UTUROA, mercredi 12 février 2014. Un commerce de détail par correspondance d’armes et de munitions de 6e et 7e catégorie a été autorisé sur l’île de Raiatea par un arrêté du Haut commissariat en date du 27 janvier 2014, après un avis favorable rendu par le maire de la commune. Commerce par correspondance, signifie que le commerçant est autorisé à stocker les armes qu’il propose à la vente. C’est en tout cas, le 2e commerce de ce genre autorisé sur l’île. Cette fois, cette vente d’armes et de munitions, s’effectuera dans un magasin de sports situé en centre ville d’Uturoa, dans la rue principale.
Les armes qui pourront être proposées à la vente dans ce commerce sont issues des 6e et 7e catégories. La 6e catégorie concerne les armes blanches et certains aérosols incapacitants ou lacrymogènes (baïonnettes, sabres-baïonnettes, poignards, couteaux-poignards, matraques, casse-tête, cannes à épées, cannes plombées et ferrées, sauf celles qui ne sont ferrées qu'à un bout, arbalètes, fléaux japonais, étoiles de jets, coups de poing américains, lance-pierres de compétition, projecteurs hypodermiques ; générateurs d'aérosols incapacitants ou lacrymogènes). La 7e catégorie concerne les armes de tir, de foire ou de salon et leurs munitions. Il s’agit essentiellement de fusils à plomb : il peut s’agir d’armes de chasse ou de ball trap. Dans cette catégorie particulière, certaines armes sont soumises à déclaration, c’est le cas notamment des armes à feu.
Selon le décret du 23 avril 2009 qui fixe le régime des armes et munitions en Polynésie française, le commerçant mettant en vente des armes de 7e catégorie a obligation d’inscrire «jour par jour sur un registre visé par le commissaire de police compétent ou par le commandant de brigade de gendarmerie les armes et éléments d'arme de ces catégories achetés, loués ou vendus au public (catégorie, type, marque/modèle, calibre, numéro de série, nom et adresse du fournisseur et de l'acquéreur)». Cette inscription comporte en outre l'indication des nom et prénom, de la résidence, de la date et du lieu de naissance de l'acquéreur. Ce registre doit être conservé dans un délai de dix ans. Ce nouveau commerce de vente d’armes est donc le 6e site autorisé sur le territoire polynésien à vendre des armes : trois sont situés à Tahiti, deux à Raiatea désormais et un aux Marquises.
Les armes qui pourront être proposées à la vente dans ce commerce sont issues des 6e et 7e catégories. La 6e catégorie concerne les armes blanches et certains aérosols incapacitants ou lacrymogènes (baïonnettes, sabres-baïonnettes, poignards, couteaux-poignards, matraques, casse-tête, cannes à épées, cannes plombées et ferrées, sauf celles qui ne sont ferrées qu'à un bout, arbalètes, fléaux japonais, étoiles de jets, coups de poing américains, lance-pierres de compétition, projecteurs hypodermiques ; générateurs d'aérosols incapacitants ou lacrymogènes). La 7e catégorie concerne les armes de tir, de foire ou de salon et leurs munitions. Il s’agit essentiellement de fusils à plomb : il peut s’agir d’armes de chasse ou de ball trap. Dans cette catégorie particulière, certaines armes sont soumises à déclaration, c’est le cas notamment des armes à feu.
Selon le décret du 23 avril 2009 qui fixe le régime des armes et munitions en Polynésie française, le commerçant mettant en vente des armes de 7e catégorie a obligation d’inscrire «jour par jour sur un registre visé par le commissaire de police compétent ou par le commandant de brigade de gendarmerie les armes et éléments d'arme de ces catégories achetés, loués ou vendus au public (catégorie, type, marque/modèle, calibre, numéro de série, nom et adresse du fournisseur et de l'acquéreur)». Cette inscription comporte en outre l'indication des nom et prénom, de la résidence, de la date et du lieu de naissance de l'acquéreur. Ce registre doit être conservé dans un délai de dix ans. Ce nouveau commerce de vente d’armes est donc le 6e site autorisé sur le territoire polynésien à vendre des armes : trois sont situés à Tahiti, deux à Raiatea désormais et un aux Marquises.
