Photo d'archives.
PAPEETE, le 8 décembre 2016 - L'hôtel "The Brando" a été classé dans le type hôtel de tourisme international 5 étoiles, comme l'a annoncé un arrêté du ministère du Tourisme paru mercredi au Journal Officiel de la Polynésie française (JOPF).
Sans surprise, l'établissement hôtelier situé sur l'atoll de Tetiaroa, The Brando, a été classé dans le type hôtel de tourisme international 5 étoiles. Ce classement a été par la commission de classement des établissements d'hébergement de tourisme du 25 octobre dernier constituée de membres du ministère du Tourisme et de professionnels du secteur. Cette norme n'est reconnue qu'en Polynésie française mais est équivalente à celle métropolitaine.
"C'est le résultat d'un parcours administratif normal. Tout établissement hôtelier doit s'y soumettre en Polynésie. Ce n'est pas une surprise mais nous sommes tout de même très satisfaits, fiers et heureux de rajouter ces étoiles à notre devanture...", souligne Laurent Darcy, chargé de communication du groupe Pacific Beachcomber auquel appartient The Brando.
Les premiers éléments du dossier de demande ont été déposés en 2009. Celui-ci n'a été finalisé qu'en 2015, un an après l'ouverture de l'hôtel. Pour Laurent Darcy, il n'y a rien d'anormal à cela. "Le classement des hôtels est un processus relativement long. La commission de classement des établissements d'hébergement de tourisme ne se réunit qu'une à deux fois par an, alors, forcément, quand on a raté le train une fois, on doit attendre l'année suivante…".
De plus, la construction de l'hôtel a connu quelques décalages et retards dans le temps. "Nous avons ouverts en 2014 et le dossier de demande de classement a été complété en 2015, c'est un timing assez normal. Nous n'avons pas été pénalisés plus que ça."
Sans surprise, l'établissement hôtelier situé sur l'atoll de Tetiaroa, The Brando, a été classé dans le type hôtel de tourisme international 5 étoiles. Ce classement a été par la commission de classement des établissements d'hébergement de tourisme du 25 octobre dernier constituée de membres du ministère du Tourisme et de professionnels du secteur. Cette norme n'est reconnue qu'en Polynésie française mais est équivalente à celle métropolitaine.
"C'est le résultat d'un parcours administratif normal. Tout établissement hôtelier doit s'y soumettre en Polynésie. Ce n'est pas une surprise mais nous sommes tout de même très satisfaits, fiers et heureux de rajouter ces étoiles à notre devanture...", souligne Laurent Darcy, chargé de communication du groupe Pacific Beachcomber auquel appartient The Brando.
Les premiers éléments du dossier de demande ont été déposés en 2009. Celui-ci n'a été finalisé qu'en 2015, un an après l'ouverture de l'hôtel. Pour Laurent Darcy, il n'y a rien d'anormal à cela. "Le classement des hôtels est un processus relativement long. La commission de classement des établissements d'hébergement de tourisme ne se réunit qu'une à deux fois par an, alors, forcément, quand on a raté le train une fois, on doit attendre l'année suivante…".
De plus, la construction de l'hôtel a connu quelques décalages et retards dans le temps. "Nous avons ouverts en 2014 et le dossier de demande de classement a été complété en 2015, c'est un timing assez normal. Nous n'avons pas été pénalisés plus que ça."
DISTINCTIONS ET RECONNAISSANCE INTERNATIONALES
Positionné sur le créneau luxe depuis ses débuts, ce classement ne changera en rien à la politique de The Brando. Le succès grandissant de l'établissement, les certifications et les distinctions reçus parlent d'eux-mêmes. "Nous avons été reconnus pour notre démarche durable et écologique, le retour des clients est bon, toutes ces distinctions font partie d'un tout. Ce classement cinq étoiles va peut-être permettre aux tours opérateurs et aux agences de mettre en avant la norme locale quand ils proposeront notre hôtel ", indique Laurent Darcy, chargé de communication de la société Pacific Beachcomber.
En octobre dernier, The Brando avait été classé "meilleur resort du monde" par le Condé Nast Traveler Readers’ Choice. Cette reconnaissance reste la plus ancienne et la plus prestigieuse de l'excellence dans le tourisme, elle est connue pour être "le meilleur du meilleur dans le secteur du voyage". Elle a permis à The Brando d'entrer dans le cercle très fermé des plus prestigieux hôtels au monde.
En octobre dernier, The Brando avait été classé "meilleur resort du monde" par le Condé Nast Traveler Readers’ Choice. Cette reconnaissance reste la plus ancienne et la plus prestigieuse de l'excellence dans le tourisme, elle est connue pour être "le meilleur du meilleur dans le secteur du voyage". Elle a permis à The Brando d'entrer dans le cercle très fermé des plus prestigieux hôtels au monde.
L'étude d'impact terminée
Une étude d'impact a eu lieu entre le 28 octobre et 30 novembre, à la mairie d’Arue et au service de l'urbanisme à Papeete concernant l'extension de l’hôtel The Brando.
Projeté sur 11,5 hectares du motu Onetahi de Tetiaroa où est déjà implanté l’établissement de luxe, le projet concerne la viabilisation de 23 nouveaux lots dont 17 prévoient d’accueillir des unités résidentielles. Il s’agit de résidences hôtelières de luxe destinées à être "cédées à des tiers au travers d'un bail emphytéotique", indiquait le dossier de l'étude d'impact qui précise aussi que ce programme de développement restera "dépendant et encadré par hôtel" via un contrat de gestion liant les acquéreurs et The Brando. Un permis de construire existe déjà pour la villa témoin de ce projet d’extension. L’unité pourrait être construite avant fin 2017 et la commercialisation lancée dans la foulée.
L'association Tai Haruru de protection de l'environnement a fait savoir son opposition au projet d'extension de l'hôtel The Brando à Tetiaroa et dénonce un "manque de transparence" de la part du promoteur.
Projeté sur 11,5 hectares du motu Onetahi de Tetiaroa où est déjà implanté l’établissement de luxe, le projet concerne la viabilisation de 23 nouveaux lots dont 17 prévoient d’accueillir des unités résidentielles. Il s’agit de résidences hôtelières de luxe destinées à être "cédées à des tiers au travers d'un bail emphytéotique", indiquait le dossier de l'étude d'impact qui précise aussi que ce programme de développement restera "dépendant et encadré par hôtel" via un contrat de gestion liant les acquéreurs et The Brando. Un permis de construire existe déjà pour la villa témoin de ce projet d’extension. L’unité pourrait être construite avant fin 2017 et la commercialisation lancée dans la foulée.
L'association Tai Haruru de protection de l'environnement a fait savoir son opposition au projet d'extension de l'hôtel The Brando à Tetiaroa et dénonce un "manque de transparence" de la part du promoteur.
