Le ministre de l’Education, de la Jeunesse et des Sports, Tauhiti Nena, a rencontré lundi matin à Paris, le président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF), Denis Massiglia.
Les deux hommes ont notamment évoqué la situation du Comité olympique de la Polynésie française (COPF) vis-à-vis du Comité international olympique (CIO), qui ne permet pas aux athlètes polynésiens de représenter le Pays aux Jeux Olympiques.
« Il faut résoudre la problématique de la participation des athlètes polynésiens dans le cadre des Jeux Olympiques, en tant qu’athlètes polynésiens, et non pas simplement en tant qu’athlètes pouvant concourir pour les sélections françaises. C’est un vrai enjeu et nous évoquerons ce sujet lors de l’Assemblée générale des Comités olympiques nationaux, à Moscou en avril, ainsi qu’avec le nouveau ministre des Sports, à l’issue des élections présidentielles » a indiqué Denis Massiglia au sortir de la réunion.
Actuellement, les athlètes polynésiens ont la possibilité de représenter le Pays aux championnats du monde, mais pas au JO. Pour cela, le COPF doit en effet être affilié au CIO, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.
Jeux du Pacifique 2019 : le CNOSF soutient la candidature de la Polynésie
« Il est important de clarifier la situation du COPF vis-à-vis du CIO et du CNOSF » a ainsi souligné Tauhiti Nena.
Le ministre a également évoqué le souhait de la Polynésie française d’accueillir les Jeux du Pacifique en 2019. La candidature polynésienne a reçu un accueil favorable de la part de Denis Massiglia.
« Tahiti a tout le soutien du CNOSF et des sportifs français pour obtenir l’organisation des Jeux du Pacifique en 2019. Les derniers jeux, à Nouméa, ont montré que c’était une formidable dynamisation de la pratique sportive. Je formule donc le vœu que la candidature de la Polynésie soit couronnée de succès » a assuré le président du Comité national olympique et sportif français.
Aider les fédérations
Les discussions ont porté, d’autre part, sur les aides du CNOSF en matière d’investissement, au bénéfice des fédérations sportives polynésiennes.
Des pistes de réflexions ont en outre été dégagées pour régler dans les prochains mois, la situation des fédérations d’équitation, de motocross et de tennis, vis-à-vis de leurs homologues nationales et internationales.
Tauhiti Nena participera demain, à la conférence d’évaluation annuelle de la convention déterminant les modalités du partenariat entre l’Etat et la Polynésie française dans les domaines de la jeunesse et des sports. Conclu en 2003 pou une durée de 10 ans, l’accord prévoit notamment la mise à disposition de la Polynésie française de 5 agents de catégorie A, qui forment la mission d’aide et d’assistance technique (MAAT).
Les deux hommes ont notamment évoqué la situation du Comité olympique de la Polynésie française (COPF) vis-à-vis du Comité international olympique (CIO), qui ne permet pas aux athlètes polynésiens de représenter le Pays aux Jeux Olympiques.
« Il faut résoudre la problématique de la participation des athlètes polynésiens dans le cadre des Jeux Olympiques, en tant qu’athlètes polynésiens, et non pas simplement en tant qu’athlètes pouvant concourir pour les sélections françaises. C’est un vrai enjeu et nous évoquerons ce sujet lors de l’Assemblée générale des Comités olympiques nationaux, à Moscou en avril, ainsi qu’avec le nouveau ministre des Sports, à l’issue des élections présidentielles » a indiqué Denis Massiglia au sortir de la réunion.
Actuellement, les athlètes polynésiens ont la possibilité de représenter le Pays aux championnats du monde, mais pas au JO. Pour cela, le COPF doit en effet être affilié au CIO, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.
Jeux du Pacifique 2019 : le CNOSF soutient la candidature de la Polynésie
« Il est important de clarifier la situation du COPF vis-à-vis du CIO et du CNOSF » a ainsi souligné Tauhiti Nena.
Le ministre a également évoqué le souhait de la Polynésie française d’accueillir les Jeux du Pacifique en 2019. La candidature polynésienne a reçu un accueil favorable de la part de Denis Massiglia.
« Tahiti a tout le soutien du CNOSF et des sportifs français pour obtenir l’organisation des Jeux du Pacifique en 2019. Les derniers jeux, à Nouméa, ont montré que c’était une formidable dynamisation de la pratique sportive. Je formule donc le vœu que la candidature de la Polynésie soit couronnée de succès » a assuré le président du Comité national olympique et sportif français.
Aider les fédérations
Les discussions ont porté, d’autre part, sur les aides du CNOSF en matière d’investissement, au bénéfice des fédérations sportives polynésiennes.
Des pistes de réflexions ont en outre été dégagées pour régler dans les prochains mois, la situation des fédérations d’équitation, de motocross et de tennis, vis-à-vis de leurs homologues nationales et internationales.
Tauhiti Nena participera demain, à la conférence d’évaluation annuelle de la convention déterminant les modalités du partenariat entre l’Etat et la Polynésie française dans les domaines de la jeunesse et des sports. Conclu en 2003 pou une durée de 10 ans, l’accord prévoit notamment la mise à disposition de la Polynésie française de 5 agents de catégorie A, qui forment la mission d’aide et d’assistance technique (MAAT).
Tauhiti NENA reçoit Taimana ELLACOTT, président de la Fédération des Associations d’Etudiants de Polynésie française
Le Ministre de l’Education Tauhiti NENA a reçu, lundi, à la Délégation de la Polynésie française, le Président de la Fédération des étudiants polynésiens de métropole (FAEPF), Taimana ELLACOTT.
Au cours de la rencontre, ont été abordés notamment le projet de recensement de tous les jeunes en étude hors de Polynésie française (plus de 3500 étudiants) et la création d’un observatoire pour avoir une lisibilité et une visibilité de l’offre de compétence.
Par ailleurs, ce fut l’occasion pour le ministre de faire un bilan sur les allocations accordées par le Pays aux étudiants, et de rappeler l’importance des procédures à suivre.
Egalement, un point a été fait sur les foyers mis à disposition des étudiants polynésiens.
Au cours de la rencontre, ont été abordés notamment le projet de recensement de tous les jeunes en étude hors de Polynésie française (plus de 3500 étudiants) et la création d’un observatoire pour avoir une lisibilité et une visibilité de l’offre de compétence.
Par ailleurs, ce fut l’occasion pour le ministre de faire un bilan sur les allocations accordées par le Pays aux étudiants, et de rappeler l’importance des procédures à suivre.
Egalement, un point a été fait sur les foyers mis à disposition des étudiants polynésiens.
