnés par rapport aux restes de la population, et on plafonne. On peut, de manière raisonnable, équilibrer cela "un peu", avec l'impôt, mais il faut être raisonnable justement...
• Le cas des fonctionnaires est particulier, puisqu'il s'agit là d'argent public. Si l'on veut commencer à établir une "égalité des revenus", il faut commencer par là. C'est là qu'il faut plafonner en premier, non ??? Et maitriser les dépenses...

• Enfin, partager c'est une chose. Payer un impôt, pourquoi pas. Mais on est en droit de se demander à quoi il sert...
Or aujourd'hui, l'augmentation des impôts semble surtout permettre de maintenir un système qui n'a pas démontré son efficacité, sa justice, mais au contraire entretient les privilèges de quelques uns, sans se soucier des plus fragiles. Donc réformer la fiscalité, c'est aussi être super rigoureux sur la dépense publique... !

• Promis, après j'arrête... une dernière chose, c'est l'impôt foncier dans les archipels... Egalité de l'impôt pour tous, on est d'accord. Mais en retour, il faudrait que la dépense publique, le service public soit le même dans ces îles qu'à Tahiti ou dans l'archipel de la société. Est-il normal qu'une île sans quai ni aéroport ni route soit soumise à l'impôt foncier ???

Voilà quelques réflexions en vrac autour de la question fiscale, à vous de jouer !

Parahi,
Charlie, imposé ! :-)

" Diviser pour mieux régner " , c'est ce à quoi s'apparentent tous ces palabres lorsqu'il s'agit de chercher des poux chez l'autre, celui qui, comme toi ou moi, avons de plus en plus de difficulté à joindre les deux bouts.
Alors, à quoi sert de se quereller, qui à raison, qui à tort, ou les deux à la fois car, dans tout ce qui est dit sur internet, sur ce réseau puissamment social, nous risquons dans faire les frais, d'une manière ou d'une autre.
Que "CHARLIE" est tort ou raison, compte tenu de la polémique qu'il suscite, n'est pas le propos qui nous intéresse.
Aujourd'hui, maintenant, force et de constater que les évènements prouvent qu'il y a eu défaillance des institutions, on se moque de savoir QUI est coupable de cet échec, de ce dysfonctionnement, car nous TOUS reflétons une manière de penser, de fonctionner avec des comportements inadéquates parfois, des propos maladroits voir insensés, des pensées malsaines et perverses selon les cas, alors, ne pensez-vous pas qu'il est grand temps de grandir, de se sentir responsable de SOI et d'apprendre l'humilité car sans une Éthique sincère et durable, rien dans ce monde ne pourra s'améliorer, aucune embellie manifeste sans une vrai prise de conscience car, à mon humble avis, cette crise que nous vivons actuellement est une crise SPIRITUELLE et non une crise économique ou écologique.
Si l'humanité était prête à faire des concessions, à accorder d'avantage d'intérêt à l'esprit et non au matériel, on verrait le monde changer très rapidement, nous verrions des hommes et des femmes, main dans la main, accomplir des merveilles sur Terre et non dans un hypothétique paradis, que seuls, les justes pourront y prétendre.
Prenons du champ, de la hauteur par rapport à nos vicissitudes présentes, notre nature intrinsèque mérite qu'on lui donne les moyens de s'élever, une introspection s'impose désormais, plus que jamais car cette période peu commune est l'occasion de faire le bilan de sa vie, des amitiés, des ennemis, des choses essentielles qui ont parsemé notre existence.
Sachons faire la paix, je sais, plus facile à dire qu'à accepter, mais nous n'avons pas le choix si nous voulons que la société évolue et gagne en maturité !
Soy...

" Diviser pour mieux régner " , c'est ce à quoi s'apparentent tous ces palabres lorsqu'il s'agit de chercher des poux chez l'autre, celui qui, comme toi ou moi, avons de plus en plus de difficulté à joindre les deux bouts.
Alors, à quoi sert de se quereller, qui à raison, qui à tort, ou les deux à la fois car, dans tout ce qui est dit sur internet, sur ce réseau puissamment social, nous risquons dans faire les frais, d'une manière ou d'une autre.
Que "CHARLIE" est tort ou raison, compte tenu de la polémique qu'il suscite, n'est pas le propos qui nous intéresse.
Aujourd'hui, maintenant, force et de constater que les évènements prouvent qu'il y a eu défaillance des institutions, on se moque de savoir QUI est coupable de cet échec, de ce dysfonctionnement, car nous TOUS reflétons une manière de penser, de fonctionner avec des comportements inadéquates parfois, des propos maladroits voir insensés, des pensées malsaines et perverses selon les cas, alors, ne pensez-vous pas qu'il est grand temps de grandir, de se sentir responsable de SOI et d'apprendre l'humilité car sans une Éthique sincère et durable, rien dans ce monde ne pourra s'améliorer, aucune embellie manifeste sans une vrai prise de conscience car, à mon humble avis, cette crise que nous vivons actuellement est une crise SPIRITUELLE et non une crise économique ou écologique.
Si l'humanité était prête à faire des concessions, à accorder d'avantage d'intérêt à l'esprit et non au matériel, on verrait le monde changer très rapidement, nous verrions des hommes et des femmes, main dans la main, accomplir des merveilles sur Terre et non dans un hypothétique paradis, que seuls, les justes pourront y prétendre.
Prenons du champ, de la hauteur par rapport à nos vicissitudes présentes, notre nature intrinsèque mérite qu'on lui donne les moyens de s'élever, une introspection s'impose désormais, plus que jamais car cette période peu commune est l'occasion de faire le bilan de sa vie, des amitiés, des ennemis, des choses essentielles qui ont parsemé notre existence.
Sachons faire la paix, je sais, plus facile à dire qu'à accepter, mais nous n'avons pas le choix si nous voulons que la société évolue et gagne en maturité !
Soyez TOUS bénis et puissiez-vous trouver la PAIX dans vos coeurs.