PAPEETE, mardi 22 octobre 2013 - (Communiqué du Tahoera'a Huira'atira) : La quatrième commission de l’ONU vient d’adopter une proposition de résolution concernant la Polynésie française.
Il faut constater en premier lieu que cette proposition de résolution ne donne pas suite à la demande d’Oscar Temaru de repousser un éventuel référendum. Au contraire, le comité demande à ce que soit favorisée « la mise en place rapide d’un processus d’autodétermination ». C’est un échec pour le leader du Tavini.
Dans un autre point, le comité demande la mise en place de « programmes d’éducation politique ».
Le Tahoeraa Huiraatira constate d’abord avec ironie que le leader du Tavini s’est cru obligé de faire appel à des puissances extérieures pour mettre en place de tels programmes, comme si les Polynésiens n’étaient que des demeurés.
En tout état de cause, le Tahoeraa Huiraatira considère que les Polynésiens sont parfaitement au fait des enjeux d’un scrutin d’autodétermination. Les médias ont joué sur ce point un rôle d’information assez complet.
Oscar Temaru lui-même n’a cessé, depuis 30 ans, d’expliquer ces enjeux. Et c’est sans aucun doute pour cette raison que lors des dernières élections les Polynésiens ont sanctionné ses allers-retours incessants à New-York et massivement rejeté sa politique indépendantiste complètement déconnectée des réalités sociales de notre Pays.
Le seul finalement qui ait besoin d’éducation politique, à la démocratie et au dévelopement, c’est Oscar Temaru.
Le Tahoeraa Huiraatira réaffirme qu’il fait confiance aux Polynésiens, contrairement à Oscar Temaru, et qu’il est prêt pour l’organisation rapide d’un scrutin d’autodétermination, tel que cela a été demandé au président de la République par la majorité autonomiste des élus de l’assemblée.
Il faut constater en premier lieu que cette proposition de résolution ne donne pas suite à la demande d’Oscar Temaru de repousser un éventuel référendum. Au contraire, le comité demande à ce que soit favorisée « la mise en place rapide d’un processus d’autodétermination ». C’est un échec pour le leader du Tavini.
Dans un autre point, le comité demande la mise en place de « programmes d’éducation politique ».
Le Tahoeraa Huiraatira constate d’abord avec ironie que le leader du Tavini s’est cru obligé de faire appel à des puissances extérieures pour mettre en place de tels programmes, comme si les Polynésiens n’étaient que des demeurés.
En tout état de cause, le Tahoeraa Huiraatira considère que les Polynésiens sont parfaitement au fait des enjeux d’un scrutin d’autodétermination. Les médias ont joué sur ce point un rôle d’information assez complet.
Oscar Temaru lui-même n’a cessé, depuis 30 ans, d’expliquer ces enjeux. Et c’est sans aucun doute pour cette raison que lors des dernières élections les Polynésiens ont sanctionné ses allers-retours incessants à New-York et massivement rejeté sa politique indépendantiste complètement déconnectée des réalités sociales de notre Pays.
Le seul finalement qui ait besoin d’éducation politique, à la démocratie et au dévelopement, c’est Oscar Temaru.
Le Tahoeraa Huiraatira réaffirme qu’il fait confiance aux Polynésiens, contrairement à Oscar Temaru, et qu’il est prêt pour l’organisation rapide d’un scrutin d’autodétermination, tel que cela a été demandé au président de la République par la majorité autonomiste des élus de l’assemblée.
